La vie après la mort

Rappel du premier message :

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En 2006, Anita Moorjani aurait dû mourir d’un cancer au stade terminal. Après qu'elle soit tombée dans le coma, ses organes cessant de fonctionner les uns après les autres, les médecins annoncent à sa famille qu'il ne lui reste que quelques heures à vivre. Après avoir vécu une NDE (Near death experience, expérience aux frontières de la mort), elle témoigne pour la seconde fois devant la caméra de Lilou Macé. Bouleversant.

Extrait de la précédente interview d’Anita

« Pendant ce temps, je dérivais entre perte et reprise de connaissance, je pouvais réellement sentir que mon esprit quittait mon corps. J’ai vu et entendu les conversations entre mon mari et les médecins. Elles avaient lieu à l’extérieur de ma chambre, à une douzaine de mètres, dans le couloir. Plus tard, j’ai été en mesure de vérifier cette conversation auprès de mon mari. Ce qui lui a occasionné un choc.

Une autre dimension.
Je suis vraiment “passée de l’autre côté” vers une autre dimension, j’ai été absorbée dans un sentiment d’amour total. J’ai de plus très clairement ressenti la raison pour laquelle j’avais le cancer, pourquoi en premier lieu, j’étais venue dans cette vie, quel rôle chaque membre de ma famille jouait dans ma vie, dans le grand plan des évènements et, plus généralement, comment fonctionne la vie.
La clarté de cette compréhension que j’ai atteinte dans cet état est  pratiquement indescriptible. (…) J’étais dans un “endroit” où je comprenais qu’il existe bien autre chose que ce que nous sommes capables de concevoir dans notre monde à trois dimensions. J’ai réalisé à quel point la vie est un cadeau, que j’étais environnée d’êtres spirituels aimants, toujours proches de moi alors que je l’ignorais.

Quantité d’amour écrasante.
« La quantité d’amour que je ressentais était écrasante. Dans cette optique, je savais à quel point je suis puissante. J’ai vu les capacités stupéfiantes que nous, les humains, possédons au cours  d’une vie physique. J’ai découvert que mon destin allait maintenant être de vivre le “Paradis sur Terre”, en utilisant cette nouvelle compréhension. J’allais aussi partager ce savoir avec d’autres personnes.
J’avais toutefois le choix entre retourner à la vie ou aller vers la mort. On m’a fait comprendre que ce n’était pas l’heure, mais que j’avais quand même le choix. Si je choisissais la mort, je n’allais pas vivre les nombreux cadeaux que le reste de ma vie avait encore en réserve.
J’ai communiqué que je ne désirais pas retourner dans ce corps malade. En effet, il était très, très atteint et les organes avaient cessé de fonctionner. On m’a alors fait comprendre que si je choisissais la vie, mon corps allait guérir très rapidement. J’allais voir la différence non pas sur des mois ou des semaines, mais en quelques jours ».

Les maladies démarrent à un niveau énergétique.
« On m’a montré que les maladies démarrent à un niveau énergétique avant de devenir physiques. Si je choisissais d’aller vers la vie, le cancer allait disparaitre de mon énergie et mon corps physique allait récupérer très rapidement.
J’ai alors compris que  lorsque les personnes ont des traitements médicaux contre les maladies, ceux-ci éliminent la maladie du corps uniquement, mais pas de l’énergie, donc la maladie revient. J’ai réalisé que si je revenais, ce serait avec une énergie très saine.
Ensuite, le corps physique allait très rapidement et définitivement s’aligner sur le niveau de l’état énergétique. On m’a fait savoir que ceci est valable pour tout et pas seulement l’état physique, mais aussi l’état psychologique, etc. On m’a “montré” que tout ce qui se passe dans nos vies dépend de cette énergie qui nous enveloppe, nous environne et est créée par nous. Rien n’est immuable, nous créons notre environnement, notre état, etc.
En fonction de l’état de cette “énergie”. (…) On m’a fait sentir que j’allais avoir des “preuves” de première main si je retournais dans mon corps.

J’ai dérivé entre deux mondes.
« Je sais que j’ai dérivé entre deux mondes, entrant et sortant, mais chaque fois que je me retrouvais dans “l’au-delà”, on me montrait plus de scènes, qui dévoilaient combien ma vie avait touché toutes les personnes qui en faisaient partie. C’était un peu comme une tapisserie montrant comment j’avais influencé la vie de tous les gens autour de moi.
« Puis, j’ai commencé à me rétablir rapidement. (…) J’ai pris ma décision. Alors que je commençais à me réveiller (j’étais dans un état confus à ce moment-là, car j’étais incapable de savoir de quel côté du voile je me trouvais), les médecins se sont précipités dans la chambre, arborant un grand sourire.
Ils ont annoncé à ma famille : « Bonne nouvelle, nous avons de bons résultats et ses organes fonctionnent, nous n’arrivons pas à y croire ! Car son corps paraissait vraiment avoir cessé de fonctionner ! »

Source https://www.ouvertures.net/anita-moorjani-revient-dun-cancer-et-dun-coma-avec-une-nouvelle-comprehension-de-la-vie/

anadoncamille a écrit:Je comprends mieux maintenant et je suis d'accord. Vos messages me rappellent des choses que j'ai lues il y a longtemps mais que j'avais oubliées. Le fait que la matière se transforme, ça j'en avais conscience, mais j'avais oublié que esprit et matière s'interpénètrent et obéissent au mêmes lois.

J'ai commencé à lire ton journal, Fol, mais je n'ai pas encore trouvé ce dont tu parles. C'est à quelle page ?

Bien sûr que les lois universellles sont justement universelles, régissant l'espace aussi bien à l'horizontale qu'à la verticale. La force électro-magnétique par exemple agit sur tous les plans, permettant à la matière de s'assembler selon des principes directeurs et géométriques insufflés dès l'origine par l'acte créateur. Dans la littérature ésotérique on l'appelle Fohat, le Feu électrique, la volonté agissante de Dieu qui opére la polarisation du milieu racine, l'imprégnant de sa vie. Dans ce milieu polarisé la forme et l'esprit y sont les deux pôles opposés et complémentaires s'attirant et se repoussant mutuellement et entre lesquelle sera tissée la trame d'une myriade d'existences.

Les mondes psychiques et physiques forment un tout inséparable régit par les lois de l'existence. La plus grande vérité qui soit et peut-être la plus méconnue d'entre toutes c'est que la vie est partout. Elle forme une chaîne ininterrompue, de l'atôme le plus minuscule aux formes les plus élaborées, et sur tous les plans. Et chaque vie existe à l'intérieur d'une vie plus vaste, cette dernière lui offrant un milieu de vie pour croître. Les bactéries, voire les cellules dont se compose notre corps par exemple, la biosphère qu'abrite notre mère la terre ... et ainsi en va-t-il dans les mondes intérieurs.

De mon coté les progrès que j'avais a faire consistaient a cesser de désirer ce moment.

Pour ma part j'apprécie la vie au maximum et je fais tout pour ne rien avoir à regretter si je devais mourir ce soir.

C'est un excellent exercice que de se mettre en situation comme ça, surtout pour toi qui crois qu'après il n'y a rien.

Effectivement, cela me semble plus prudent, au vu de mes croyances. Ceci étant dit ça marche aussi en cas de vie après la mort, simplement je ne crois pas que l'on dispose des mêmes pouvoirs (sur la matière en particulier, et en termes de créativité) pendant la vie et après la vie. J'ai l'impression que l'on perd beaucoup de pouvoir en mourant, sinon tout. J'ai l'impression qu'au mieux il ne reste que le pouvoir d'observer et de se déplacer, en attendant passivement une réincarnation.

Certains disent que la méditation sur le Rien (qui par exemple pourrait surgir a tout moment sous la forme de la mort) est la forme la plus poussée de la Quête.

La méditation sur la mindfullness, la complétude divine infinie de pleine conscience, m’inspire beaucoup plus que le nihilisme du rien.

Je suis un être de lumière.

Sauf que le Tout sans le Rien serait le rien du tout.
Et c'est pourquoi on entre dans le Tout par la porte du Rien.

J'ai de bonnes raisons pour croire en une continuité de notre conscience, au delà de cette vie, mais ceux qui pensent l'inverse, ont aussi de bonnes raisons.
Je voudrais juste rappeler, que cette croyance dans la continuité de la vie, ne doit pas nous faire oublier, l'importance de cette vie, à toutes ses étapes, donc de la vie terrestre, qui selon la plupart des enseignements spirituels et communications médiumniques, conditionne, les "vies" futures.
En effet les incarnations ne sont pas indépendantes les unes des autres, c'est bien pourquoi, je pense que quelque soit nos croyances à ce sujet, il faut d'abord vivre chaque vie, dont la présente, le mieux possible et comme si elle était unique, ce qu'elle est de toutes façons, dans cet espace temps.
Et heureusement notre conscience n'a accès qu'à un seul espace temps à la fois, sauf cas très particuliers.

Je suis d'accord pour dire que cette vie est ce qu'il y a de plus important, quoiqu'il y ait au-delà.

salut...pour "rebondir" sur ce sujet , voici ,en partie,ce qui m'avait été montré ..
premièrement ,vu de haut,une roue de charrette ,moi au centre ,sur le moyeu ...de ce centre partaient des "rayons" (tel le soleil) aboutissants a sa périphérie ,représentant notre plan matériel ....on allait et venait ,du centre ,périphérie,centre ... le moyeu étant la totalité des expériences vécues par l'ETRE que nous sommes ...
deuxiemement , de 90°, la vision descends a 48°..et là je "vois" en 3D ..que ce "cercle" , vu de haut,(de cette roue de charrette) était ,en fait,un "vortex" ,comme une coquille d'escargot marin (en ellipse) et qu'il était possible ,et souhaitable , de "monter" a chaque "révolution" ..il y avait 7 spires ...pour atteindre le centre ,en pointe ,et disparaître ...pour la suite .. ...d'ou cette corrélation que j'ai faite ,avec les "cycles" de la "vie",qui ,elle,est UNE ....il y a de nombreuses "demeures" dans LA "maison de mon Père ...a plus ....

re ..48 ° est une erreur de frappe , 45 serait plus approprié ..

Je viens de remplacer mes prothèses d'oreilles; curieux, j'ai l'impression d'entrer dans un autre monde et d'accéder à un monde supérieur! Le soir, si j'oublie de les enlever en me couchant, j'entends au bout de quelques minutes, une voix féminine qui me murmure :"Tu montes, chéri"? Est-ce un désir inassouvi ou une houri en mal d'amour?...Ou de simples souvenirs de mes longs séjours à Paris? Vous qui avez des convictions sur le sujet, rallumez ma lanterne...

mikael a écrit:salut...pour "rebondir" sur ce sujet , voici ,en partie,ce qui m'avait été montré ..
premièrement ,vu de haut,une roue de charrette ,moi au centre ,sur le moyeu ...de ce centre partaient des "rayons" (tel le soleil) aboutissants a sa périphérie ,représentant notre plan matériel ....on allait et venait ,du centre ,périphérie,centre ... le moyeu étant la totalité des expériences vécues par l'ETRE que nous sommes ...
deuxiemement , de 90°, la vision descends a 48°..et là je "vois" en 3D ..que ce "cercle" , vu de haut,(de cette roue de charrette) était ,en fait,un "vortex" ,comme une coquille d'escargot marin (en ellipse) et qu'il était possible ,et souhaitable , de "monter" a chaque "révolution" ..il y avait 7 spires ...pour atteindre le centre ,en pointe ,et disparaître ...pour la suite .. ...d'ou cette corrélation que j'ai faite ,avec les "cycles" de la "vie",qui ,elle,est UNE ....il y a de nombreuses "demeures" dans LA "maison de mon Père ...a plus ....

C'est étrange mais ça correspond à ce que j'ai vu il y a 10 ans déjà lors de certaines expériences...

Méditer sur le rien j'y avait jamais vraiment penser, mais ça me plaît beaucoup, et en effet ça doit pouvoir mener loin car si on arrive à être rien alors s'ouvre à nous la possibilité d'être le tout..
De plus, avoir un but de médiation non défini doit permettre d'aller là où on doit aller..
Comprendra qui pourra lol

La pratique prolongée du silence intérieur, éventuellement en méditation, permet d'accéder au rien comme au tout, et aussi à la connaissance de soi. C'est une pratique excellente, très puissante.

Lorsqu’on se vide totalement, on retrouve cette complétude infinie inconditionnelle.

Tout burn out se désintègre, et l’évidence redevient présente.

Dans ce calme idéal...

On y est.

Be ever prepare for death and then you have the real taste of life.

Sois prêt à mourir à chaque instant. Alors tu goûteras pleinement la vie.


Instructions spontanées.
    Chandra Swami.

anadoncamille a écrit:La pratique prolongée du silence intérieur, éventuellement en méditation, permet d'accéder au rien comme au tout, et aussi à la connaissance de soi. C'est une pratique excellente, très puissante.

Oui, un Maître indien appelait ceci "la rienté"...

A propos de cette méditation sur le Rien, ou plutôt sur sa propre néantisation, je crois que c'est Ramakrishna qui avait essayé mais n'avait pas tenu le coup, il s'est mis a flipper puis avait reprit une méditation "avec forme" comme on dit là bas : méditation sur quelque chose ou plutôt sur une de leur divinité.

Sod a écrit:A propos de cette méditation sur le Rien, ou plutôt sur sa propre néantisation, je crois que c'est Ramakrishna qui avait essayé mais n'avait pas tenu le coup, il s'est mis a flipper puis avait reprit une méditation "avec forme" comme on dit là bas : méditation sur quelque chose ou plutôt sur une de leur divinité.

Râmakrishna eut beaucoup de difficultés à se séparer de l’image de la Mère Divine :

» Je n’avais aucune difficulté à détacher mon esprit de tous les objets, sauf de la forme trop familière de la radieuse Mère, essence de la Pure Conscience, qui apparaissait devant moi comme une vivante Réalité. Son sourire enchanteur me barrait la route de l’au-delà. J’essayai à plusieurs reprises de concentrer mon esprit sur les enseignements de l’Advaïta. Chaque fois, la forme de la Mère m’en empêchait. »

Introduction à l’Evangile de M, p. 29.

Puis, se servant de sa pensée comme d’un glaive, il fendit l’image de la mère Divine en deux. Cette dernière barrière une fois tombée, son esprit s’éleva au-delà du plan phénoménal, et il réalisa le nirvikalpa-samâdhi.

Il y resta trois jours.

Totapuri demeura onze mois à ses côtés. Puis il vécut, après le départ de son maître, pendant six mois en nirvikâlpa-samâdhi, nourri et soigné par son épouse Sâradâ Devî, ainsi que par ses disciples.

Râmakrishna passa le restant de sa vie partagé entre le plan de l’Absolu et le plan du phénoménal, adorant tantôt le Dieu personnel (Kâlî, la Mère Divine), tantôt le Dieu impersonnel (le Brahman).

https://blog.green-yoga.fr/ramakrishna-vent-nouveau-yoga/

Méditer à propos du rien, permet de mettre notre conscience en veille et de l'ouvrir à la Conscience universelle, qui ainsi peut plus facilement se manifester à travers elle.
Voici une brève synthèse actualisée, d'indices de vie consciente, au delà de la "mort" du corps physique:

"
ET SI LA MORT N'EXISTAIT PAS - Le film (Partie 1) - YouTube
www.youtube.com"

Comme c'est curieux. Je suis victime d'un vol d'identité . Le dernier message qui affiche mon pseudo et mon avatar n'est pas de moi.

salut..celui qui peux faire des "voyages" "nocturnes" et se déplacer par la pensée (voyage astral) n'a aucun doute sur la réalité du fait de la continuité de l'apres "mort" ...car il peux "entrevoir" d'autres "présences" de vies...la première fois,que grace aux livre de Lobsang Rampa , j'ai fait son technique ,j'ai décollé et arrivé pile là ou je le voulais ..cela ma déstabilisé ..et je n'étais pas seul, donc????? bon courage a ceux qui ont des doutes...

mikael a écrit:salut..celui qui peux faire des "voyages" "nocturnes" et se déplacer par la pensée (voyage astral) n'a aucun doute sur la réalité du fait de la continuité de l'apres "mort" ...car il peux "entrevoir" d'autres "présences" de vies...la première fois,que grace aux livre de Lobsang Rampa , j'ai fait son technique ,j'ai décollé et arrivé pile là ou je le voulais ..cela ma déstabilisé ..et je n'étais pas seul, donc????? bon courage a ceux qui ont des doutes...

Je confirme, c'est déstabilisant au début.....

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D'après mon humble expérience, le vide n'existe pas.
Lorsque nous entrons en méditation profonde et que nous parvenons à éliminer le "bruit de fond permanent" qui nous habite, alors nous accédons à d'autres espaces auquel le mental n'a pas accès, il est squeezé, oblitéré, et ressent alors comme une sensation de vide.

Mais ces autres espaces sont simplement le dévoilement de réalités  bien plus subtiles, que nous pouvons percevoir  par le biais d'une sorte d'intelligence intérieure qui peut enfin se déployer et qui constitue une autre forme de perception, révélée grâce à l'élimination de ce bruit de fond.

Oui eole, mais je n'appelerai pas ça une intelligence intérieure mais plutôt l'expression de notre être profond, ou notre moi supérieur c'est tendance comme expression, cette partie cachée de nous qu'on a laisser en orbite le temps de notre incarnation et qu'en temps normal on y a pas accès.

Quant au mental c'est normal qu'il ressente comme un vide quand on est dans ces états de conscience, car il est comme un ordi il ne peut rien inventer ni rien imaginer, il ne sait que ce qu'il a appris et le reste est pour lui inconnu, il a horreur de ce qu'il sait pas c'est pour ça qu'il tourne sans cesse, pour éviter l'inconnu qui le déstabilise.

D'une certaine façon il ne nous appartient même pas, donc nos pensées non plu, donc si l'on est pas se que le mental et nos pensées nous disent qu'on est alors qu'est-on vraiment ? .. à découvrir donc, n'oubliez pas qu'on est un corps spirituel au volant d'un corps physique, et prisonnier de celui-ci, sa mort permet de s'en libérer, donc ne flipper pas les z'amis, la mort n'est qu'une renaissance de nous même.