La femme adultère

Rappel du premier message :

8:
1 Jésus se rendit au mont des Oliviers.
2 Mais dès le matin il revint dans le temple et tout le peuple s'approcha de lui. Il s'assit et se mit à les enseigner.
3 Alors les spécialistes de la loi et les pharisiens amenèrent une femme surprise en train de commettre un adultère. Ils la placèrent au milieu de la foule
4 et dirent à Jésus: «Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère.
5 Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes. Et toi, que dis-tu?»
6 Ils disaient cela pour lui tendre un piège, afin de pouvoir l'accuser.
Mais Jésus se baissa et se mit à écrire avec le doigt sur le sol.
7 Comme ils continuaient à l'interroger, il se redressa et leur dit: «Que celui d'entre vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle.»
8 Puis il se baissa de nouveau et se remit à écrire sur le sol.
9 Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience ils se retirèrent un à un, à commencer par les plus âgés et jusqu'aux derniers; Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu.
10 Alors il se redressa et, ne voyant plus qu'elle, il lui dit: «Femme, où sont ceux qui t'accusaient? Personne ne t'a donc condamnée?»
11 Elle répondit: «Personne, Seigneur.» Jésus lui dit: «Moi non plus, je ne te condamne pas; vas-y et désormais ne pèche plus.»]

Jean 8:1-11

Ce passage très connu de la bible a été mainte fois commenté.
Moi ce qui m'interpelle c'est : Qu'est-ce que Jésus écrivait sur le sol ?
Avez-vous une idée ?

Dans certaines culture la polygamie existe, mais que pour les hommes, par exemple dans la religion musulmane. 

Et si on inversait les rôles?

Mais sinon un minimum d'égalité est à débattre.

Oui, tout à fait : un minimum d'égalité et pas plus.

Quant à inverser les rôles, je crois que c'est un peu ce qu'a voulu dire Jésus dans ce récit sur la femme adultère.

Le problème à mon avis, aujourd'hui, c'est de définir les rôles et de les tenir : qui tient encore son rôle de nos jours ? Qui sait même le rôle qu'il doit tenir ?

Mélanie a écrit:Dans certaines culture la polygamie existe, mais que pour les hommes, par exemple dans la religion musulmane. 

Et si on inversait les rôles?

Mais sinon un minimum d'égalité est à débattre.

Un musulman m'a dit que le coran était favorable à ce qu'un homme marié accueille une femme seule sous son toit, c'est de la charité et le reste... je sais pas !

La polygamie avec une seule femme et plusieurs hommes serait problématique, risque sexuel pour les enfants et problème pour savoir qui est le père, la mère on sait toujours qui c'est.

Jean

Mélanie a écrit:Dans certaines culture la polygamie existe, mais que pour les hommes, par exemple dans la religion musulmane. 

Et si on inversait les rôles?

Mais sinon un minimum d'égalité est à débattre.

Un musulman m'a dit que le coran était favorable à ce qu'un homme marié accueille une femme seule sous son toit, c'est de la charité et le reste... je sais pas !

La polygamie avec une seule femme et plusieurs hommes serait problématique, risque sexuel pour les enfants et problème pour savoir qui est le père, la mère on sait toujours qui c'est.

Jean

dans la culture musulmane, qui comprend aussi l'Afrique, le fait d'avoir plusieurs femmes sous son toit est un signe de richesse.
car il faut les nourrir, les abriter, et qu'elles aient une vie décente.
je pense que cela évite aussi de faire trop d'enfant pour une seule femme, a deux, elles se partagent  la procréation, dans des pays ou un homme a beaucoup d'enfants.
ce qui peut etre fatiguant pour une  seule femme.
mais c'est completement culturel. car avoir beaucoup d'enfants, comprend le fait d' un taux de mortalité infantile elevé, et un besoin de main d'oeuvre pour le futur, c'est une aussi façon a l'homme de se projeter dans sa continuité dans sa descendance.

dans les pays arabes, autrefois, c'était les princes( les sultans) qui avaient un harem.
pour continuer sa descendance et pourvoir a voir des relations sexuelles soutenues ..ils avaient les moyens d'entretenir beaucoup de femmes.(signe de grande richesse)
mais maintenant, c'est différent.
les mentalitées evoluent , les femmes s'émancipent, elles ne sont plus des objets de collection.

le mariage est avec une seule femme.
la fidélité est une valeur fondée sur l'amour:le pacte du mariage est exclusif.


quoi qu'il est soit, peu importe le pays ou la religion, l'infidélité d'une part ou d'une autre, finit en général plutot mal, et conduit a la séparation. le pardon est trés dificile, meme s' il arrive que des couples passent ce cap.
savoir pardonner a son compagnon/ compagne une relation extra conjugale se régle, pour moi, entre les 2 personnes concernées.
a noter quand meme que beaucoup de crimes commis sont des crimes passionnel ou les protagonistes sont le mari, la femme et l'amant, des vaudevilles qui finissent parfois vraiment mal: l'amour ne se maitrise pas toujours, et la blessure causée, est parfois terrible.

je n'ai aucune idée de ce que pouvait ecrire Jesus a ce sujet sur le sol?
peut etre :
"ne fais pas a autrui, ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse a toi meme".

"@AureaDraconis a écrit:
Moi ce qui m'interpelle c'est : Qu'est-ce que Jésus écrivait sur le sol ?
Avez-vous une idée ?"

Oui, j'ai un prêtre qui a fait un prêche à ce sujet, ce serait les fautes des personnes présentes, écrites dans le silence et dans le sable.

C'est à peu près ce que je pense aussi

lafrisée a écrit:"@AureaDraconis a écrit:
Moi ce qui m'interpelle c'est : Qu'est-ce que Jésus écrivait sur le sol ?
Avez-vous une idée ?"

Oui, j'ai un prêtre qui a fait un prêche à ce sujet, ce serait les fautes des personnes présentes, écrites dans le silence et dans le sable.

Ce serait , ou même , c'est une jolie interprétation !!

En fait ce n'est pas son interprétation, c'était une révélation d'un saint. (je me rappelle plus qui)

Sofiane a écrit:

Je sors un peu du sujet, mais cela prouverait que Jésus sait écrire.

J'y avais également pensé et la question qui vient ensuite : pourquoi ne pas avoir laissé d'écrits ?

Hé,  gaffe aux pierres " je suis derrièreu"

@Pommard, merci.

Nous sommes tous cette femme adultère