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Preuves irrefutables de l'Atlantide

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Preuves irrefutables de l'Atlantide - Page 3 Empty Preuves irrefutables de l'Atlantide

Message par Nathan 38 Dim 10 Déc 2023 - 19:37

Rappel du premier message :

2 liens ne marche pas.

Preuves irrefutables de l'Atlantide
http://www.onnouscachetout-la-suite.com/t3096-Preuves-irrefutables-de-l-Atlantide.htm

Je ne pretend pas suivre l'auteur dans toutes ses conclusions dans son site, mais sur la question scientifique, oui...


"Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe. C’était l’hypothèse la plus logique et la moins imaginative. Les recherches furent donc en conséquence effectuées dans l’Océan Atlantique. L’Angleterre envoya le Challenger, l’Hydra et le Proserpine opérer des sondages. Les États-Unis) suivirent cet exemple et le Dauphin, le Gettysburg en compagnie de la canonnière allemande La Gazette explorèrent les bas fonds de l’Atlantique à l’endroit indiqué par Platon. Il résulta de ces différents sondages l’affirmation qu’il y avait au fond de l’Océan une vaste île engloutie avec des vallées, des montagnes, des plateaux. Cette île mesurait 3.000 de long sur 100 milles de large. Une immense chaîne de montagnes la traversait et s’y épanouissait, allant dans la direction Sud-Ouest depuis le 50e Nord jusqu’aux côtes de l’Amérique méridionale. Un rameau de cette chaîne prenait une direction S. E. vers l’Afrique et bifurquait vers le sud jusqu’à Tristan d’Acunha ; cette chaîne était haute de 9.000 pieds et il a été prouvé à ce moment que les îles Açores : Saint Paul, Ascension, Tristan d’Acunha n’étaient que les pics de cette immense montagne engloutie. Donc il y a bien au fond de l’Océan un continent effondré dont les sommets des montagnes émergent seuls à l’heure actuelle et constituent des îles. Puis les sondages révélèrent encore que cette île immense était couverte de débris volcaniques provenant d’éruptions gigantesques. Or Platon, comme les livres mayas, raconte que l’engloutissement de l’Atlantide a été précédé d’éruptions volcaniques. Ces faits matériels constituent une preuve tangible de la vérité de la tradition."

Marc89 ecrit:

Si c'etait un mensonge, les scientifiques auraient beau jeu de prouver le contraire, medias a l'appuie, et ce seraient leurs interet et avec tous les milliards perdus dans les recherches, ce serait une goutte d'eau, alors pourquoi ne font-ils rien ? ce serait pourtant interessant pour la planete entiere...d'ou les medias avec, et pour eux aussi a defaut de ne rien trouver...mais bizarement aucun ne se presente alors que l'on trouverait peut etre des vestiges d'une civilisation engloutit ce qui serait probablement pour eux le plus grand tresor du monde jamais decouvert encore...

Donc, cette distance vis a vis de cette histoire n'est qu'une forme de protection envers eux meme qui leurs evitent de reveler la verité.


Des plantes ont émigré d’Amérique en Europe. Enfin se pose la fameuse question du bananier, originaire d'asie. Le bananier n’est qu’un plantain évolué par la culture. Il ne se reproduit que par des boutures et se transporte très difficilement. Il faut tous les soins qu’apporte dans ses expériences notre science moderne pour effectuer un transport de plants de bananier. Or le bananier se trouve en Afrique et en Amérique ! Il a fallu nécessairement que ce produit d’une civilisation fût apporté d’un pays dans un autre et, comme il ne peut se transporter, il a fallu qu’un continent intermédiaire lui permît d’émigrer peu à peu par des boutures successives. Ou il a émigré naturellement par boutures, ou il a été transporté par des hommes jouissant d’une civilisation avancée, et cela à une époque très reculée, car le bananier est connu depuis très longtemps. Ces hommes ne peuvent être ni les peuples de l’antiquité que nous connaissons, ni les Peaux-Rouges, car ni les uns ni les autres n’avaient les moyens d’effectuer un transport aussi délicat.


La malacologie montre aussi qu’il existe dans le pays des Basques une flore locale qui ne ressemble en rien à celle d’Europe et semble avoir été importée d’Amérique. L’Helix quimperiana et l’Helix constricta sont des produits de la flore Américaine et, chose curieuse, l’Helix quimperiana ne se rencontre en France qu’au pays des Basques et aux environs de Quimper, deux terres que la tradition considère comme ayant appartenu à l’Atlantide.

L’entomologie présente des résultats identiques. Bref au point de vue scientifique naturaliste, l’existence de l’Atlantide peut seule expliquer comment la faune et la flore fossile d’Amérique a pu se transporter en Europe et y arriver dans un degré d’évolution qu’elles n’ont point connu en Amérique. L’Atlantide a été la terre intermédiaire, où des formes primitives américaines ont évolué avant de s’adapter en Europe. Elle est donc, à tous les points de vue, un continent de transition. L’ethnologie est non moins significative que l’anthropologie. Elle montre en effet que des similitudes nombreuses existent entre certaines races des deux continents, et cela aux points de vue anatomique, sociologique, ethnographique, mœurs et usages


En Europe, une grande parenté existe entre les Basques, les Corses, les Guanches. Ce sont des dolichocéphales, ayant une forme crânienne des plus caractéristiques. Or il est curieux de constater que l’on rencontre cette dolichocéphalie chez certains naturels américains. Même crâne, même teint rougeâtre, mêmes caractères physiques. Cette race dolichocéphale, que l’on rencontre aussi en Afrique sur les côtes atlantiques, ne se rattache aucunement à la race indo-européenne. Elle forme sur notre continent un îlot à part, nettement défini au point de vue physique comme au point de vue mœurs et langages. Or cet îlot étranger à notre Europe et à ses races se rattache singulièrement aux races américaines. Elles découlent des mêmes progéniteurs physiques et sociaux. D’ailleurs, les Basques sont les premiers à reconnaître qu’au début, d’après leur tradition, ils vivaient isolés dans un pays restreint, borné de tous côtés par la mer. Ce n’est que plus tard, disent-ils, que des émigrations noires venant du Midi, puis des émigrations blanches venant du Nord envahirent le pays qui sortait des eaux et le peuplèrent. Ils se reconnaissaient en somme complètement en dehors de toute famille européenne, un peuple à part et d’une antiquité supérieure aux noirs et aux blancs. Leurs deux idiomes l’Eskualduna et l’Euskarien leur donnent raison. En effet, la linguistique est forcée de reconnaître que ces idiomes ne peuvent aucunement découler des langues indo-européennes. Ils ne se rattachent pas davantage aux langues africaines et asiatiques. Ils semblent cependant vaguement apparentés à la langue des Guanches, à l’Étrusque, à l’Égyptien primitif, et au Thibétain primitif. Mais cette parenté est extrêmement lâche, tandis qu’au contraire certains idiomes américains ressemblent à tel point à la langue basque que des naturels Peaux-Rouges du Canada pourraient comprendre sans difficulté un Basque. Cela ne peut être dû au hasard. Nous venons de dire que le Basque ne semblait dans l’ancien continent n’être que vaguement apparenté à l’Égyptien primitif, au Thibétain primitif, à l’Étrusque. Cela est vrai, car il est permis de supposer que les Basques, se rattachant à cette race rouge dont les Étrusques, les Égyptiens, et les Thibétains primitifs se disaient issus, avaient dû forcément avoir les mêmes progéniteurs linguistiques. Seulement, tandis qu’au pays basque la langue restait fixe et immuable comme elle l’est restée en Amérique dans certaines tribus, elle évoluait au Thibet et surtout en Égypte, se défigurant peu à peu au contact des idiomes noirs et boréens. Seul l’Étrusque qui, à l’heure actuelle, reste encore mystérieux, semble être une forme plus évoluée que le Basque, mais moins évoluée que l’Égyptien. L’avenir démontrera peut-être que cette langue est l’intermédiaire entre le Basque et l’Égyptien.


Mais ce qui est caractéristique au point de vue de l’Atlantide, c’est cette conformité de langage de deux peuples ayant les mêmes caractères physiques et étant séparés par un Océan immense. De plus, ces deux peuples n’ont jamais été navigateurs. Il y a donc eu, à un moment donné, un pont naturel. Ce pont était l’Atlantide.


En Europe, certains types bretons à peau rouge, à nez en forme d’aigle, ressemblent aussi d’une façon étonnante, au point de vue physique, à certains types américains. Ces Bretons constituent de petits îlots, très concentrés, et jamais ne se sont mêlés aux peuples environnants, envers lesquels d’ailleurs ils affectent du mépris. Et il est curieux de constater la parenté physique de ces Bretons avec certaines peuplades italiennes descendant des Étrusques, avec certains types égyptiens et indous. Ces Bretons se rattachent donc à la race rouge et sont totalement étrangers aux Sudéens et aux Boréens.

Mais où la parenté existant entre les rouges d’Amérique et les rouges d’Europe éclate merveilleusement, c’est dans la comparaison des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent (Phéniciens, Rumero, Accadiens, Étrusques) avec les Péruviens, les Mayas du Yucatan et les Mexicains, peuples représentant en Amérique la race rouge dans toute sa pureté. Même forme crânienne, mêmes usages, mêmes architectures, mêmes conceptions métaphysiques. On a la sensation très nette d’un progéniteur commun et ce progéniteur, que reconnaissent les traditions de ces peuples est, disent-elles, le pays d’Atlan, d’Atzlan, d’Atlantide, l’île mystérieuse enfouie au fond de la mer.

Au point de vue linguistique, il est curieux de constater la ressemblance existant entre l’alphabet phénicien et l’alphabet maya du Yucatan, entre le grec et le maya, le chiapanec et l’hébreu. Cette ressemblance entre le grec et le maya est, paraît-il, si grande qu’un des explorateurs des contrées américaines connaissant l’ancien grec, comprit la plupart des Mayas sans difficulté. « Le grec d’Homère en Amérique ! s’écria-t-il, mais c’est une invention du diable ! »

Qu’est-ce que le maya ? L’idiome d’un peuple rouge qui prétend descendre des Atlantes.

Qu’est-ce que le grec ? Un dérivé de l’hébreu, venant de l’Égypte. Or cette Égypte prétend être fille de la race rouge et descendre des Atlantes. Sa langue est l’hébreu primitif : non point le dialecte syro-araméen que nous connaissons, mais l’idiome de Moïse, la langue de Sepher, la langue sacrée des peuples rouges échappés au déluge ! Donc le grec et le maya ont une origine commune, tous deux sont les dérivés d’une langue mère qui est la langue atlante, et l’Atlantide seule permet d’expliquer leur parenté. Un exemple :
Dieu au Mexique s’exprime par 2 mots : Théo et Zéo
Dieu en grec........................... Théo et Zéus
Dieu en Hébreu......................... Ja et Yah



Cette similitude frappante ne peut être due au hasard. Seule l’Atlantide donne la clé du mystère. Les rapports qui existent entre le chiapanec et l’Hébreu s’expliqueraient de la même manière. En un mot, l’hébreu primitif, qui était l’idiome sacré des Égyptiens, est une langue atlante, qui a été la mère, dans l’ancien continent, du grec (mélange d’hébreu et de celte) et du zeud (mélange d’hébreu et de pâli) ; et dans le nouveau, du maya et du chiapanec. On a été frappé aussi de la parenté existant entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Tous les deux sont à base phonétique et de nombreux signes concordent. Nous dirons pour expliquer cette parenté ce que nous avons dit pour faire comprendre celle qui unit le grec au maya. Le phénicien est un produit de l’Égypte. Son alphabet est né dans les temples Égyptiens, car l’Égypte a été la matrice où ont été enfantées les civilisations grecques phéniciennes, chaldéennes, indoues.

L’Égypte possédait quatre sortes d’écritures :

1° L’écriture épistolographique ; 2° l’écriture hiéroglyphique ; 3° l’écriture hiératique ; 4° l’écriture symbolique.

Le phénicien est un dérivé de l’écriture épistolographique égyptienne, qui était alphabétique, et les Égyptiens tenaient eux-mêmes cette écriture des Atlantes. Quant aux Mayas, ils tenaient leur alphabet, disaient-ils, des Colhnas, race qui s’était éteinte 1.000 ans avant J. C. Et ces Colhnas prétendaient venir du pays d’Atlan. Donc, là encore, l’Atlantide peut seule expliquer la parenté entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Les signes mayas sont hiéroglyphes en ce sens qu’ils représentent un objet et se manifestent par une décoration embrouillée et excessive. Les signes phéniciens ne sont en somme que ces hiéroglyphes, simplifiés par l’usage et l’évolution. Leur intermédiaire est l’écriture égyptienne, plus simple que le maya mais plus ornée que le phénicien. Voici d’ailleurs quelques exemples montrant l’identité des alphabets et la nécessité d’admettre un progéniteur commun :
Manzi Atlantide 1.jpg

Voir lien:
https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Livre_de_l%E2%80%99Atlantide/Les_preuves_scientifiques

Donc on peut établir scientifiquement qu’une réelle parenté existe entre les langues et les alphabets des peuples rouges de l’ancien et du nouveau continent. Ces peuples ont donc eu forcément des relations sur une terre commune. D’où la nécessité de l’Atlantide.



Les mœurs et les coutumes des Péruviens et des Mexicains offrent une curieuse ressemblance avec celles des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent. Au point de vue religieux, au Pérou comme en Égypte, étaient pratiqués les usages et rites suivants : le baptême, la confession, l’absolution, le carême, le mariage religieux, la communion sous les deux espèces et avec des hosties qui étaient des pains marqués du sceau sacré, l’embaumement des morts, la bénédiction avec la croix, l’adoration de la croix considérée comme symbole de la vie éternelle, la pénitence, la crémation. Des deux côtés de l’océan, même croyance en un seul Dieu, en l’immortalité de l’âme, en une vierge sacrée. Même culte sidéral, même adoration d’un disque d’or représentant le Soleil, mêmes fêtes religieuses, mêmes cérémonies. Pan était aussi adoré en Amérique qu’en Grèce, et sous le même nom. On connaissait au Pérou des ordres religieux, des ordres monastiques où la mort punissait celui qui trompait ses vœux. Il y avait aussi des vestales, gardiennes du feu sacré, vierges pures qui, si elles se laissaient séduire, étaient, comme à Rome, enterrées vivantes ! Les Chippewayames connaissaient l’histoire de Tantale, la légende d’Atlas, les Méduses aux cheveux de serpents, l’histoire de Deucalion ; et chez les Mexicains, Jupiter et son tonnerre étaient adorés ! Bref, on peut dire que la religion péruvienne est identique à la religion égyptienne, comme métaphysique et comme rites.

Est-ce pur hasard ?

Le calendrier maya est semblable au calendrier chaldéen et la chronologie maya est la même. Les noms des vingt jours du mois aztèque sont identiquement ceux du Zodiaque chaldéen.

Est-ce pur hasard ?

La magie était connue des Péruviens : ils la pratiquaient et admettaient, comme les Grecs, la lycanthropie. Ils se disaient, à l’égal des Égyptiens, fils du soleil et racontaient sur le déluge des histoires identiques à celles des Chaldéens. Ils avaient un Noé, qui construisit une arche. Ils brûlaient aussi leurs morts, ou bien les enterraient dans des tumuli comme les Étrusques, avec leurs armes, leurs bijoux, des vases précieux, ou encore les embaumaient. Or, le procédé d’embaumement que les Péruviens employaient était identique à celui des Égyptiens. Mêmes incisions, mêmes précautions, et les momies péruviennes comme les momies égyptiennes ont toutes dans la bouche une lame d’argent.

Est-ce pur hasard ?




Les naturels de la vallée du Mississipi pratiquaient cette curieuse coutume de la couvade, que l’on retrouve en Europe chez les Basques. Aussitôt accouchée, la femme se lève, et cède son lit au mari qui reçoit, couché, le poupon dans ses bras, les félicitations des amis ! Cet usage singulier n’est pratiqué en Europe que par les Basques. Or comment expliquer que cette coutume se retrouve ainsi localisée en Amérique ?

Est-ce pur hasard ?

Il y a une ressemblance étrange entre les noms de lieux et de personnages à Haïti et aux Canaries, au Pérou et en Égypte, au Mexique et en Grèce. Ainsi le mot Maya est un mot qui se retrouve à chaque pas en Grèce, en Égypte, dans l’Inde. Il a donné Marie, Miriame, Marianne, etc.. La coiffure égyptienne appelée Calantica se retrouve sur des statues du Mexique. Elle est cependant spéciale et caractéristique. Quant aux monuments égyptiens, ils ressemblent singulièrement aux monuments péruviens. Mêmes conceptions architecturales, même esthétique, mêmes procédés de construction et, ce qui est plus bizarre, même orientation des monuments religieux et même disposition des chambres intérieures et des galeries. Les pyramides d’Égypte sont identiques à celles du Pérou. Chez les deux peuples, elles sont un gnomon et expriment le symbole du quatre dans l’un. Les Mound builders de la vallée de l’Ohio sont des pyramides ayant des proportions analogues à celles d’Égypte. Celle de Cahokia a 97 pieds de hauteur. Il y a aussi une grande similitude entre les ruines de Teotihuacan et celles de Karnak. Les deux peuples ont construit des tumuli, des cairns, des cryptes, des aqueducs, des arches et ont employé le ciment, la brique. Les portiques de Kabah ressemblent à une construction romaine primitive., Quant aux sculptures, aux décorations murales, aux ornementations, elles sont de même étroitement parentes et certaines céramiques de Mexico seraient prises pour des céramiques égyptiennes.

Est-ce pur hasard ?

Puis, comment expliquer l’apparition du bronze en Europe sans qu’il y ait eu auparavant un âge du cuivre et un âge de l’étain ? Or un âge du cuivre a existé en Amérique vers les Grands Lacs, et c’est le seul lieu de la terre où il a existé ! Là seulement, on retrouve des instruments en cuivre pur. Partout ailleurs on ne retrouve que du bronze. Or le bronze n’a pu être trouvé avant un long usage du cuivre et de l’étain. Le bronze a donc été apporté en Europe, en Asie, en Afrique par un peuple commerçant et hardi. Comment expliquer aussi la découverte en Amérique de pointes de flèches, de haches, et de statuettes en néphrite et en jadéites, alors que nul gisement de ces pierres n’existe en ce pays ? Et d’où viennent ces marteaux de pierre portant le signe sacré et mystérieux du Swastika indou et égyptien.




Enfin, pourquoi ce parti pris des naturels américains de se servir, comme motif d’ornementation, de l’éléphant, qui a disparu de l’Amérique à la fin du Tertiaire et qui d’ailleurs n’y a existé que comme mammouth, lequel diffère sensiblement de l’éléphant ? Car les décorations péruviennes emploient l’éléphant qu’ils ne pouvaient pas connaître et non le mammouth. On trouve en effet au Pérou dés pipes en forme de tête d’éléphant, des vases, des sculptures représentant cet animal et une ornementation basée sur des trompes d’éléphants entrelacées. Notez aussi qu’en Irlande il a été retrouvé des pipes à tête d’éléphant et d’autres ornées qui ressemblent singulièrement aux pipes péruviennes ! Puis pourquoi des pipes en Irlande remontant à une époque très reculée, alors que l’introduction du tabac en Europe est récente ?



Le hasard n’a pu faire si bien les choses et il serait ridicule de vouloir s’appuyer uniquement sur lui dans le but de nier les traditions. Les traditions expliquent ces similitudes par l’existence de l’Atlantide ? Pourquoi ne point les admettre ? En effet, seule l’Atlantide permet d’établir le pourquoi de cette parenté. Elle devient le progéniteur nécessaire et tous ces faits affirment son existence.

Ainsi la science vient à l’appui de la tradition pour affirmer qu’il a dû y avoir un continent intermédiaire entre l’Amérique et l’Europe, un pont naturel qui a servi de passage à la flore, à la faune, et aux races humaines de ces deux continents.





Marc89 ecrit:

Tous ceci montre bien qu'il y a bien eu une Atlantide comme l'avait precisé Platon, mais seul les scientifiques refusent l'evidence et pour mieux enterrer cette histoire ne font pas ressortir toutes ses verités exposés là,  plus certaines preuves tres résumées dont une d'impact d'asteroide d'Otto muck, photo a l'appuie presenté dans le lien a la premiere page, et qu'un Doc Tv avait timidement souligné en le confirmant, et preferent l'eloigner de la verité en la pretendant a Santorin, contre l'écrit de Platon qui precise bien "que quoique bien etrange, est bien la verité" et que la date donné par lui, 9000 Ans Av JC, correspond bien a celle des impacts massif de Caroline et des legendes des survivants de cette catastrophe planetaire de part le monde, meme les Guanches, qui toutes concordent, de meme le changement de climat et la disparition totale de nombreuses especes animale de par le monde et de la  disparition subite de la civilisation magdalenienne.

Voir Lien pour la photo qui est a grossir.
http://racines.traditions.free.fr/delugesa/

Et ces traces d'impact s'etendent autour de Charleston en Caroline sur un rayon d'environ 600 Km, mais seulement visible du ciel.


Tout colle, mais les scientifiques seront bientot acculés un jour devant les faits et devront etre forcés de reconnaitre la verité.

Interets, quand tu nous tiens, ce sont les grandes puissance d'argent sans scrupule qui y perdront, aussi, tant que durera leurs mensonges........





Vous avez aussi les ecrits d'Anton Park grace aux indiens Hopis sur l'Atlantide ET la Lemurie...

Histoire maintenu tres precise qui c'est transmise oralement de generation en generation, sur des milliers d'années...

http://www.antonparks.com/main.php?page=atlantis_mu




D’anciennes sculptures en pierre représentent une énorme frappe de comète il y a 13 000 ans qui a failli faire disparaître les humains

ASR 18 août 2018

Histoire, Monde, Science
https://www.anguillesousroche.com/monde/danciennes-sculptures-en-pierre-representent-une-enorme-frappe-de-comete-il-y-a-13-000-ans-qui-a-failli-faire-disparaitre-les-humains/

Les anciens nous ont laissé un journal intime gravé sur des piliers de pierre parlant d’un astéroïde cataclysmique il y a 13 000 ans qui a causé une ère glaciaire, tué le mammouth laineux et nous a forcé à moderniser les méthodes agricoles. Se lisant presque comme une bande dessinée, les sculptures en pierre trouvées à Göbekli Tepe ont été traduites par des scientifiques pour révéler une série d’événements qui ont changé la civilisation à jamais.

Les ingénieurs de l’Université d’Edimbourg étudiaient les sculptures d’animaux dans le Göbekli Tepe au sud de la Turquie pour voir comment elles se rapportaient à nos constellations. En examinant un pilier particulier, connu sous le nom de “Vulture Stone” (également appelé pilier 43), ils ont trouvé des descriptions de ce qui a maintenant été confirmé comme un impact de comète qui s’est produit vers 10 950 avant J.-C. C’est à peu près au même moment où une “mini” ère glaciaire a commencé. Cette mini-période glaciaire, appelée Dryas récent, n’a duré que mille ans, mais elle revêt une importance particulière pour les scientifiques en raison de son impact direct sur l’humanité. Les preuves suggèrent que c’est pendant le Dryas récent que la première civilisation néolithique est apparue, en même temps que de meilleures méthodes agricoles. Un article sur Phys.org décrit l’importance de cette période : “La période de refroidissement a amené des groupes de personnes à se regrouper pour cultiver des cultures, ce qui a conduit au développement de l’agriculture, ce qui, à son tour, a donné lieu à d’énormes bonds en matière d’innovations technologiques et de développements sociétaux, c’est-à-dire la civilisation néolithique.” Cette période a également été liée à l’extinction du mammouth laineux.


Bien que de nombreuses recherches aient été effectuées sur le Dryas récent, les scientifiques n’ont jamais été en mesure de déterminer vraiment ce qui a déclenché la période. Des suggestions de frappe d’une comète ont été soulevées, mais il n’y a jamais eu beaucoup de preuves pour valider sa véracité. En fait, la théorie semble avoir été démystifiée il y a plusieurs années lorsque les chercheurs ont suggéré que le Dryas récent était déclenché par des changements plus mondains (et graduels) plutôt que par un impact dévastateur d’astéroïdes.
frappe de comète

Les anciennes sculptures en pierre de la Turquie d’aujourd’hui semblent dépeindre une frappe de comète qui a causé une période de changement climatique. Photo : Martin B. Sweatman et Dimitrios Tsikritsis Tsikritsis

Aujourd’hui, cependant, la théorie des comètes gagne du terrain. Le Telegraph.co.uk cite le chercheur principal Martin Sweatman : “Cette recherche, ainsi que la découverte récente d’une anomalie généralisée du platine sur le continent nord-américain, scellent virtuellement l’affaire en faveur d’un impact de comète du Dryas récent. Notre travail sert à renforcer cette preuve physique… l’un des piliers de Göbekli Tepe semble avoir servi de mémorial à cet événement dévastateur – probablement le pire jour de l’histoire depuis la fin de l’ère glaciaire.”

Göbekli Tepe est considéré comme le plus ancien temple du monde, datant d’environ 9 000 ans avant Jésus-Christ et devançant Stonehenge d’environ 6 000 ans. Les chercheurs affirment que les images gravées sur la Pierre du vautour représentent un grand désastre humain et des pertes de vie considérables, comme en témoignent les égratignures d’un homme sans tête.

D’autres symboles sur les piliers environnants suggèrent que Göbekli Tepe a été utilisé comme observatoire pour surveiller le ciel nocturne. Plusieurs images semblent enregistrer l’axe de rotation de la Terre pendant diverses périodes. Ces résultats suggèrent également que la Terre est plus susceptible de connaître des périodes de collision d’astéroïdes en raison de l’orbite de la planète qui croise les champs gravitationnels des fragments de comètes dans l’espace.

   “Beaucoup de peintures rupestres paléolithiques et d’artefacts avec des symboles animaux similaires et d’autres symboles répétés suggèrent que l’astronomie pourrait être très ancienne en effet”, a affirmé le Dr Sweatman. “Si l’on considère que, selon les astronomes, cette comète géante est probablement arrivée dans le système solaire intérieur il y a environ 20 à 30 000 ans, et qu’elle aurait été une caractéristique très visible et dominante du ciel nocturne, il est difficile de voir comment les anciens auraient pu ignorer cela étant donné les conséquences probables.”


A propose de...

Göbekli Tepe fut enregistré en tant que site archéologique en 1963 dans le cadre de recherches turco-américaines. Une équipe d’archéologues américains, dont Peter Benedict, remarqua plusieurs collines étranges recouvertes de milliers de silex cassés, ce qui est un signe certain d’activité humaine. Mais les scientifiques n’eurent alors pas le temps ou les finances pour procéder à des fouilles.

Trois décennies plus tard, un berger de la région aperçut un groupe de pierres aux formes étranges sortant du sol poussiéreux. La « redécouverte » du site parvint aux oreilles des conservateurs du musée de la ville de Şanlıurfa, à cinquante kilomètres. Les responsables du musée contactèrent le ministère approprié, qui, en retour, se mit en relation avec l’Institut archéologique allemand à Istanbul.

Le site a été proposé en 2011 pour une inscription au patrimoine mondial et figure sur la « liste indicative » de l’UNESCO dans la catégorie patrimoine culturel7 jusqu'en juillet 2018, date à laquelle il est inscrit au registre du patrimoine mondial de l'UNESCO.

https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%B6bekli_Tepe

Et:

Depuis le début des fouilles en 1995, ce site du sud-est de la Turquie a transformé la façon dont les archéologues envisagent les débuts de la civilisation. Ses structures circulaires, ornées de pierres minutieusement sculptées, ainsi que ses piliers caractéristiques en forme de T ont plus de 12 000 ans, plus anciens encore que l'invention de l'agriculture ou de la poterie.

https://www.nationalgeographic.fr/histoire/le-plus-ancien-temple-du-monde-va-etre-restaure


Marc89 ecrit:
Remarque, ce site decouvert en 1963 est encore trop peu connu du public, alors qu'il devrait avoir une notoriété mondiale ou presque au meme titre que les pyramides et connu du public depuis longtemps, qu'on fait les scientifiques, tout l'inversent...et c'est grace a internet que cela ressort petit a petit maintenant, ce n'est pas pour autant que les medias s'en empare et relaye l'information pour en éclairer le monde, un cas de plus que l'on peut ranger dans la categorie de... desinformation par la retention d'information...

Entre l'Atlantide qu'ils veulent ignorer, malgré les preuves evidentes et decisive, ce cas et bien d'autres,

http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/japon-plusieurs-pyramides-au-large-de-l-archipel.html

et Yonaguni:  
https://www.anguillesousroche.com/archeologie/monument-marin-de-yonaguni-a-t-coule-pendant-derniere-periode-glaciaire/

cela montre bien qu'a l'echelle mondiale, qu'une retention d'information ou manipulation des preuves est bien a l'oeuvre et continu de l'etre.

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Message par Hakaan Dim 7 Jan 2024 - 20:33

"a une époque ou apparemment nous n'avions pas les outils nécessaires pour réaliser une telle prouesse"
C'est quoi exactement qui aurait pas pu être fait ?

"La géométrie sacrée qui caractérises ces monuments tend a prouver que les concepteurs détenaient un savoir bien supérieur au notre aujourd'hui."
c'est quoi géométrie sacrée ? en quoi ça démontre un savoir supérieur ?

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Message par Nathan 38 Jeu 25 Jan 2024 - 14:13

Bon, on va quand meme faire avancer un peu le post.
Revoyer le texte de Platon avec la description d'au dela des colonnes d'Hercule, citant aussi les iles et le continent americain...entourant cet ocean.

Toutes les preuves rassembler a partir du 1er message...

Une catastrophe frappant la terre, un asteroide avec un lien, et un scientifique en avait calculer sa taille, environ 10 Kms, d'après l'importance et le nombre des impacts, ou exactement a la meme periode, a disparu nombres d'especes animale dans le monde, a disparu un commencement de la civilisation Magdalenienne et entrainer la fonte des glaciers.

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Message par Sod Ven 26 Jan 2024 - 8:50

A propos de ces deux mots de ton titre : "preuves irréfutables...."
...Je ne voit que deux hypothèses :

1 - Soit c'est moi qui ai le QI d'une mère chatte a qui on ne peut pas prouver que 4 moins 1 ça fait trois - ce que je suis prêt a envisager, il y a eut suffisamment de cas dans mon existence où j'ai été complètement idiot pour savoir que ça peut continuer.

2 - Soit c'est toi qui t'es gouré sur ton titre : tu as seulement des arguments en faveurs de l'hypothèse de l'existence de l'Atlantide, ce qui est déjà bien.

Comme je ne vois pas du tout ou sont ces preuves irréfutables, laquelle de ces deux explications te semble la plus probable Nathan ?

Et si t'en a une autre je suis tout ouïe.
Par exemple ce serait la matrice qui me fait halluciner ?

La question à laquelle je te propose de chercher une réponse étant : comment se fait-il que je ne vois pas ou sont ces preuves irréfutables ?

D'avance merci pour ton coup de main Cool

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Preuves irrefutables de l'Atlantide - Page 3 Empty Re: Preuves irrefutables de l'Atlantide

Message par Nathan 38 Ven 26 Jan 2024 - 9:57

Mais tu as raison, mais ils sont tout simplement sous vos yeux, en commençant par le 1er message, mais comme Hakaan vous a fait douter, il est normal que tu ait cette reaction, comme beaucoup.

Comment explique tu la description des iles et de l'amerique ? qu'un scientifique a montré, venant du texte de Platon, et comment Platon et les pretres Egyptiens pouvait le savoir ?...
De meme, ce scientifique, Otto Muck, parle du voyage de Solon en Egypte ou les pretres lui revele qu'il y a eu un deluge universel et que l'Atlantide a sombré dans la mer, et dont Platon, beaucoup plus tard nous le revelera.
Ce texte passe pour etre une imagination de Platon, d'après les scientifiques, mais en allant plus loin, ce scientifique annonce que Platon precise bien de son texte que bien que ce soit extraordinnaire, n'en est pas moins vrai.

Alors pourquoi des sous marins ont été envoyé pour explorer la zone concernée ?

Extrait :

"Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe. C’était l’hypothèse la plus logique et la moins imaginative. Les recherches furent donc en conséquence effectuées dans l’Océan Atlantique. L’Angleterre envoya le Challenger, l’Hydra et le Proserpine opérer des sondages. Les États-Unis) suivirent cet exemple et le Dauphin, le Gettysburg en compagnie de la canonnière allemande La Gazette explorèrent les bas fonds de l’Atlantique à l’endroit indiqué par Platon. Il résulta de ces différents sondages l’affirmation qu’il y avait au fond de l’Océan une vaste île engloutie avec des vallées, des montagnes, des plateaux. Cette île mesurait 3.000 de long sur 100 milles de large. Une immense chaîne de montagnes la traversait et s’y épanouissait, allant dans la direction Sud-Ouest depuis le 50e Nord jusqu’aux côtes de l’Amérique méridionale. Un rameau de cette chaîne prenait une direction S. E. vers l’Afrique et bifurquait vers le sud jusqu’à Tristan d’Acunha ; cette chaîne était haute de 9.000 pieds et il a été prouvé à ce moment que les îles Açores : Saint Paul, Ascension, Tristan d’Acunha n’étaient que les pics de cette immense montagne engloutie. Donc il y a bien au fond de l’Océan un continent effondré dont les sommets des montagnes émergent seuls à l’heure actuelle et constituent des îles. Puis les sondages révélèrent encore que cette île immense était couverte de débris volcaniques provenant d’éruptions gigantesques. Or Platon, comme les livres mayas, raconte que l’engloutissement de l’Atlantide a été précédé d’éruptions volcaniques. Ces faits matériels constituent une preuve tangible de la vérité de la tradition."


Ceci balai que cette histoire est une fable.
Et cela rejoint ce que disais Platon, en prenant soin au depart d'avertir que l'histoire etait bien vrai.


Puis vient toute une suite de preuves diverse que tu peut lire venant du 1er message...


Exactement a la meme periode, environ 12 000 ans, la terre subit un changement de climat majeur, la disparition de nombreuse especes animales dans le monde entier, la disparition complete du debut de la civilisation Magdalenienne, le tout presentant un caractere mondial devastateur et coincidant avec la disparition de l'Atlantide de Platon.

Il y donc eu un element declencheur qui a provoqué tout cela, j'ai mis un lien, et c'est un asteroide de 10 Kms de diametre, environ, qui a provoqué tout ces degats. Il y a aussi les traces d'impact vu du ciel, mais la photo est petite, par contre dans mon livre, elle est de bonne taille.
( Cet impact de l'asteroide a été aussi confirmé il y a quelques années dans un documentaire TV, dans la region de Charleston s'etendant sur 600 Kms.)


Tout ceci explique l'histoire de Platon sur l'Atlantide et le fait que :
" Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe."

Maintenant, si la science était vraiment logique depuis son retournement de veste, pourquoi continuent-ils de temps en temps a ce trouver ou envoyer des chercheurs pour decouvrir et localiser l'Atlantide ?
Pourquoi cette contradiction avec elle meme, ou avec eux meme ?

Quand on ce base sur la verité, il n'y a pas de contradiction, sauf quand il y a mensonge.
La science a mentit et caché la verité sur les ovnis, elle a fait la retention d'information, sur le geant de 7 M pourtant exposé dans un musé, Dieu, le yeti...
Idem pour l'Atlantide...sauf au depart.
Elle n'est pas a son premier mensonge.

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Message par Sod Sam 27 Jan 2024 - 8:26

Nathan 38 a écrit:Puis vient toute une suite de preuves diverse que tu peut lire venant du 1er message...

Merci d'avoir prit le temps de me ré expliquer

(Parce que pour continuer un peu sur ce que je te disais hier sur la FACON de plaider, je ne sais plus si je te l'avais dit donc je te le dis aujourd'hui : trop d'information tue l'information, et je crois bien que c'est pour ça que quand t'as ouvert ce sujet - en plus des dix autres la première fois - au début je n'ai pas tenu le coup, j'ai décroché au bout d'une demi page)

Et comme c'est potentiellement une grosse affaire, je me lancerait peut être un jour à fond dans l'épluchage TOTAL de ton dossier.

Nathan 38 a écrit: ...mais comme Hakaan vous a fait douter, il est normal que tu ait cette reaction, comme beaucoup.

Non c'est pas du tout ça.
Comme c'est un médisant plus souvent qu'à son tour j'ignore la plupart de ses messages en manuel depuis dix ans que je le connais - vu que c'est impossible de mettre ses messages "en ignorés". Je lui ais déjà dit en face sur le forum au moins deux fois.

Nathan 38 a écrit: Comment explique tu la description des iles et de l'amerique ?

Je ne l'explique pas, je ne me suis jamais posé la question.

Nathan 38 a écrit:  qu'un scientifique a montré, venant du texte de Platon, et comment Platon et les pretres Egyptiens pouvait le savoir ?...

Platon explique peut être comment les initiés d'Egypte savaient ces choses mais moi je dirait au pif : par une lecture dans les chroniques de l'akasha ?

Nathan 38 a écrit:Alors pourquoi des sous marins ont été envoyé pour explorer la zone concernée?

Pour essayer de savoir si oui ou non l'hypothèse de Platon ne serait pas en partie exacte, voir totalement exacte. Car écarter une hypothèse a priori au motif qu'elle nous semble farfelue ou nous dérange, ce n'est pas une démarche scientifique et pas journalistique non plus.

Nathan 38 a écrit:" Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe."

Est-ce que t'aurais les noms de ces géologues et anthropologues stp ?
Je te demande ça en prévision du jour où - éventuellement - j'éplucherait cette affaire et passer par les noms des gens en guise de mots clés c'est un bon moyen de chercher

Nathan 38 a écrit:Maintenant, si la science était vraiment logique depuis son retournement de veste, pourquoi continuent-ils de temps en temps a ce trouver ou envoyer des chercheurs pour decouvrir et localiser l'Atlantide ?

LUC 12 - 2 "Il n'y a rien de caché qui ne soit découvert un jour"

Jésus Saint Patron du journalisme normal c'est a dire d'investigation  Wink

Nathan 38 a écrit:Pourquoi cette contradiction avec elle meme, ou avec eux meme ?

Parce que ce sont des humains comme les autres : Ils ne font rien que ce qui les arrangent au lieu D'APPRENDRE bien patiemment à faire passer la vérité avant ce qui nous arrange - et avec celles qui nous dérangent c'est la galère pour tout le monde, y a pas de souci je sais ce que c'est   Smile

Nathan 38 a écrit:Elle n'est pas a son premier mensonge.

Pas au dernier non plus
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Message par Nathan 38 Sam 27 Jan 2024 - 9:41

"Sod"]
Nathan 38 a écrit:Puis vient toute une suite de preuves diverse que tu peut lire venant du 1er message...

Merci d'avoir prit le temps de me ré expliquer

C'est normal.


(Parce que pour continuer un peu sur ce que je te disais hier sur la FACON de plaider, je ne sais plus si je te l'avais dit donc je te le dis aujourd'hui : trop d'information tue l'information, et je crois bien que c'est pour ça que quand t'as ouvert ce sujet - en plus des dix autres la première fois - au début je n'ai pas tenu le coup, j'ai décroché au bout d'une demi page)

Oui, je te comprend.

Et comme c'est potentiellement une grosse affaire, je me lancerait peut être un jour à fond dans l'épluchage TOTAL de ton dossier.

Prend ton temps.  Wink



Nathan 38 a écrit: Comment explique tu la description des iles et de l'amerique ?

Je ne l'explique pas, je ne me suis jamais posé la question.

C'est un des problemes qui ce pose devant certaines informations...


Nathan 38 a écrit:  qu'un scientifique a montré, venant du texte de Platon, et comment Platon et les pretres Egyptiens pouvait le savoir ?...

Platon explique peut être comment les initiés d'Egypte savaient ces choses mais moi je dirait au pif : par une lecture dans les chroniques de l'akasha ?

C'est un point de vu, mais il est logique aussi que puisqu'il a eu une civilisation avant qu'elle ne sombre, que la civilisation es pu s'etendre ailleurs et que l'Egypte, civilisé a un certain niveau... ait reccueillit directement cette histoire, ce n'est pas impossible.
Par ex, Godelki Tepe est estimé a 11 000 ans d'age, cela prouve que la civilisation a commencé plus tot que prevu par la science.
Et probablement en Egypte.


Nathan 38 a écrit:Alors pourquoi des sous marins ont été envoyé pour explorer la zone concernée?

Pour essayer de savoir si oui ou non l'hypothèse de Platon ne serait pas en partie exacte, voir totalement exacte. Car écarter une hypothèse a priori au motif qu'elle nous semble farfelue ou nous dérange, ce n'est pas une démarche scientifique et pas journalistique non plus.

Certe, mais leurs recherchent  CONFIRME le texte de Platon en conclusion.


Nathan 38 a écrit:" Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe."


Est-ce que t'aurais les noms de ces géologues et anthropologues stp ?
Je te demande ça en prévision du jour où - éventuellement - j'éplucherait cette affaire et passer par les noms des gens en guise de mots clés c'est un bon moyen de chercher


Malheureusement non.


Nathan 38 a écrit:Maintenant, si la science était vraiment logique depuis son retournement de veste, pourquoi continuent-ils de temps en temps a ce trouver ou envoyer des chercheurs pour decouvrir et localiser l'Atlantide ?

LUC 12 - 2 "Il n'y a rien de caché qui ne soit découvert un jour"

Jésus Saint Patron du journalisme normal c'est a dire d'investigation  Wink

Heureusement.


Nathan 38 a écrit:Pourquoi cette contradiction avec elle meme, ou avec eux meme ?

Parce que ce sont des humains comme les autres : Ils ne font rien que ce qui les arrangent au lieu D'APPRENDRE bien patiemment à faire passer la vérité avant ce qui nous arrange - et avec celles qui nous dérangent c'est la galère pour tout le monde, y a pas de souci je sais ce que c'est   Smile

C'est vrai, et parce qu'il y a une certaine credibilité dans cette histoire avec toute les preuves rassemblés.


Nathan 38 a écrit:Elle n'est pas a son premier mensonge.

Pas au dernier non plus

C'est pour cela que les recherches ce font a l'opposé du lieu situé par Platon, pour arreter l'affaire en la rendant banale, ininteressante et a enterrer.
Le mal est profond.

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Message par Sod Dim 28 Jan 2024 - 7:08

study

Salut l'ami Nathan,

Si tu n'as pas les noms de ces géologues et anthropologue c'est un peu embêtant, voir beaucoup embêtant mais je m'en passerait.

Nathan 38 a écrit:2 liens ne marche pas.

Preuves irrefutables de l'Atlantide
http://www.onnouscachetout-la-suite.com/t3096-Preuves-irrefutables-de-l-Atlantide.htm


Effectivement ça ne marche pas alors c'est un peu embêtant une deuxième fois. Neutral


Like a Star @ heaven CHERCHER  LA SOURCE ET LA SOURCE DE LA SOURCE

Par contre, j'ai réussit a trouvé d'où vient cette idée de "preuves scientifiques", de l'existence de l'Atlantide. Ce qui n'est pas tout à fait la même chose que des preuves "irréfutable" mais je ne vais pas pinailler là dessus pour aujourd'hui, ça vient de là :

Maurice Glomeau - 1922

Ou plutôt si : je vais pinailler un peu  Wink
Scientifique et irréfutable, ce n'est pas du tout la même chose, il y a une différence énorme et la voici :

Du peu que je sache de la démarche scientifique elle a un autre point commun avec la démarche journalistique du journaliste normal : tu dois fournir tout ton dossier a tes collègues  - sauf secret des sources genre pour protéger les lanceurs d'alerte - pour que tes collègues puisse éplucher le bazar et éventuellement trouver les erreurs qu'il y a dans ton dossier.

Dans la science on appelle ça d'un très vilain mot, on dit que la thèse doit être "falsifiable", c'est a dire que tu dois donner a tes collègues TOUT ce qui leur permettra de vérifier que tu ne t'es pas gouré.

Autrement dit tu dois leur donner la possibilité, en leur donnant tout ton dossier, de réfuter ce que tu prétend.

Donc un dossier digne du nom de scientifique, doit être avoir deux caractéristiques :

1 - Etre réfutable
2 - Et malgré ça non réfuté ... malgré que des gens aient essayé et aient put essayé de le faire parce que tu leur as donné ton dossier qu'ils ont entièrement épluché pour voir si tu ne te serais pas gouré quelque part.

Ce que je viens de commencer a faire parce que c'est dimanche et que je n'ai rien d'autre a faire  Very Happy  : j'épluche ton dossier un petit peu.

Et c'est un petit peu embêtant deux fois de ne pas pouvoir donner les sources / documents d'origine, ou bien les noms de ceux qui auraient trouvé cette Atlantide

Ce n'est pas bien ... le petit Jésus n'est pas content. Very Happy
Ce n'est pas bien parce que pour que des choses cachées puissent être découvertes un jour (Luc 12 - 2) il faut donner ses sources sinon les gens n'ont plus comme seul alternative QUE de te croire ou pas, comme avec le clergé du temps ou eux seuls savaient lire.

Et tu ne trouve pas que c'est un problème ça ? Wink
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Message par Sod Dim 28 Jan 2024 - 7:59

"Mais les philosophes intervinrent. Th. Martin et Humboldt traitèrent l’Atlantide de mythe. Buffon, Tournefort, Oviedo, Mac Culloch, Paw, Bory de Saint Vincent, Gaffarel, prouvèrent par contre que l’Atlantide avait existé et la plaçaient dans l’Océan Atlantique."

Maurice Glomeau - 1922


Si c'était déjà prouvé en 1922 effectivement c'est inquiétant que nous ne soyons pas au courant depuis un siècle.

"Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe. C’était l’hypothèse la plus logique et la moins imaginative. Les recherches furent donc en conséquence effectuées dans l’Océan Atlantique. L’Angleterre envoya le Challenger, l’Hydra et le Proserpine opérer des sondages. Les États-Unis) suivirent cet exemple et le Dauphin, le Gettysburg en compagnie de la canonnière allemande La Gazette explorèrent les bas fonds de l’Atlantique à l’endroit indiqué par Platon. Il résulta de ces différents sondages l’affirmation qu’il y avait au fond de l’Océan une vaste île engloutie avec des vallées, des montagnes, des plateaux."

Maurice Glomeau - 1922


Si je n'ai pas les noms de ces gens, les noms de leur navires suffiront peut être pour savoir ce que eux ont dit et fait.

"L’anthropologie fournit à son tour des témoignages nombreux, en faveur du récit de Platon."

Maurice Glomeau - 1922


Ça d’accord : « en faveur de » ça c’est lucide sur la question de savoir ce que vaut notre savoir sur ce point.

"Ainsi la science vient à l’appui de la tradition pour affirmer qu’il a dû y avoir un continent intermédiaire entre l’Amérique et l’Europe, un pont naturel qui a servi de passage à la flore, à la faune, et aux races humaines de ces deux continents."

Maurice Glomeau - 1922


C'est effectivement très probable que cette Atlantide ait existé.
Je n'en ai jamais douté une seule seconde : c'est très probable mais rien de plus.

Ce chapitre II du livre de Glomeau dont je viens de citer des extraits fait une très bonne liste des indices permettant d'étayer cette hypothèse et de plaider en sa faveur.

Et puis de toute façon : je ne vois pas pourquoi les initiés d'Egypte dont Solon rapporte les propos rapportés par Platon dans le Critias se seraient trompés.

Cela peut arrivé mais enfin bon ...
Ce n'est donc plus qu'une question de temps pour que la vraie découverte de ce continent caché soit avérée ... sous réserve que le verset de Luc 12 - 2 soit bien exact et sous réserve que le dit continent ait existé.

Ce que je crois aussi puisque Rudolf Steiner en parle de L'Atlantide, lui qui lisait dans les chroniques de L'Akasha.
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Message par Nathan 38 Dim 28 Jan 2024 - 10:23

Bonjour l'ami Sod.

Le 2eme lien mene sur un forum ou j'ai mis exactement les meme information que tu as ici.

Oui, je comprend que tu veuille pinailler sur la question de l'irrefutabilité et du scientifique Very Happy

Mais je rappelle les decouvertes faites par les sous marins confirmant le recit de Platon, les noms des scientifiques que tu as trouvés, et celui d'Otto Muck, plus recent qui le confirme aussi.
Mais je rappelle aussi que le texte de Platon cite les iles et l'amerique.

A propos de la cendre et des coulées de laves a l'endroit donnée par Platon, l'auteur scientifique Otto Muck du livre L'Atlantide, legendes & realité, edition Plon, nous dis que cette lave remonté par un des sous marin a ramené un bout de lave vitrifié, or, comme il le dit, il y a 2 façons pour la lave de ce vitrifier, dans l'air, en ce durcissant elle donne tel aspect ou composition, et dans l'eau, c'est autrement, et il est confirmée que cette lave a été durcit a l'air libre avant de s'enfoncer dans la mer il y a environ 12 000 ans.


Dans les preuves données, l'Egypte ce dit etre la fille de l'Atlantide ou une colonnie, ceci expliquerais la connaissance de ces pretres a Solon.
Cela expliquerais mieux la perfection des pyramides sans passer par les etapes intermediaire de la civilisation montrant d'emblée une nette évolution.

Perfection telle qu'en 1985 avait été dit a la radio que nous sommes incapable de le refaire avec notre science moderne.

Les pierres sont comme taillés au laser la ou ce n'est pas esquinté vu a l'interieur de la pyramide et ce n'est pas avec des outils primitif, marteau et burin que l'on y arrive, ou alors il faut y passer un temps enorme.

Dans ces conditions, la pyramide de Kheops serait terminée au bout de combien de siecle ?

Comment expliquer que des pierres comme l'obsidienne et d'autre encore, plus dure que l'acier aient pu etre taillé avec perfection avec des outils de bronze primaire ?

Comment croire que cela peut etre possible. Le bon sens s'y refuse.

De plus, il faut selon Herodote, vingt ans pour construire la pyramide de Kheops pour 2 300 000 pierres, et ses pierres faut les chercher a 900 kms au sud de l'Egypte par bateau.

J'ai fais le calcul, il faut pour tenir dans les temps, 20 ans, 315 pierres par jours, soit 24 H dont il faut deduire la nuit, coupé, taillé, a la perfection comme au laser, amener du Nil, tirer et poser, et la difficulté augmente a mesure que la pyramide s'élevent.

Et quand on voit aussi la taille des pierres, c'est impossible a realiser dans ce temps.

Pour ex dans un doc Tv, une equipe avait travaillé et mis 2 jours pour taillé tres imparfaitement une pierre dans le calcaire, d'un metre de coté seulement et avait abandonnée en laissant la pierre encore scellé a la base... avec les outils, marteau et burins.

Donc, meme avec 100 000 esclaves donnée par Herodote, c'est impossible, surtout avec le niveau de perfection de la taille que cela demande qui prendrait un temps enorme au final.

Donc, je penche nettement plus pour que l'Egypte soit une colonnie de l'Atlantide... comme elle le dit, et sans l'expliquer par les annales akasique. Wink

Et dans ces conditions, la logique ne peut que dementir l'histoire officielle sur la construction de kheops et de ses 2 campagnes.
Cela demande une technologie dont l'Egypte antique est incapable d'avoir pour la construire dans ce temps si court.

Reste l'Atlantide, ou l'Egypte ce dit etre une de ses colonies.



Les indiens, la race rouge, et tu remarqueras certaines scultures Egyptiennes dont certaines ont la peau normale... et d'autre rouge.


La langue basque :
https://www.en-pays-basque.fr/patrimoine-et-traditions/histoire-de-la-langue-basque/

De nombreuses hypothèses existent quant aux origines de cette langue. D’après des chercheurs, la population basque descendrait directement de populations paléolithiques qui habitaient le Sud-Ouest de la France et le nord de l’Espagne avant l’arrivée des populations néolithiques porteuses des langues indo-européennes. Ainsi, la langue basque existait donc avant l’intrusion des Indo-européens ce qui fait d’elle l’une des plus vieilles langues du monde.

Dans le domaine linguistique, on parle d’isolat. En effet, le basque, « Euskara » en basque, est une langue dépourvue de parents proches et est donc « isolée ». Elle ne ressemble à aucune autre langue que l’on connaît qu’il s’agisse des mots en eux-mêmes ou de la structure des phrases.


Or, a l'ecole, on nous avaient appris que les basque allant en amerique ce comprenait parfaitement bien avec certaines tribus indiennes.


Et la tradition Basque nous dit : " les Basques sont les premiers à reconnaître qu’au début, d’après leur tradition, ils vivaient isolés dans un pays restreint, borné de tous côtés par la mer."


A propos des basques :
http://clipa.e-monsite.com/pages/atlantide/les-basques-descendants-des-atlantes.html

Il y a un aussi lien ou certaines lanques pourtant distante ont un alphabet presque semblable au chapitre 37 ou tu donne le lien de la source.


J'arrete là pour le moment parce que c'est long.

J'espere que le petit Jesus ne me taperas pas sur les doigt.  Wink

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Message par Sod Dim 28 Jan 2024 - 12:13

Nathan 38 a écrit:J'espere que le petit Jesus ne me taperas pas sur les doigt.  Wink

Le connaissant ça m'étonnerais - c'est un bon gars, pas le genre de type violent - ou alors il tapote juste un petit peu pour que tu t'applique bien comme il faut dans ton travail, c'est tout.  Smile

Car si t'es missionné pour découvrir une chose cachée, (Luc 12 - 2) c'est important de t'appliquer comme il faut.

Nathan 38 a écrit:... l'auteur scientifique Otto Muck du livre L'Atlantide, legendes & realité, edition Plon, nous dis que ...

Voilà, donner ses sources c'est ça.

Nathan 38 a écrit:Dans les preuves données, l'Egypte ce dit etre la fille de l'Atlantide ou une colonnie, ceci expliquerais la connaissance de ces pretres a Solon.

Bon... Rolling Eyes
...Alors...

Comment dire ... Very Happy

Les preuves littéraires sont des choses qui existent.
Moi même quand je fais des listes de versets concordants sur un consensus de Sophia perennis, JE PROUVE que littérairement parlant, de nombreuses traditions sont d'accord pour enseigner ceci cela, c'est à dire que toutes sont d'accord pour le dire, c'est ça qu'une liste de verset concordants prouve : que toutes les traditions sont d'accord pour nous dire que ceci cela.

Je prouve que les traditions disent que.

Donc la bonne question à se poser quand on estime avoir prouver c'est parfois de se demander c'est quoi qui est prouvé ?

Ces preuves dont tu parles au dessus, que prouvent-elles ?

Like a Star @ heaven « Une enquête du journaliste italien Sergi Frau publiée en 2003 a convaincu certains historiens que la Sardaigne était conforme à la description que faisait Platon de l’Atlantide. »

Les gens qui oublient que si ça se trouve, quelqu'un a déjà fait tout le boulot dans lequel eux voudraient se lancer sont souvent amenés a réinventer l'eau tiède, ce qui peut être très formateur aussi.

Antidote : faire d'abord l'état des lieux de ce qui est fait.

« De nombreuses recherches sont toujours menées aujourd’hui par des archéologues, des géologues, des volcanologues ou même des entrepreneurs pour trouver l’Atlantide. Il n’est plus surprenant de voir fréquemment dans les médias : “on a localisé l’Atlantide !”, comme le 23 août 2016, lorsque La Stampa, un quotidien italien, assure que l’on a déterminé la position de l’île perdue grâce à la photogrammétrie aérienne. »

Heureux d'apprendre que des scientifiques font ces recherches.
Il n'est pas vrai que tous soient des méchants soldats de la Matrice.

C'est des vrais scientifiques qui ne préjugent ni que Platon aurait raison ni qu'il a tord.

Il cherchent a tranché la question.

« Que ce soit par un scientifique ou un simple explorateur, on retrouve tout type d’acteur dans la recherche de la cité perdue. Le célèbre réalisateur et scientifique James Cameron a produit un documentaire d’une heure et demie en 2017 montrant des enquêtes menées pour trouver l’Atlantide. »

Voilà qui me semble une bonne source pour que le néophyte comme moi commence par se renseigner sur la question "où en est la recherche ?" et s'évite donc ainsi la perte de temps ou on ne va prouver qu'un truc : c'est possible de réinventer l'eau tiède.

Source des trois citations :

https://revue-histoire.fr/histoire-ancienne/atlantide-une-enigme-resolue/

Like a Star @ heaven Enfin, ... ça va bien que c'est dimanche et que je m'emmerde chez les terriens, que je n'ai rien d'autre a faire parce que sinon, j'ai un peu autre chose a faire que de t'expliquer pourquoi POUR LE MOMENT je ne te crois pas quand tu dis que tu as des preuves irréfutables.

A mon avis, et jusqu'à preuve du contraire, tu ne fais que nous prouver tes convictions qui sont des ennemis de la vérité pires que le mensonge... excuses moi si je me mêle de ce qui ne me regarde pas mais tu devrais faire attention avec tes convictions Wink

Du moins si tu es en recherche de la vérité ...
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Message par Nathan 38 Dim 28 Jan 2024 - 17:28

Sa me rassure, je craignais pour mes doigts. Wink

Missionné, non.


"A mon avis, et jusqu'à preuve du contraire, tu ne fais que nous prouver tes convictions qui sont des ennemis de la vérité pires que le mensonge... excuses moi si je me mêle de ce qui ne me regarde pas mais tu devrais faire attention avec tes convictions  Wink "

Tu as assez raison dans ce cas, mais je convaincu avec raison par le livre d'Otto Muck qui prouve vraiment l'Atlantide avec la reunion de toutes les preuves qu'il a reuni en tant que scientifique. En conclusion, on ne peut que l'accepter comme veridique, et tu es excusé. Wink


Je n'ai pas trouvé de sources pour chacunes des preuves, sauf pour le bananier. Non pas qu'elles n'existent pas certainement, mais qu'internet ne les possedent semble t-il pas parce trop poussé, je suppose.




Tu remarqueras que les anciens scientifiques disaient avoir trouvés les preuves de l'Atlantide autour des Açores, lieu situé en gros par Platon.

1erement : pourquoi ces scientifiques actuel et autres ne tiennent aucun compte du texte de Platon.
2emement : son texte parle de l'amerique et le decrit tres bien, et des iles caraibes...
3emement : Platon situe l'Atlantide en Atlantique.
4emement : d'anciens scientifiques disaient avoir trouvés les preuves de l'Atlantide autour des Açores, comme Otto Muck, ces resultats, ils peuvent les obtenir en faisant serieusement leurs travail, c'est ce qu'a fait Otto Muck et parce que cela coute aussi de l'argent.
5emement : Le texte de Platon precise que l'Atlantide a voulu conquerir l'europe et l'asie et que l'invasion venait de l'ouest, de l'Atlantique, que cétait une puissance formidable. Tiré du livre d'Otto Muck. L'Atlantide, legendes & realité, edition Plon.
6emement, sa date remonte vers 12 000 ans.
7emement : cela coincide parfaitement avec les catastrophes planétaire majeur, comme le changement de climat, la disparition de nombreuses especes animales autour du monde, la disparition soudaine du debut de la civilisation Magdalenienne et de la chute d'un asteroide de 10 Kms, avec photo de l'impact, rayonnant jusqu'a 600 Kms au delà de Charleston.  : http://racines.traditions.free.fr/delugesa/

L'éruption minoenne désigne l'explosion, aux alentours de 1600 av. J.-C. , du volcan de Santorin.

Alors pourquoi chercher a Santorin ou juste a coté de Gibraltar, soit a l'opposé ou au depart du chemin menant vers l'Atlantide ?

Moi, si on me dit qu'on pourrait decouvrir un trésor a Rouen, par ex, je ne vais pas aller aux Pyrrénés si j'habite en espagne du nord, c'est soit de la stupidité pure ou une mauvaise volonté évidente dans l'intention de tricher, comme de ne pas citer le texte de Platon en entier pour decrire et convaincre definitivement que son emplacement se situe bien en atlantique.

Et situer l'Atlantide à Santorin est totalement ridicule et ne tient pas, non pour la catastrophe qu'elle genera, pour la date qui ne correspond absolument pas et comment une ile aussi insignifiante, avec si peu d'habitants, vivants plutot sur les cotes, des villageois au mieux, et plutot des pecheurs, sans grandes cités, aurait pu avoir une telle incidence et aura civilisationnelle sur le monde autour pour faire parler de lui, au point que meme les Egyptiens le noteraient tant ils les marquerent, alors qu'ils ne represente rien en tant que civilisation, ce qui signifie qu'elle aurait été assez rapidement oublié, comme pour le Krakatoa qui finira oublié.


Mais si vraiment par hasard l'Egypte l'aurait noté et le designait comme étant l'Atlantide, Platon l'aurait alors immanquablement situé entre la Grece et la Turquie.
Donc, cette histoire de Santorin ne tient pas pour plusieurs raison. La date, l'emplacement, son aura civilisationnel nul, et "la puissance formidable qui voulait envahir l'europe et l'asie" par l'ouest, precisé par Platon, ecarte d'emblée Santorin.

Donc, il faut suivre le texte de Platon. Tout situe l'Atlantide dans l'ocean. C'est lui qui a raison.

Alors pourquoi insister a vouloir la situer particulierement a cet endroit, ce qui ne remplit aucun des criteres de Platon  ?

La encore, on possede des renseignements precis par Platon, et des recherches effectués par les sous marins, confirmés par Otto Muck, scientifique, mais ils n'en tiennent AUCUN compte.

Donc, soit en tant que geologues ou autres, je comprend tout de travers quand je lis Platon et ne sais lire que jusqu'a "au dela des colonnes d'Hercules" et pas plus loin, comprend qu'il faut aller a l'opposé du lieu precisé...n'arrive pas a lire pour les iles et un continent  ( l'amerique ) entourant cet ocean qu'il decrit tres bien, et ne comprend pas, de meme l'avertissement precisant que bien que cela paraisse extraordinaire, ce n'est pas moins vrai, balayant la pretendu fable des scientifiques conclu avec une legereté etonnante, qu'ils n'ont pas remis en cause, et ne tient aucun compte des recherches deja effectués aux Açores ou l'ignore totalement par manque de serieux.

soit je suis un branleur.
Soit, je triche...

Pour moi, il y a beaucoup de triche...

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Message par Nathan 38 Lun 29 Jan 2024 - 10:45

En conclusion, TOUT situe l'Atlantide en Atlantique, et écarte definitivement Santorin, qui alors aurait été signalé par Platon, inevitablement, et le ridicule minuscule ilot engloutit a quelques kilometres devant Gibraltar que l'on a trouvé et qui n'a vraiment aucune importance en tout point, fait qu'il ne meritait meme pas qu'on en parle, sauf pour les archeoloques.

Donc, si je ne suis pas un branleur, si je suis honnete, c'est plutot vers les Açores que je concentrerais mes recherches par rapport aux decouvertes deja faites par les 3 sous marins y trouvant la cendre volcanique et confirmant le recit de Platon, confirmé aussi par Otto Muck, un scientifique, plus la lave vitrifié qu'a l'air libre, car sous l'eau, elle change de composition ou ce presente differemment, dans son livre l'Atlantide, legendes & realité.

" Buffon, Tournefort, Oviedo, Mac Culloch, Paw, Bory de Saint Vincent, Gaffarel, prouvèrent par contre que l’Atlantide avait existé et la plaçaient dans l’Océan Atlantique."
Merci Sod. Wink

Ne pas le faire, revient a vouloir tromper le monde sciemment, et a fausser volontairement les resultats.
( j'exclus les branleurs )




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Message par ness Lun 29 Jan 2024 - 11:02

Si tu es si encolère contre les gens parce qu'ils ne te donnent pas ce que tu attend, tu peux aller le chercher toi meme non?
On va pas bouffer toutes les couleuvres de tout le monde, ça va nous faire une indigestion! Preuves irrefutables de l'Atlantide - Page 3 1f604  Preuves irrefutables de l'Atlantide - Page 3 1f604
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Message par Nathan 38 Lun 29 Jan 2024 - 12:18

En colere ? non, je presente logiquement afin de bien saisir le probleme et la tromperie, c'est tout, et si aucun ne me donne pas, ce n'est vraiment pas grave, je n'attend pas qu'on me donne; ni aucune reconnaissance, je m'en moque bien, je ne suis qu'un relais, et sa passe ou pas, quand a le chercher moi meme, j'ai les preuves par le livre d'Otto Muck : Atlantide, legendes & realité, edition Plon.

Il faut un minimum d'explication pour sortir du probleme dans lequel on nous place afin de le presenter tel qu'il est, il faut donc des bases valables pour etablir la verité quand il y a tromperie, ce doit etre expliqué de maniere a ne pas y revenir dessus, c'est pourquoi il faut detailler c'est necessaire pour avancer et n'avoir plus a y revenir pour bien clarifier ce qui est, après, une fois établit si possible, libre a chacun de choisir ensuite.

Mais au moins, il aura de meilleures bases pour faire son opinion.
Après s'il n'y croit pas, sa le regarde.

Et je le repete, je n'attend aucun remerciement ou autre, je fais cela de maniere desinteressé, mais pour que la verité puisse passer et s'établir, il faut un minimum la defendre et l'expliquer.

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Message par ness Lun 29 Jan 2024 - 15:06

Si Platon n'avait pas parler de l'Atlantide, personne ne la chercherais.

J'ai toujours préféré la source comme point de repère, et la source ici , c'est Platon.
Chacun fera selon son intuition perso, c'est la liberté du sage.
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Message par Nathan 38 Lun 29 Jan 2024 - 16:10

Je doute que l'intuition suffise a tous et s'en contentent...

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Message par Nathan 38 Lun 29 Jan 2024 - 17:23

Ici, j'ai le dialogue complet des pretres Egyptiens a Solon, mais rien sur le lieu situant l'Atlantide.

https://atlandides.hypotheses.org/156

C'est pourtant de cette partie du texte manquant que ce refere de nombreux chercheurs...

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Message par Sod Mar 30 Jan 2024 - 8:06

Nathan 38 a écrit:... et tu es excusé. Wink

Merci c'est gentil
C'est souvent que j'en ai besoin - d'être excusé.

léger HS mais pourquoi pas:


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Message par Nathan 38 Mar 30 Jan 2024 - 9:22

Alors tu es a nouveau excusé...et encore excusé...et c'est sincere. Wink

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Message par Chris Red Mar 30 Jan 2024 - 9:25

Moi, je te remercie Nathan d'avoir pris le temps de détailler le cas de l'Atlantide, et notamment celui des pyramides. Mon frère s'est beaucoup penché sur la question lui aussi, et il est parvenu au même constat concernant la taille des pierres, l'acheminement et l'impossibilité que ce travail colossal ait pu être effectuée par des esclaves au marteau et au burin.

Il est clair que le terme "preuves irréfutables" pose problème je pense, mais personnellement, je suis quand même assez convaincu par l'existence de l'Atlantide, ça me semble être du bon sens.

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Message par Nathan 38 Mar 30 Jan 2024 - 11:46

Merci Chris Red Wink

Oui, le bon sens permet de faire avancer les problemes.

C'est là que l'on voit certaines incoherence.
1/ Cette pyramide est un tombeau et doit etre achevé avant la mort du pharaon, chose impossible a realiser dans les 20 ans donnée par Herodote.
2/ On demande aux ouvriers l'absurdité de tailler les pierres comme couper au laser avec des outils primaires ce qui ne fera que retarder la construction du "tombeau" tres au dela du delai necessaire, alors, tombeau ? on en doute...
3/ Pour augmenter la difficulté, il faut d'enorme pîerres.
4/ Quand on regarde les civilisations qui suivent, les romains et autres, avec des moyens superieurs taille des pierres en proportion de leurs moyens technique.
Bizzare, non ?
Puisque a ecouter l'histoire, cela semble facile, il suffit de le decider, et sa marche, le tout dans les delai, alors pourquoi, ce n'est plus le cas ensuite ?

Tu remarqueras, que plus on remonte dans le passé en faisant des recherches, plus il y a de pierres énorme dans le monde et ou aucun joint ne permet de glisser une feuille entre.


La seule explication de bon sens, est qu'il y a eu une civilisation assez avancé dans le passé pour les realiser.
L'Atlantide devrait etre cette civilisation remontant a des millénnaires.


De l'emplacement supposé aux Açores, de l'Atlantide a l'Espagne, 1500 Kms, jusqu'a l'Egypte, il y a plus de 5200 Kms ( voir avec google earth ) or, comment les pretres d'Egypte ont pu consigner cette histoire alors qu'on est supposé vivre a l'etat de sauvage et que les tribus et communications avec le langage different mettait des obstacles immense avant que cela leur parviennent et ne soit deformé, et qu'avec le temps, cela perdrait de son importance et s'effacerait de la memoire des hommes.
De plus, les capacités maritimes de l'epoque a ma connaissance ne devait pas s'engager tres loin autour de l'ile, et des continents, ne connaissant normalement rien au dela d'un court perimetre, cela ne ce reduisait qu'a la peche, et le contact avec l'europe devait etre accidentel ou exceptionnel, plus la barriere des langues et des peuples tribal qui devait un serieux frein pour l'information d'un point a un autre a grande distance.

Autant dire que c'est presque impossible.

Officiellement, il n'y a pas de civilisation a cette epoque a 9 000 ans av JC, donc, la question de bon sens est, pourquoi des geologues et archeologues avec bac + 5 et études ( je ne compte pas les branleurs  Cool  ) ce mettent a y croire et partent meme a sa recherche, et continuent sur plusieurs decennies, en citant qu' une partie du texte de Platon ?
C'est absurde, c'est aller contre le bon sens, donc, ils ont trouvé Santorin, ( 1600 ans pour la catastrophe )  ce qui serait plus normal et en adequation avec l'epoque et la civilisation, mais dans ces condition, Platon l'aurait situé lui aussi à Santorin, proche de la Grece et pas en Atlantique.
Comment une telle erreur aurait pu ce produire ? c'est impossible, l'Egypte avait deja une civilisation millenaires et ne pouvait que le savoir et le transmettre a Solon...etc... puis a Platon.
Donc, inevitablement Santorin aurait été designé.

Et comment ces chercheurs avec le bac +...et etude solide soi disant ne l'auraient pas compris ?
Un peu de reflexion regle definitivement ce probleme et l'exclus completement de la recherche.

2eme incoherence.
Ces geologues et archeologues font confiance a Platon, mais ne le suivent plus dès que cela parait depasser le cadre de la normalité et n'en font qu'a leur tete, vont a l'opposé du lieu indiqué, Santorin, persistent, alors que Platon l'aurait inevitablement designé, ce qui est absurde.

3eme incoherence.
En ne suivant pas Platon, c'est le meilleur moyen de ne jamais trouver l'Atlantide.

Ils ne donnent aucune chance de verifier les ecrits de Platon, depensent beaucoup d'argent pour maintenir la fiction de la Santorin-Atlantide.


4/ Que conclure d'apres vous tous devant toute ces incoherences, quand une simple reflexion basique de bon sens a la portée de tous, auraient suffit a eviter ?...

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Message par Sod Mer 31 Jan 2024 - 8:35

Nathan 38 a écrit:Ici, j'ai le dialogue complet des pretres Egyptiens a Solon, mais rien sur le lieu situant l'Atlantide.

https://atlandides.hypotheses.org/156

C'est pourtant de cette partie du texte manquant que ce refere de nombreux chercheurs...

J'ai cliqué sur ton lien et je suis tombé sur ça :

Error 503 Backend fetch failed
Backend fetch failed

Guru Meditation:
XID: 103594996

Varnish cache server


Very Happy Par contre, dans la famille "je voudrais la source et la source de la source" peut être qu'en cherchant plus précisément qui étaient ces prêtres égyptiens dont Solon aurait recueillis le récit d'après Platon on trouverait quelque chose d'intéressant ?

Et peut être aussi se demander "mais c'était qui ce Solon ?"
Qui parle et pour dire quoi est parfois une bonne piste de recherche aussi.

Mais bon : si j'ai rien d'autre a faire je m'occuperais de ça dimanche prochain Smile

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Message par Chris Red Mer 31 Jan 2024 - 9:17

Je pense que ça devait être ça :

https://ultravelum.wordpress.com/2018/06/19/platon-recit-de-latlantide-par-un-pretre-egyptien-a-solon/

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Message par Nathan 38 Mer 31 Jan 2024 - 9:28

Chez moi, le lien fonctionne bien.

Par contre le nom des pretres, tu ne les auras pas. Surprised


Merci Chris Red. Wink



Voici le texte en entier, et c'est long.

https://atlandides.hypotheses.org/156


1. AUX SOURCES DU MYTHE : PLATON
Publié le 16 septembre 2020

Toute étude du mythe de l’Atlantide demande d’en revenir au « point-zéro » de la légende. L’île d’Atlas est mentionnée pour la première fois par Platon dans deux dialogues, le Timée et le Critias : deux dialogues dans lesquels un personnage raconte à Socrate et à ses camarades le très ancien récit de l’Atlantide, tel que l’aurait révélé – à travers plusieurs intermédiaires – un prêtre égyptien. Il est temps de rentrer dans le détail du texte platonicien.

Présentation générale du Timée et du Critias

Comme chacun sait, le philosophe grec Platon, élève de Socrate, nous a légué sa doctrine sous une forme particulière : non pas des traités ou des dissertations (comme le fera notamment Aristote), mais des dialogues dans lequel  il met en scène son maître, Socrate, discutant avec d’autres interlocuteurs.

En rédigeant son œuvre de manière dialoguée, Platon insiste sur une dimension importante de la recherche du vrai : la connaissance ne s’acquiert qu’à plusieurs, par la création d’une dialectique féconde, où les idées s’opposent, s’entrechoquent, se complètent. Pour Platon, cette médiation du dialogue est seule en mesure de nous faire dépasser les opinions particulières et de nous faire accéder à l’universel. Cette dimension dialogique confère une force particulière aux écrits de Platon : les concepts sont « mis en scène » dans des discussions entre personnages, et ces discussions contiennent une part de digressions, d’allégories, de paraboles, de récits mythiques, censées « illustrer » le propos de tel ou tel personnage. C’est précisément dans le cadre d’une « illustration » de ce type (où la parole orale à toute son importance) que nous allons voir surgir la silhouette de l’Atlantide.

Revenons-en au Timée et au Critias. Ces deux dialogues ne sont pas, de nos jours, les plus connus de Platon. D’autres textes du philosophe grec sont, pour nos yeux de lecteurs modernes, plus célèbres : parmi les œuvres de Platon qui nous sont plus familières, on peut citer la République, le Livre des Lois (voués à la réflexion politique), le Banquet, le Phèdre, le Phédon (où l’on discute des passions, de l’âme, de l’amour), le Théétète (centré sur la science), le Gorgias (dont l’enjeu concerne la rhétorique), le Cratyle (sur le langage)… Si le Timée et le Critias sont moins en lumière que d’autres textes platoniciens, ils ont néanmoins une place essentielle dans son œuvre.

On peut commencer par observer qu’ils devaient très probablement composer une trilogie (Timée, Critias, Hermocrate), mais que cette trilogie est tronquée : l’ensemble s’interrompt au milieu du Critias, si bien qu’au lieu de 3 textes, nous n’en avons qu’un et demi (le Timée au complet, puis les pages initiales du Critias) : par exemple, dans l’excellente édition « GF » dirigée par Luc Brisson, nous comptons 125 pages de texte pour le Timée, et à peine 27 pour le Critias.

Cet ensemble inachevé (car il s’est perdu, dès l’Antiquité) avait un sujet très ambitieux, et assez singulier dans l’œuvre de Platon : il s’agissait de réfléchir sur les origines du monde et de l’humanité – et de disserter sur notre place dans l’univers. C’est un thème fascinant (déjà abordé par un certain nombre de philosophes pré-socratiques), qui intéresse beaucoup la pensée grecque de l’époque classique, hantée par l’idée de déterminer la juste place de l’homme dans le Cosmos.

Un tel sujet explique que ces dialogues (et particulièrement le Timée) aient eu une influence non négligeable, spécialement chez les humanistes de la Renaissance – car ce type d’interrogation revient en force aux XVe et XVIe siècles. On peut dire que la Renaissance va commenter et discuter le Timée avec une prédilection spéciale. Platon a acquis à l’époque une autorité extraordinaire, il est vu comme l’une des représentations les plus abouties de la sagesse grecque. Philosophes, mathématiciens, astronomes essaient donc de pénétrer le texte et d’en saisir le sens caché, notamment d’un fameux passage sur la création de l’univers et sur ce que Platon appelle l’Ame du monde. Pourquoi ? Parce que c’est une cosmogonie, un texte étrange d’une grande densité, dont le ton est différent de tous les autres dialogues, qui semble recéler un secret mystérieux.

Ainsi, pour nous en tenir à un exemple, dans sa grande fresque de l’Ecole d’Athènes, qui rassemble, sur un mur de la chambre dite de la signature du Vatican tous les grands philosophes de l’Antiquité (on reconnaît aussi Héraclite accoudé, Euclide entouré de ses disciples, Ptolémée discourant d’astronomie, etc.), Raphaël a représenté, au centre, Platon tenant à la main le texte du Timée, aux côtés d’Aristote qui tient l’Ethique. C’est le signe de l’importance attribuée à ce texte. Certains sont mêmes convaincus, au XVIe siècle, que le Timée est l’œuvre capitale de Platon, en quelque sorte son « testament ».

Plus exactement, quelle est la structure du texte ? La trilogie inaugurée par le Timée devait construire un large discours sur les origines. Discours sur les origines de l’homme, de l’univers, et des grandes sociétés humaines. Au cœur du Timée, nous trouvons une réflexion sur la formation du monde, sur le principe quasi pythagoricien de l’harmonie céleste, des correspondances secrètes que le Démiurge (c’est-à-dire le créateur de la matière qui nous entoure) a établies entre le macrocosme (la terre) et du microcosme (l’homme)… Platon donne là sa vision des sources mêmes de l’univers.

Mais que vient faire l’Atlantide là-dedans ? Son sujet peut sembler assez hétérogène. En fait, le propos sur l’Atlantide trouve assez naturellement sa place au début du texte. Car les premières pages du Timée ont encore une coloration politique. Au début du texte, nous apprenons que Socrate s’était entretenu la veille avec trois de ses invités : Timée, Critias, Hermocrate. L’entretien de la veille avait porté sur la politique : Socrate leur avait exposé qu’elle était, d’après  lui, la constitution la plus parfaite (on peut imaginer que els discussions de la veille ont porté sur des sujets proches de ceux abordés dans La République, par exemple : sur les lois les plus justes et le meilleur mode de gouvernement de la cité)

Au début du Timée, lorsqu’il revoit ses trois amis, Socrate se demande si l’Etat qu’il a décrit la veille correspond à quelque chose de réel, et n’est pas qu’un doux rêve… Il dit qu’il appartient maintenant d’en décider à ses interlocuteurs. C’est pourquoi chacun des trois interlocuteurs (Timée, Critias et Hermocrate) est invité à répondre à Socrate, en relation avec le thème politique de la ville idéale.

C’est Critias qui commence : sa réponse est assez brève (8 pages dans notre édition) car il ne veut pas monopoliser la parole : « la constitution que tu proposes, dit-il en substance à Socrate, a existé autrefois à Athènes. Dans l’Athènes des origines, il y a bien longtemps… » Critias explique qu’il tient cette information d’un de ses ancêtres, amis du grand Solon. Solon, à son retour d’Egypte, lui raconta qu’un vieux prêtre égyptien lui avait appris que, neuf mille ans auparavant, Athènes avait eu les plus belles institutions politiques. En ce temps-là, Athènes produisit même des hommes héroïques qui défendirent l’Europe et l’Asie contre les rois de l’Atlantide, grande île qui émergeait au-delà des colonnes d’Héraklès. Ces rois entreprirent de soumettre à leur domination tous les peuples riverains de la Méditerranée. Ils furent battus par les seuls Athéniens, et leur défaite fut suivie d’un cataclysme qui engloutit subitement leur île, et avec elle l’armée des Athéniens.

Critias promet de compléter et de préciser son récit, mais seulement le lendemain ; son exposition est donc remise à plus tard, plus exactement à la conversation qui doit suivre le jour d’après, car ils ont déjà prévu de se revoir. C’est donc dans le Critias, censé se passer un jour suivant, que Critias va reprendre, en les complétant, les informations données dans le Timée.

Timée, présenté comme le plus savant d’entre eux en mathématique et en astronomie, prend ensuite la parole. Il va aborder la question de beaucoup plus loin. Il explique, en substance, qu’une bonne constitution doit être en harmonie avec les lois de la nature. Les lois humaines doivent être dans la continuité des lois naturelles. Pour cela, il se lance dans une longue fresque dont on peut dire qu’elle oublie un peu le sujet initial… En fait, il va exposer ses théories sur la formation de l’univers, puis sur celle de l’homme. De facto, il monopolisera la parole pendant près de 100 pages (il est donc logique que le dialogue porte son nom)

Timée de Locres expose donc une longue réflexion sur l’origine et la nature du monde physique et de l’âme humaine vues comme les œuvres d’un Démiurge tout-puissant. Il en profite pour aborder aussi le fonctionnement du corps humain (car à ses yeux l’homme est un univers en réduction, un microcosme assujetti aux mêmes lois que le macrocosme). Il évoque aussi les questions de la connaissance scientifique et de la place des mathématiques dans l’explication du monde.

Evidemment, le discours de Timée déborde largement le sujet proposé par Socrate. C’est qui fait le charme de ce dialogue, où l’on ne discute ni de politique ni des passions humaines, comme dans d’autres textes platoniciens, mais des secrets de la matière, du corps humain, et de la formation du monde (au passage, on comprend qu’avec de tels sujets, ce texte ait plu aux humanistes de la Renaissance ! Le livre est vraiment vu à l’époque comme une synthèse du savoir antique).

L’Atlantide dans le Timée

Plus spécifiquement, venons-en au récit de l’Atlantide tel qu’il est développé dans le Timée. Au début du texte, invité par Socrate au même titre que ses deux autres camarades, Critias prend brièvement la parole. Socrate se demande si ce qu’il a pensé en termes de cité idéale, et de constitution parfaite, correspond à une quelconque réalité… et Critias lui répond que oui, sa République, sans qu’il le sache, correspond exactement à ce que fut l’Athènes des premiers jours.

Il s’en explique en racontant qu’il tient ces informations sur l’Athènes archaïque de l’un de ses ancêtres, qui lui-même l’entendit du grand Solon. Rappelons que Solon (en grec ancien Σόλων) est un personnage historique athénien bien réel, né à Athènes vers 640 av. J.-C. et mort sur l’île de Chypre vers 558 av. J.-C. Solon est un homme d’État, un grand réformateur et législateur, et accessoirement un poète. Souvent considéré comme ayant instauré la démocratie, il fait partie des Sept Sages de la Grèce (titre donné par la tradition grecque à sept anciens hommes politiques, législateurs ou philosophes de la Grèce antique, considérés comme des modèles collectifs). Solon a en effet joué un rôle politique important, étant à l’origine d’une série de réformes qui accroissent considérablement le rôle du peuple dans la politique athénienne. Solon est resté dans les mémoires grecques comme un législateur vénéré, ayant également voyagé dans la Méditerranée, et acquis, au fil de ses déambulations, une sagesse particulière. Il est par exemple présenté très élogieusement dans les œuvres de Xénophon, Platon et Aristote. Eh bien, Solon aurait fait une révélation à l’un des ancêtres de Critias, qui l’aurait ensuite répétée à son petit-fils. Cette révélation, Solon la tiendrait d’un ancien prêtre égyptien.

Critias commence son propos par une sorte de « captatio benevolentiae », qui pique la curiosité de Socrate (nous reproduisons ici la traduction de Victor Cousin) :

Écoute donc, Socrate, une histoire très étrange, et pourtant très véritable, que racontait jadis Solon, le plus sage des sept sages. Il était grand ami de mon bisaïeul Dropide, comme il le dit lui-même en plusieurs endroits de ses poésies. Il raconta à Critias mon aïeul, comme ce vieillard me le redit à son tour, que cette ville d’Athènes avait fait autrefois de grandes et admirables choses, aujourd’hui tombées dans l’oubli par la longueur du temps et la destruction des générations, mais une surtout dont le récit doit servir à la fois à satisfaire ton désir et à louer la déesse en cette réunion d’une manière juste et convenable et comme si nous lui chantions un hymne.

Puis nous avons la véritable entrée en matière avec le récit fait par Critias des confidences de Solon, telles que son grand père les lui aurait répétées… Critias insiste beaucoup sur les circonstances de cette confidence extraordinaire qu’on lui aurait faite, enfant… Celles-ci seraient liées à un  mystérieux voyage en Egypte de Solon, et à une conversation avec un prêtre.

Je vais dire cette vieille histoire comme je l’ai entendue raconter par un homme qui lui-même n’était pas jeune. Car Critias n’était pas loin alors, à ce qu’il disait, de sa quatre-vingt-dixième année, et moi j’avais à peine atteint ma dixième. C’était le jour Curéotis des Apaturies, et les enfants y jouaient le rôle qu’ils ont coutume de jouer à cette fête. Nos pères avaient proposé des prix pour ceux qui réciteraient le mieux des vers. On chantait donc maints poèmes de maints poètes, et les poésies de Solon étant alors nouvelles, beaucoup d’entre nous les chantèrent. Un de ceux de notre tribu dit alors, soit que véritablement ce fût son opinion, soit qu’il voulût faire plaisir à Critias, que Solon ne lui paraissait pas seulement le plus sage des hommes, mais aussi le plus noble de tous les poètes. Le vieux Critias, je m’en souviens, fut charmé de ce discours, et dit en souriant : Amynandros, si Solon n’eût pas fait de la poésie en passant, mais qu’il s’y fût livré sérieusement, comme d’autres l’ont fait, s’il eût achevé l’ouvrage qu’il avait rapporté d’Égypte, et si les factions et les autres maux qu’il trouva ici ne l’eussent contraint d’interrompre ses travaux, selon moi, ni Hésiode, ni Homère, ni aucun autre poète n’eût surpassé sa gloire. — Qu’était-ce donc, Critias, que cet ouvrage, dit Amynandros. — C’était le récit de l’action la plus grande que cette ville ait jamais accomplie, et qui devrait être aussi la plus renommée, mais dont le temps et la mort de ceux qui l’avaient faite n’ont pas permis que la tradition subsistât jusqu’à nous. — Raconte-moi dès le commencement, reprit l’autre, ce qu’en disait Solon, et comment et de qui il l’avait ouïe comme une histoire véritable.

Vient alors un premier développement, centré sur la supériorité des Egyptiens en matière de mémoire de l’humanité. Ce qu’explique le prêtre à Solon, c’est que par rapport à tous les autres peuples méditerranéens, eux seuls ont pu (et su) conserver les traces du passé le plus lointain. Car leur terre n’a été ravagée ni par les déluges ni par les séismes :

En Égypte, dit Critias, dans le Delta formé par le Nil qui, se divisant au sommet du triangle, l’enveloppe de ses bras, on trouve le Nome Saïtique dont la plus grande ville, Sais, est la patrie du roi Amasis . Les habitants ont pour protectrice de leur ville une déesse dont le nom égyptien est Neïth, et qui, suivant eux, est la même que l’Athéné des Grecs. Ils aiment beaucoup les Athéniens, et ils se disent de la même origine. Arrivé à Sais, Solon, comme il nous l’a raconté lui-même, fut fort bien reçu; il interrogea les prêtres les plus instruits sur l’histoire des temps anciens, et il reconnut qu’on pouvait presque dire qu’auprès de leur science, la sienne et celle de tous ses compatriotes n’était rien. Un jour, voulant engager les prêtres à parler de l’antiquité, il se mit à leur raconter ce que nous savons de plus ancien, Phoronée dit le Premier,  Niobé, le déluge de Deucalion et de Pyrrha, leur histoire et leur postérité, supputant le nombre des années et essayant ainsi de fixer l’époque des événements. Un des prêtres les plus âgés lui dit : O Solon, Solon, vous autres Grecs vous serez toujours enfants ; il n’y a pas de vieillards parmi vous. — Et pourquoi cela? répondit Solon. — Vous êtes tous, dit le prêtre, jeunes d’intelligence; vous ne possédez aucune vieille tradition ni aucune science vénérable par son antiquité. En  voici la raison. Le genre humain a subi et subira plusieurs destructions, les plus grandes par le feu et l’eau, et les moindres par mille autres causes. Ce qu’on raconte chez vous de Phaéton, fils du Soleil, qui, voulant conduire le char de son père et ne pouvant le maintenir dans la route ordinaire, embrasa la terre et périt lui-même frappé de la foudre, a toute l’apparence d’une fable; ce qu’il y a de vrai, c’est que dans les mouvements des astres autour de la terre, il peut, à de longs intervalles de temps, arriver des catastrophes où tout ce qui se trouve sur la terre est détruit par le feu. Alors les habitants des montagnes et des lieux secs et élevés périssent plutôt que ceux qui habitent près des fleuves et sur les bords de la mer. Pour nous, le Nil nous sauve de cette calamité comme de beaucoup d’autres, par le débordement de ses eaux. Quand les dieux purifient la terre par un déluge, les bergers et les bouviers vont à l’abri sur leurs montagnes, tandis que les habitants de vos villes sont entraînés par les torrents dans la mer. Chez nous, au contraire, jamais les eaux ne descendent d’en haut pour inonder nos campagnes : elles nous jaillissent du sein de la terre. Voilà pourquoi nous avons conservé les monuments les plus anciens. En tout pays, le genre humain subsiste toujours en nombre plus ou moins considérable, à moins qu’un froid ou une chaleur extrême ne s’y oppose. Tout ce que nous connaissons, chez vous ou ici ou ailleurs, d’événements glorieux, importants ou remarquables sous d’autres rapports, tout cela existe chez nous, consigné par écrit et conservé dans nos temples depuis un temps immémorial. Mais en Grèce à peine a-t-on constaté vos actions et celles des autres peuples, soit par écrit, ou par tout autre moyen en usage dans des états civilisés, que les eaux du ciel viennent périodiquement fondre sur vous comme un fléau, ne laissant survivre que des, hommes sans lettres et sans instruction ; de sorte que vous voilà de nouveau dans l’enfance, ignorant ce qui s’est passé dans l’antiquité chez vous aussi bien que chez nous. Vraiment, Solon, les généalogies que tu viens d’énumérer diffèrent peu de fables puériles. D’abord, vous ne parlez que d’un seul déluge, quoiqu’il y en ait en plusieurs auparavant ; puis, la plus belle et la plus vaillante race qui ait jamais existé dans votre pays, vous n’en faites pas mention, bien que toi-même et tous tes compatriotes aujourd’hui vous tiriez votre origine d’un des germes de cette race échappé au commun désastre. Vous ignorez tout cela, parce que les survivants et leurs descendants demeurèrent longtemps sans avoir la connaissance des lettres. Car déjà autrefois, Solon, avant la grande destruction opérée par le déluge, la ville qui est aujourd’hui Athènes, excellait dans la guerre; elle était renommée par la perfection de ses lois; et ses actions et son gouvernement l’élevaient au-dessus de toutes les cités que nous ayons connues sous le ciel.

Le prêtre de Saïs poursuit avec un deuxième développement, pour évoquer le meilleur exemple de ce que les Egyptiens savent, et que les autres peuples ont oublié : l’histoire de l’Altantide, qui a pourtant fait intervenir en première ligne les Athéniens il y a 9000 ans, mais que les Grecs ont totalement oublié. Vient donc le récit de l’Atlantide et de sa rivalité avec Athènes.

Or, parmi tant de grandes actions de votre ville, dont la mémoire se conserve dans nos livres, il y en a une, surtout, qu’il faut placer au-dessus de toutes les autres. Ces livres nous apprennent quelle puissante armée Athènes a détruite, armée qui, venue à travers la mer Atlantique, envahissait insolemment l’Europe et l’Asie; car cette mer était alors navigable, et il y avait au devant du détroit, que vous appelez les Colonnes d’Hercule, une île plus grande que la Libye et l’Asie. De cette île on pouvait facilement passer aux autres îles, et de celles-là à tout le continent qui borde tout autour la mer intérieure ; car ce qui est en deçà du détroit dont nous parlons  ressemble à un port ayant une entrée étroite: mais c’est là une véritable mer, et la terre qui l’environne, un véritable continent. Dans cette île atlantide régnaient des rois d’une grande et merveilleuse puissance; ils avaient sous leur domination l’île entière, ainsi que plusieurs autres îles et quelques parties du continent. En outre, en deçà du détroit, ils régnaient encore sur la Libye jusqu’à l’Égypte, et sur l’Europe jusqu’à la Tyrrhénie. Toute cette puissance se réunit un jour pour asservir, d’un seul coup, notre pays, le vôtre et tous les peuples situés de ce côté du détroit. C’est alors qu’éclatèrent au grand jour la vertu et le courage d’Athènes. Cette ville avait obtenu, par sa valeur et sa supériorité dans l’art militaire, le commandement de tous les Hellènes. Mais, ceux-ci ayant été forcés de l’abandonner, elle brava seule les plus grands dangers, arrêta l’invasion, érigea des trophées, préserva de l’esclavage les peuples encore libres et rendit à une entière indépendance tous ceux qui, comme nous, demeurent en deçà des Colonnes d’Hercule. Dans la suite de grands tremblements de terre et des inondations engloutirent, en un seul jour et en une nuit fatale, tout ce qu’il y avait chez vous de guerriers ; l’île atlantide disparut sous la mer; aussi depuis ce temps la mer est-elle devenue inaccessible et a-t-elle cessé d’être navigable par la quantité de  limon que l’île abîmée a laissé à sa place.

Nous avons là un micro récit extrêmement frappant, avec ses deux acteurs, un rapport de forces déséquilibré, mais des héros athéniens qui triomphent de l’ennemi et un dénouement brutal : séismes et déluges succèdent à cette guerre « mondiale ».

Reste à Critias à promettre qu’il prolongera son discours le lendemain. Bien entendu, cette promesse crée une sorte d’« effet de suspens », car ensuite la main passe à Timée, qui adopte une toute autre perspective et qui va monopoliser la parole.

L’Atlantide dans le Critias

Le Critias se présente comme la suite de la conversation entamée dans le Timée. Les mêmes interlocuteurs se retrouvent, le lendemain, et poursuivent leur projet de discussion. Timée s’étant longuement exprimé lors de la première journée, c’est maintenant au tour de Critias de discourir, comme cela était convenu (le jour suivant, ce sera au tour d’Hermocrate). Comme il l’avait annoncé lors de sa première intervention, Critias va maintenant approfondir ce qu’il avait annoncé sur la rivalité entre l’Athènes des origines et l’Atlantide.

Le plan du propos tenu par Critias semble assez simple (il adopte une façon de procéder que l’on retrouve chez bien des historiens antiques) : dans les deux premiers paragraphes, Critias annonce le sujet de son intervention, et surtout nous présente son « plan » : il commencera par évoquer les forces en présence de part et d’autre. D’abord ce qu’était Athènes (du point de vue de son histoire, de sa population, de son territoire, de ses ressources), puis ce qu’était l’Atlantide (selon la même perspective : population, territoire, ressources, organisation politique, etc.). On imagine que le récit épique de leur bataille aurait dû venir juste après.

Critias commence par évoquer l’Athènes des origines :

Les dieux se partagèrent autrefois les différentes contrées de la terre, et ce partage eut lieu sans contestation ; car il serait absurde de croire qu’ils eussent ignoré ce qui convenait à chacun d’eux, ou que, le sachant, ils se fussent disputé leur part les uns aux autres. Ayant donc obtenu de la justice du sort le lot qui leur était agréable, ils s’établirent dans la contrée qui leur échut, et prirent soin des hommes qui leur appartenaient et qu’ils devaient nourrir, comme des bergers ont soin de leurs troupeaux. Ils n’employèrent cependant pas la violence, comme des bergers qui mènent leurs troupeaux avec un bâton ; mais ils traitèrent l’homme comme un animal docile, et, en pilotes habiles, ils se servirent de la persuasion comme d’un gouvernail pour diriger et conduire à leur gré l’espèce humaine tout entière. Les dieux gouvernèrent ainsi les pays qui leur échurent. Vulcain et Minerve, qui avaient la même nature, et comme venant du même père et comme marchant au même but par leur commun amour pour les sciences et pour les arts, eurent ensemble en partage notre pays, qui convenait singulièrement à leur vertu et à leur sagesse. Ils inspirèrent aux indigènes le goût du bien et d’un gouvernement régulier. Les noms de ces premiers citoyens ont été conservés ; mais leurs actions ont disparu de la mémoire des hommes, par la destruction de ceux qui leur ont succédé et par l’éloignement des temps ; car, comme nous l’avons dit, il n’y a qu’une race qui ait survécu : c’est celle des habitants des montagnes, hommes sans lettres, qui n’avaient conservé que les noms des anciens maîtres du pays, et savaient très-peu de chose de leurs actions. Ils se plurent donc à donner ces anciens noms à leurs enfants, sans connaître les vertus et les institutions de leurs ancêtres autrement que par des traditions incertaines ; et ils demeurèrent, pendant plusieurs générations, eux et leurs enfants, si embarrassés de pourvoir aux premiers besoins de la vie, que cet objet occupant toute leur attention et remplissant tous leurs discours, ils ne songeaient guère aux événements du passé ; car l’étude des choses antiques et l’habitude de s’en entretenir ne s’introduisent, dans les sociétés qu’avec le loisir, et quand un certain nombre de personnes ne s’inquiètent plus des premiers besoins de la vie. Voilà pourquoi les noms des anciens héros ont survécu au souvenir de leurs travaux. Je tire du moins cette conjecture de ce que nous apprend Solon, que dans leur relation de cette guerre les prêtres égyptiens se servaient des noms de Cécrops, d’Erechtée, d’Erichtonios, d’Erysichton, et de beaucoup d’autres antérieurs à Thésée ; et de même des noms de femmes. Et, comme les femmes partageaient alors les travaux de la guerre avec les hommes, on avait revêtu les images et les statues de la déesse d’une armure, pour indiquer que, chez tous les êtres parmi lesquels la nature a institué une société entre le mâle et la femelle, chacun d’eux est naturellement capable d’exercer aussi bien que tout autre les facultés inhérentes à l’espèce. Notre pays était alors habité par les différentes classes d’hommes qui s’occupent des métiers et de l’agriculture. Les guerriers, séparés dès le commencement par des hommes divins, habitaient à part, possédant tout ce qui était nécessaire à leur existence et à celle de leurs enfants. Parmi eux, il n’y avait pas de fortunes particulières ; tous les biens étaient en commun : ils n’exigeaient des autres citoyens rien au delà de ce qu’il leur fallait pour vivre, et remplissaient en retour toutes les obligations que notre entretien d’hier attribuait aux défenseurs de la patrie tels que nous les concevons. […] Quant à la ville, voici comment elle était alors disposée : D’abord l’Аcropolis était toute différente de ce que nous la voyons aujourd’hui. Dans une seule nuit, une pluie terrible détrempa la terre qui l’environnait, et l’emporta au loin au milieu de tremblements de terre, dans une inondation qui est la troisième avant le désastre de Deucalion. Auparavant, l’Acropolis s’étendait jusqu’à l’Héridan et à l’Ilisse, comprenait le Pnyx, et avait le Lycabète pour limite du côté qui fait face au Pnyx. Elle était revêtue de terre de tous côtés, et, à l’exception de quelques endroits, le plateau qui la couronnait était parfaitement uni. Sur les flancs étaient établis les artisans et ceux des laboureurs dont les champs l’avoisinaient. La classe des guerriers résidait seule sur le sommet, autour du temple de Minerve et de Vulcain, et elle avait entouré cette enceinte d’une seule clôture comme le jardin d’une seule famille. Ils avaient construit vers le nord des maisons qui leur étaient communes, avec des salles où l’hiver ils prenaient ensemble leurs repas, et ils avaient tout ce qui est nécessaire dans la vie commune pour les besoins des habitants ou pour le service des temples, l’or et l’argent excepté, car ils n’en faisaient aucun usage. Également éloignés du faste et de la pauvreté, leurs habitations étaient décentes ; ils y vieillissaient, ainsi que les enfants de leurs enfants, et les transmettaient successivement, telles qu’ils les avaient reçues, à des fils semblables à eux. Pendant l’été, ils quittaient leurs jardins, leurs gymnases, les salles où se prenaient les repas ; le midi de l’Аcropolis leur en tenait lieu. À la place où se trouve aujourd’hui la citadelle était une source que des tremblements de terre ont fait disparaître, et qui n’a laissé que de faibles ruisseaux alentour ; mais alors elle fournissait une eau abondante et salutaire en hiver comme en été. Ainsi vivaient ces guerriers, défenseurs de leurs concitoyens et chefs avoués des autres Grecs. Quant à leur nombre, ils avaient soin le plus possible d’avoir toujours à leur disposition la même quantité, d’hommes et de femmes en état de porter déjà les armes et de les porter encore, c’est-à-dire vingt mille. Voilà quels étaient ces hommes, et comment ils gouvernaient sans cesse avec justice leur cité et la Grèce, objets de l’admiration de l’Europe et de l’Asie pour la beauté de leurs corps et роur toutes les vertus dont leurs âmes étaient ornées.

Il poursuit avec un développement plus long sur l’Atlantide (« Maintenant, mes amis, je vais vous faire connaître la situation de leurs ennemis, en remontant aux commencements de leur histoire »). On peut retenir les sept principaux aspects évoqués par Critias :

Les Origines mythiques de l’Atlantide, créée et « patronnée » par Poséidon

Nous avons déjà dit que quand les dieux se partagèrent le monde, chacun d’eux eut pour sa part une contrée, grande ou petite, dans laquelle il établit des temples et des sacrifices en son honneur. L’Atlantide étant donc échue à Neptune, il plaça dans une partie de cette île des enfants qu’il avait eus d’une mortelle. C’était une plaine située près de la mer et vers le milieu de l’île, la plus fertile des plaines. À cinquante stades plus loin, et toujours vers le milieu de l’île, était une montagne peu élevée. Là demeurait avec sa femme Leucippe, Événor, un des hommes que la terre avait autrefois engendrés. Ils n’avaient d’autre enfant qu’une fille, nommée Clito, qui était nubile quand ils moururent tous deux. Neptune en devint épris et s’unit à elle. Puis, pour clore et isoler de toutes parts la colline qu’elle habitait, il creusa alentour un triple fossé rempli d’eau, enserrant deux remparts dans ses replis inégaux, au centre de l’île, à une égale distance de la terre, ce qui rendait ce lieu inaccessible ; car on ne connaissait alors ni les vaisseaux, ni l’art de naviguer. En sa qualité de dieu, il embellit aisément l’île qu’il venait de former. Il y fit couler deux sources, l’une chaude et l’autre froide, et tira du sein de la terre des aliments variés et abondants. Cinq fois Clito le rendit père de deux jumeaux, qu’il éleva. Ensuite, ayant divisé l’île en dix parties, il donna à l’aîné du premier couple la demeure de sa mère, avec la riche et vaste campagne qui l’entourait ; il l’établit roi sur tous ses frères ; il fit au-dessous de lui chacun d’eux souverain d’un grand pays et de nombreuses populations. Il leur donna à tous des noms. L’aîné, le premier roi de cet empire, fut appelé Atlas, et c’est de lui que l’île entière et la mer Atlantique qui l’environne ont tiré leur nom.

Les premiers rois et leurs richesses fabuleuses

La postérité d’Atlas se perpétua toujours vénérée ; le plus âgé de la race laissait le trône au plus âgé de ses descendants, et ils conservèrent ainsi le pouvoir dans leur famille pendant un grand nombre de siècles. Ils avaient amassé plus de richesses qu’aucune royale dynastie n’en a possédé ou n’en possédera jamais ; enfin, ils avaient en abondance dans la ville et dans le reste du pays tout ce qu’ils pouvaient désirer. Bien des choses leur venaient du dehors, à cause de l’étendue de leur empire ; mais l’île produisait elle-même presque tout ce qui est nécessaire à la vie ; d’abord tous les métaux solides et fusibles ; et ce métal même dont nous ne connaissons aujourd’hui que le nom, l’orichalque était alors plus qu’un vain nom ; on en trouvait des mines dans plusieurs endroits : après l’or, c’était le plus précieux des métaux. L’île fournissait aux arts tous les matériaux dont ils ont besoin. Elle nourrissait un grand nombre d’animaux domestiques et de bêtes et de bêtes sauvages, entre autres des éléphants en grande quantité, et elle donnait leur pâture aux animaux des marais, des lacs et des fleuves, à ceux des montagnes et des plaines, et aussi à l’éléphant, tout énorme et tout vorace qu’il est. Elle produisait et entretenait tous les parfums que la terre porte aujourd’hui dans diverses contrées, racines, herbes, plantes, sucs découlant de fleurs ou de fruits. On y trouvait aussi le fruit que produit la vigne, celui qui nous sert de nourriture solide, avec tous ceux que nous employons en guise de mets, et dont nous désignons toutes les espèces par le nom commun de légumes ; ces fruits ligneux qui offrent à la fois de la boisson, de la nourriture et des parfums ; ces fruits à écorce, difficiles à conserver, et qui servent aux jeux de l’enfance ; ces fruits savoureux que nous servons au dessert pour réveiller l’appétit quand l’estomac est rassasié ; tels sont les divins et admirables trésors que produisait en quantité innombrable cette île qui florissait alors quelque part sous le soleil.

La description de la capitale, sans cesse enrichie

Avec ces richesses que le sol leur prodiguait, les habitants construisirent des temples, des palais, des ports, des bassins pour les vaisseaux ; enfin, ils achevèrent d’embellir leur île dans l’ordre que je vais dire. Leur premier soin fut de jeter des ponts sur les fossés qui entouraient l’ancienne métropole, et d’établir ainsi des communications entre la demeure royale et le reste du pays. Ils avaient de bonne heure élevé ce palais à la place même qu’avaient habitée le Dieu et leurs ancêtres. Les rois qui le recevaient tour à tour en héritage ajoutaient sans cesse à ses embellissements, et s’efforçaient de surpasser leurs prédécesseurs ; et ils firent tant qu’on ne pouvait voir, sans être stupéfait d’admiration, la grandeur et la beauté de leurs travaux. Ils creusèrent d’abord, depuis la mer jusqu’à l’enceinte extérieure, un canal de trois arpents de largeur sur cent pieds de profondeur et cinquante stades de longueur ; et pour qu’on pût y entrer, en venant de la mer, comme dans un port, ils lui laissèrent une embouchure navigable aux plus grands vaisseaux. Puis, dans les digues qui séparaient entre eux les fossés, ils percèrent, à côté des ponts, des tranchées assez larges pour le passage d’une seule trirème ; et, comme de chaque côté de ces tranchées les digues s’élevaient à une assez grande hauteur au-dessus de la mer, ils jetèrent d’un bord à l’autre des toits qui permirent aux vaisseaux de naviguer à couvert. Le plus grand des fossés circulaires, celui qui communiquait avec la mer, avait trois stades de large ainsi que l’enceinte de terre qui venait après lui. Les deux enceintes suivantes, l’une d’eau, l’autre de terre, avaient chacune deux stades, et la dernière, celle qui entourait l’île, n’avait qu’un stade de largeur ; enfin l’île elle-même où se trouvait le palais, avait un diamètre de cinq stades. Ils revêtirent d’un mur de pierres le pourtour de l’île, les digues circulaires, et les deux côtés de la tranchée qui avait un arpent de largeur ; et ils établirent des tours et des portes à l’entrée des voûtes sous lesquelles on avait livré un passage à la mer. On se servit, pour ces constructions, de pierres blanches, noires et rouges que l’on tira des flancs mêmes de l’île et des deux côtés intérieurs et extérieurs des digues ; et, tout en exécutant ces fouilles, on creusa pour les navires, dans l’intérieur, deux bassins profonds, auxquels le rocher lui-même servait de toit. Parmi ces constructions, les unes étaient formées d’une seule espèce de pierres ; et, afin de donner aux autres leur ornement naturel, on avait mélangé les couleurs pour le plaisir des yeux.

L’évocation du temple de Poséidon, symbole d’opulence

Au milieu était le temple sacré de Clito et de Neptune, redoutable sanctuaire entouré d’une muraille d’or. C’est là qu’ils avaient engendré et mis au monde les dix chefs des dynasties royales ; et c’est là aussi que chaque année les dix provinces de l’empire faisaient à ces deux divinités l’offrande de leurs prémices. Le temple de Neptune était long d’un stade, large de trois arpents, et haut à proportion ; mais son aspect avait quelque chose de barbare. Tout l’extérieur du temple était revêtu d’argent, excepté les acrotères qui étaient d’or ; à l’intérieur, la voûte était recouverte d’ivoire, enrichi d’or et d’orichalque. Tout le reste des murs et des colonnes et les pavés du temple étaient recouverts d’orichalque. On voyait de nombreuses statues d’or. Le dieu, du haut de son char, guidait six coursiers ailés, et il était si grand que sa tête touchait la voûte du temple. Autour de lui, cent néréides étaient assises sur des dauphins ; on croyait alors que c’était là le nombre de ces divinités. Il y avait encore beaucoup d’autres statues offertes par la piété des particuliers. Autour du temple étaient les statues en or de tous les rois et de toutes les reines descendant des dix enfants de Neptune, et beaucoup d’autres dons offerts par les rois et les citoyens, soit de la ville elle-même, soit des pays qui lui étaient soumis. L’autel était d’une grandeur et d’un travail digne de ces merveilles ; et tout le palais répondait à la grandeur de l’empire et à la richesse des ornements du temple.

Le territoire environnant et son organisation

Maintenant je vais tâcher de vous donner une idée de ce que la nature et l’art avaient fait pour le reste de l’île. D’abord on dit que le sol était très élevé au-dessus de la mer, et le rivage à pic. Tout autour de la ville régnait une plaine entourée elle-même d’un cercle de montagnes qui s’étendaient jusqu’à la mer ; sa surface était unie et régulière, sa forme oblongue ; elle avait d’un coté trois mille stades, et, depuis le centre jusqu’à la mer, au-dessus de deux mille. Toute cette partie de l’île était située au midi, et protégée contre le vent du nord. Les montagnes qui l’entouraient surpassaient, à ce que dit la renommée, en nombre, en grandeur et en beauté toutes celles qu’on peut voir aujourd’hui. Elles renfermaient un grand nombre de villages fort riches et fort peuplés. Elles étaient arrosées par des lacs et des rivières et couvertes de prairies qui fournissaient d’excellents pâturages aux animaux sauvages ou domestiques. Des forêts nombreuses et de toute espèce offraient à tous les arts des ressources variées pour toutes sortes d’ouvrages. Voilà ce que la nature et les soins prolongés d’un grand nombre de rois avaient fait de cette heureuse plaine. Elle avait la forme d’un carré long, et ses cotés étaient presque partout réguliers ; dans les endroits où la régularité n’était pas parfaite, on avait corrigé la nature en traçant le fossé qui entourait la plaine. Quant à la profondeur, à la largeur et à la longueur de ce fossé, ce qu’on en dit rend difficile à croire qu’un pareil travail, comparé aux autres travaux de ce genre, ait été fait de main d’homme. Je vous répéterai cependant ce que j’en ai entendu raconter. Il avait un arpent de profondeur ; il était partout large d’un stade, et sa longueur embrassait toute la plaine et avait dix mille stades. Il recevait toutes les eaux qui découlaient des montagnes, et décrivant un cercle autour de la plaine, ses deux extrémités aboutissaient à la ville, et de là il allait se décharger dans la mer. D’un des cotés de ce fossé en partaient d’autres de cent pieds de large, qui coupaient la plaine en ligne droite, et s’allaient jeter dans le fossé voisin de la mer ; ils étaient séparés les uns des autres par des intervalles de cent stades ; d’autres fossés qui coupaient les premiers transversalement et se dirigeaient vers la ville, servaient à y transporter le bois des montagnes et les autres productions du pays, suivant les saisons. Il y avait tous les ans deux récoltes, parce que la terre était fécondée l’hiver par les pluies qu’y envoyait Jupiter, et arrosée l’été par l’eau qu’on tirait des canaux.

Le rituel des rois : le sacrifice des taureaux et le pacte de sang

Ils se rassemblaient tour à tour au bout de cinq ans, et ensuite au bout de six ans, pour faire alterner le nombre pair et le nombre impair. Dans cette assemblée, ils délibéraient sur les affaires publiques, examinaient si l’un d’eux avait violé la loi, et le jugeaient. Lorsqu’ils avaient un jugement à prononcer, voici comment ils s’assuraient de leur foi mutuelle. On laissait errer en liberté des taureaux dans le temple de Neptune ; et les dix rois, après avoir prié le dieu de choisir la victime qui lui convenait, allaient seuls à la chasse sans autre arme que des bâtons et des cordes ; quand ils avaient pris un des taureaux, ils ramenaient jusqu’à la colonne, le plaçaient sur son sommet, et l’égorgeaient suivant la règle prescrite par les inscriptions. Or, la colonne portait, outre les lois, un serment et des imprécations terribles contre celui qui les violerait. Lorsqu’ils avaient achevé le sacrifice et consacré suivant les rites tous les membres de la victime, on remplissait une coupe du sang répandu, en ayant soin d’y verser une goutte au nom de chacun des rois. Le reste était brûlé et on purifiait la colonne. Après cela, ils puisaient dans la coupe avec des fioles d’or, et en répandant une partie sur le feu juraient de juger d’après les lois écrites sur la colonne, de punir celui qui les aurait violées, de ne jamais s’écarter volontairement de leurs prescriptions, de ne gouverner eux-mêmes et de n’obéir qu’à celui qui gouvernerait suivant les ordres de leur père. Après avoir prononcé ces imprécations sur eux et sur leurs descendants, ils buvaient ce que contenaient leurs fioles et allaient les déposer dans le sanctuaire du dieu. Ensuite venaient le repas et les autres cérémonies nécessaires. À la nuit, quand le feu du sacrifice était éteint, ils se couvraient chacun d’une belle robe azurée, s’asseyaient à terre auprès des restes consumés du sacrifice, éteignaient partout le feu dans le temple, et se disposaient à prononcer leur sentence ou à la subir, si quelqu’un d’entre eux était accusé d’avoir violé les lois. Au lever du jour, ils inscrivaient leurs jugements sur des tables d’or qu’on suspendait avec les robes aux colonnes du temple, pour servir de monument à la postérité.

Le devenir de l’Atlantide

Pendant plusieurs générations, tant que les habitants de l’Atlantide conservèrent quelque chose de leur extraction divine, ils obéirent aux lois, et respectèrent le principe divin qui leur était commun à tous ; leurs âmes, attachées à la vérité, ne s’ouvraient qu’à de nobles sentiments ; leur prudence et leur modération éclataient dans toutes les circonstances et dans tous leurs rapports entre eux. Ne connaissant d’autres biens que la vertu, ils estimaient peu leurs richesses, et n’avaient pas de peine à considérer comme un fardeau l’or et la multitude des avantages du même genre. Au lieu de se laisser enivrer par les délices de l’opulence et de perdre le gouvernement d’eux-mêmes, ils ne s’écartaient point de la tempérance ; ils comprenaient à merveille que la concorde avec la vertu accroît les autres biens, et qu’en les recherchant avec trop d’ardeur, on les perd, et la vertu avec eux. Tant qu’ils suivirent ces principes et que la nature divine prévalut en eux, tout leur réussit, comme je l’ai raconté ; mais quand l’essence divine commença à s’altérer en eux pour s’être tant de fois alliée à la nature humaine, et que l’humanité prit le dessus, incapables de supporter leur prospérité, ils dégénérèrent ; et dès lors ceux qui savent voir purent reconnaître leur misère et qu’ils avaient perdu le meilleur de leurs biens ; tandis que ceux qui ne peuvent apprécier ce qui fait le vrai bonheur, les crurent parvenus au comble de la gloire et de la félicité, lorsqu’ils se laissaient dominer par l’injuste passion d’étendre leur puissance et leurs richesses. Alors Jupiter, le dieu des dieux, qui gouverne tout selon la justice, et à qui rien n’est caché, voyant la dépravation de cette race, autrefois si vertueuse, voulut les punir pour les rendre plus sages et plus modérés. Il rassembla tous les dieux dans le sanctuaire du ciel, placé au centre du monde, d’où il domine tout ce qui participe de la génération ; et lorsqu’ils furent tous réunis, il dit : … [le texte de Platon s’interrompt sur cette phrase]

On le voit : le texte, qui nous a entraîné dans une longue narration très évocatrice, reste curieusement interrompu, ce qui crée un immense sentiment de frustration ! Comble du raffinement, ou de la perversion, le texte est suspendu sur la parole de condamnation de Zeus, alors qu’il a encore la bouche ouverte pour prononcer sa sentence… Bien sûr, il n’est pas rare d’avoir des textes anciens interrompus de la sorte. Mais cette situation semble presque voulue. A cause de cet état inachevé, le Critias ne satisfait que très partiellement l’attente qui avait été créée dans le Timée. A un passage minimaliste, qui repoussait les précisions à plus tard, succède un développement lacunaire, comme brisé dans son moment décisif.

Comme le remarque Chantal Foucrier, l’énigme du lieu est donc, en quelque sorte, renforcée par l’énigme du texte, à la fois discontinu (il est divisé en deux développements, situés dans deux dialogues successifs) et surtout fragmentaire (le deuxième développement étant coupé exactement à l’instant du cataclysme)… Décidément, nous n’en saurons pas plus de Critias.

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Message par ness Mer 31 Jan 2024 - 10:29

Moi j'ai la preuve irréfutable que "le pays des merveilles d'Alice "existe!
oui!
C'est ICI,Arrow
la preuve: j'ai même vu le petit lapin..  Preuves irrefutables de l'Atlantide - Page 3 1f605 mais shuuut ne le dites a personne:

Preuves irrefutables de l'Atlantide - Page 3 1534119846
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Message par Nathan 38 Mer 31 Jan 2024 - 10:36

Oui, ce titre pose probleme avec raison, maintenant.

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Message par Nathan 38 Mer 31 Jan 2024 - 12:08

Les Légendes de Déluge à travers le Monde – Preuves historiques du Déluge de Noé

https://questcequelaverite.com/les-legendes-de-deluge-a-travers-le-monde/

De nombreuses cultures à travers le monde racontent que le monde a été détruit par une inondation mondiale. On compte au moins 500 légendes à propos d’un déluge mondial. Beaucoup de ces récits présentent des similitudes remarquables avec les détails du déluge de Noé rapporté dans la Bible. Ces récits confortent la nature mondiale de cet événement.


Voici un exemple avec un récit aztèque:

Lorsque l’humanité fut submergée par le déluge, personne ne fut préservé, si ce n’est un homme nommé Coxcox… et une femme appelée Xochiquetzal, qui se sauvèrent dans une petite barque.

Après avoir atterri sur une montagne appelée par eux Colhuacan, ils eurent un grand nombre d’enfants; …

Ces enfants sont tous nés muets, jusqu’à ce qu’une colombe d’un arbre élevé leur ait transmis des langues, mais tellement différentes qu’ils ne pouvaient pas se comprendre1.


Cela ressemble à une version tronquée du récit biblique du déluge de Noé et de l’origine des nations et des langues à Babel.

C’est l’un des nombreux récits qui décrit d’un déluge cataclysmique, provenant de cultures diverses dont certaines sont très éloignées géographiquement, comme certaines îles du milieu du Pacifique et, séparées par des milliers de kilomètres.


Une histoire de déluge aborigène

On raconte comment, il y a longtemps, il y a eu une inondation qui a recouvert les montagnes, de sorte que de nombreux Nurrumbunguttias, ou hommes et femmes spirituels, se sont noyés.

D’autres, dont Pund-jil, ont été rattrapés par un tourbillon dans le ciel. Quand les eaux se sont retirées, et les montagnes sont apparues à nouveau, et que la mer est revenue à sa place, le fils et la fille de Pund-jil ‘sont retournés sur terre et sont devenus les premiers des vrais hommes et femmes qui vivent dans le monde aujourd’hui2.



Un récit des Indiens d’Amérique du Nord

Les Indiens d’Amérique du Nord, ont plusieurs histoires d’inondations. Une de la tribu Choctaw qui raconte comment:

Il y a longtemps, les hommes devinrent si corrompus que le Grand Esprit les détruisit dans un déluge. Un seul homme fut sauvé – un prophète dont le peuple n’a pas tenu compte des avertissements et à qui le Grand Esprit a ensuite ordonné de construire un radeau à partir de rondins de sassafras.

Après plusieurs semaines, un petit oiseau a guidé le prophète vers une île où le Grand Esprit a transformé l’oiseau en une belle femme qui est devenue l’épouse du prophète. Leurs enfants ont ensuite repeuplé le monde3.


Voici une liste des similarités:

La divinité envoie un déluge
Le monde périt sauf un homme juste
Les avertissements ont été ignorés
Il reçoit l’ordre de construire un radeau
Le déluge a duré plusieurs semaines (dans la Bible, Noé passe un an dans l’arche)
L’humanité provient de cet homme juste

Voilà pas mal de détails qui sont similaires au récit biblique.


Des récits chinois de déluge

Il y a quelques histoires de la Chine ancienne. L’une est enregistrée dans le livre chinois de toutes les connaissances, depuis les temps anciens. C’est une collection de 4320 volumes qui raconte les répercussions de la rébellion de l’humanité contre les dieux et qui contient ce texte :

La Terre fut ébranlée jusqu’à ses fondements. Le ciel coula plus bas vers le nord. Le soleil, la lune et les étoiles changèrent leurs mouvements.

La Terre s’effondra et les eaux de son sein se précipitèrent vers le haut avec violence et ont débordé la Terre4.



Une autre histoire, dans le folklore des Bahnars, une tribu primitive de Cochin, en Chine, raconte comment les rivières ont gonflé :


jusqu’à ce que les eaux atteignent le ciel, et que tous les êtres vivants périrent sauf deux, un frère et une sœur, qui ont été sauvés dans un énorme coffre. Ils prirent avec eux dans le coffre une paire de toutes sortes d’animaux5.


Notons déjà que les quelques récits que nous avons cité proviennent de Chine, d’Australie, du Mexique Centrale, et de l’Amérique du Nord. Nous sommes très loin du Moyen-Orient-orient et de Moïse, l’auteur du livre de la genèse.


L’Egypte et le déluge

Les histoires d’inondations du continent africain sont rares, mais une d’Egypte raconte l’histoire d’un ancien dieu de la création, Tem, qui:

fut responsable de l’inondation des premiers âges, qui a couvert toute la terre et détruit toute l’humanité à l’exception de ceux du bateau de Tem6.


La tradition du déluge chez les Incas

Les Incas du Pérou ont aussi une tradition du déluge:

Ils racontèrent que l’eau s’était élevée au-dessus des plus hautes montagnes du monde, et que tous les êtres humains et toutes les choses créées avaient péri.

Aucun être vivant ne s’était échappé, sauf un homme et une femme, qui avaient flotté dans une boîte sur la surface des eaux et avaient donc été sauvés7.


Les histoires des tribus teutoniques de Scandinavie

Les histoires des tribus teutoniques de Scandinavie sont vives et terrifiantes. L’imagerie de ces légendes souligne la dimension du cataclysme. L’un de ces contes décrit le chaos du monde lorsque le puissant loup Fenrir se secoua et:

fit trembler le monde entier. Le frêne vieilli Yggdrasil [envisagé comme l’axe de la terre] fut secoué de ses racines à ses branches les plus hautes. Les montagnes s’effondrèrent ou se divisèrent de haut en bas… ». Les hommes «furent chassés de leur foyer et la race humaine fut balayée de la surface de la terre.

La terre elle-même commença à perdre sa forme. Déjà les étoiles dérivaient du ciel et tombaient dans le vide béant. … Des flammes jaillirent des fissures des roches; partout il y avait un sifflement de vapeur. Toutes les choses vivantes, toutes les plantes, ont été effacées. …

Et alors toutes les rivières, toutes les mers se levèrent et débordèrent. De tous les côtés, les vagues se heurtèrent aux vagues. Elles gonflèrent et bouillirent et recouvrèrent lentement toutes choses. La terre coula sous la mer… ».

Puis lentement «la terre émergea des vagues. Les montagnes furent relevées…. Les hommes réapparurent également. … Enfermés dans le bois même du frêne Yggdrasil… les ancêtres d’une future race d’hommes avaient échappé à la mort8.



Les sceptiques face aux récits dispersés d’un déluge global

Donc, la grande question est : comment les gens qui n’acceptent pas l’inondation mondiale, et cela inclut également beaucoup de gens dans l’église aujourd’hui, expliquent-ils toutes ces légendes d’inondation?

Parce qu’encore une fois, l’explication la plus raisonnable est que toutes ces légendes trouvent toutes leur racine dans la même expérience d’une inondation globale qui est consignée dans la genèse.



Il existe 500 légendes d’inondation dans le monde, il est donc très difficile d’expliquer ce phénomène s’il n’y a pas eu un déluge global, de plus que l’évènement est associé au redémarrage de la population humaine et que plusieurs détails récurrents identiques apparaissent dans ces récits.

Les sceptiques tentent d’expliquer ces mythes de déluge comme on les appelle, en suggérant que peut-être tous les peuples de ces civilisations éloignées ont vécu des inondations différentes qui, par hasard, avaient toutes ces caractéristiques en commun, sur lesquelles ils ont fondé leurs histoires. Cela est-il sensé comme explication ?

Très peu dira-t-on poliment. Toutes sortes de petites inondations distinctes partout dans le monde auraient entraîné des récits d’inondations mondiaux remarquablement similaires.

Les sceptiques indiquent des preuves sommaires de nombreuses inondations locales assez importantes survenues dans le monde il y a des milliers d’années.

Suite sur le lien.

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Message par Hakaan Mer 31 Jan 2024 - 12:33

Ah bah c'est bon alors 10 recoupements approximatifs rapportés sans la moindre source ni lieux ni contextes ni dates dont certains viennent de peuples qui n'ont jamais rien écrit c'est bon c'est prouvé
Les meilleurs passages sont les montagnes qui se coupent en deux ou la colombe qui distribue des langues, tu sens la grosse grosse valeur historique de ces récits

Et les 500 légendes faut y croire sur parole ou t'as juste copié le blog conspiovni de Marcel  qui frotte sa tête sur son clavier et qui se dit "vas y c'est bon ça a fait un chiffre après des mots c'est bon j'envois" ?
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