Pensée du jour (3)

Rappel du premier message :

Tu peux à l'heure que tu veux te retirer en toi-même. Nulle retraite n'est plus tranquille ni moins troublée pour l'homme que celle qu'il trouve en son âme.

Marc-Aurèle

Je ne sais pas vous mais moi je suis déjà complètement perché depuis deux jours a cause de la pleine lune qui approche, ça me le fait tous les mois au moment de la PL  -  même si c'est plus ou moins - mais là, c'est sur, ce wesak est une fête réelle, énergétique, pas uniquement une convention sociale qui serait juste destiné à rappeler les choses importantes aux gens déconcentrés.

Je pense donc que ce qui se raconte sur cette fête est vrai : tous les bodhisattvas et les ouvriers de Jésus (plus ou moins christifiés) sont bel et bien en train de s'activer dans le monde surnaturel pour produire un réseau de Lumière ou quelque chose comme ça.

Et toute bonne volonté est bienvenue pour donner un coup de main dans le réseau, du genre devenir un tuyau par ou s'écoule un "je ne sais quoi" qui fera qu'on ira dans le bon sens, dans le même sens que Dieu, dans le même sens que la marée montante, le sens de la Venue du Royaume de dieu sur Terre.

Et bien évidemment : malheurs aux impatients et gens pressés qui voudraient le pouvoir sur les modalités de cette Venue du Royaume ou croient savoir comment viendra ce Royaume.

Car ensuite ils vont dire : "mais regardez ce qui se passe dans le monde, c'est de pire en pire, augmentation des gens qui meurent de faim et tous le reste. C'est tout du baratin ton truc"

Seulement voilà : l'arbre qui tombe fait beaucoup de bruit médiatique tandis que la forêt messianique qui pousse est silencieuse.

La conscience subsiste, toujours identique à elle-même, indifférente aux dix-mille formes qui naissent et meurent en son sein.

Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées nous bâtissons notre monde.

Bouddha

Un monde de pensées n'est qu'une pensée.

Le gobage de sornette auquel on s'adonne tous un jour peut être long a détecter, surtout si on n'a pas appris a réfléchir sur soi en recherchant la vérité

Toute littérature est un assaut contre la frontière.

Kafka

Symbiose
Commensalisme
Parasitisme

Vivre dans une société ou règnent les fakes, la désinformation, la propagande médiatique, la manipulation des communicants, le baratin des vendeurs et toutes les autres formes de mensonges – et surtout bien comprendre le résultat de ce bazar qui est la destruction de la confiance entre les gens - c’est exactement ce dont nous avons besoins pour se mettre à désirer la vérité.

Du moins : tant que le mot « vérité » existe encore, il n’est pas trop tard.

Quand le mot « vérité » aura disparut de l’univers mental des gens, alors là ce sera autre chose, même si je crois que ce moment terrible est déjà arrivé pour certains.

Linfamie , la diffamation, le mensonge, sont devenus monnaie courante dans le monde perverti par l'oiseau de malheur de la haine vengeresse asséchant les cœurs et noircissant les ames, qui étend ses ailes autour du ciel lourd et ténébreux: c'est l’ère crépusculaire.

L'orgueil consiste à faire de soi-même par Amour plus de cas qu'il n'est juste.

Spinoza, Ethique, partie 3

Dédicace AureaDraconis,



John Collier

Lady Godiva
J'aime beaucoup le contraste entre les couleurs flamboyantes et l'allure altière du cheval et la pudeur de Lady Godiva...

Merci @Cerf-volant

Cette femme est devenue un homme. "Depuis, ma fille est morte."

Dédicace @Cerf-volant

La biodiversité des personnages dans une pièce de théâtre est absolument nécessaire pour qu’il puisse y avoir une histoire stimulante se déroulant sur la scène. C’est pareil dans la pièce de théâtre de la vie en ce bas-monde et donc aussi dans la pièce de théâtre se déroulant sur le forum : chacun son rôle particulier dans le scénario, ce rôle de chacun résultant de la personnalité chacun, c'est-à-dire de son égo tel qu’il est constitué par son karma. C’est ainsi que se déroulent toutes les histoires : par la rencontre des personnages tous différents, tous singuliers.

L’autre semble différent lorsqu’on change soi-même son regard, car tout est dans le regard.

B. Spinoza