Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
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Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Rappel du premier message :
Sujet sur la vraisemblabilité du RC et de l'implication humaine dans celui ci
Quelques chiffres :
Le climat change... Et alors ? Tenl#76 : https://www.youtube.com/watch?v=erA7VpC4jls
Sujet sur la vraisemblabilité du RC et de l'implication humaine dans celui ci
Quelques chiffres :
- Spoiler:
L'augmentation du CO² à partir de 1900 et plus significativement après 1950 :
Ici on remarque que le taux de CO² suit des cycles et que l'on est actuellement dans un pique (on remarque la parfaite corrélation entre CO² et courbe de T°) :
Les variations de l'activité solaire adossées à la température :
Le climat change... Et alors ? Tenl#76 : https://www.youtube.com/watch?v=erA7VpC4jls
Dernière édition par Kolam le Jeu 22 Aoû 2019 - 21:50, édité 4 fois (Raison : Scission du topic)
Hakaan- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Totem a écrit:Melon et bottes de cuir a écrit:Ouais, on peut être scientifique et avancer un grand nombre d'incohérences. Heureusement, il ne peut pas se jouer de tous, mais d'un grand nombre, c'est sûr. On ne naît pas climatologue, faut-il le rappeler à Monsieur Gervais.
Tu n'es pas non plus climatologue mais un simple forumeur qui donne son opinion selon l'opinion de "certains" scientifiques mais pas tous les scientifiques......
En gros il y a 2 clans dans le monde, les anti et le pro.... Dualité de ce monde oblige....Donc je reste sur mon opinion qui est que le réchauffement climatique est un leurre scientifique comme l'était l'histoire des vaches qui faisaient un trou dans la couche d'ozone en pétant...
Les hommes ne savent même plus se passer du Dieu "science" aux mains de ceux qui les gouvernent quand ils veulent exprimer une opinion, le doute sur les dogmes et théories ne traverse même plus leurs esprits, et ils voudraient s'éveiller (enfin pas tous), chose dont la science ne saurait les aider....au contraire...
Oh, je suis loin d'être un expert en ce domaine, mais d'autres le sont, et je leur fais confiance.
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Melon et bottes de cuir a écrit:Totem a écrit:Melon et bottes de cuir a écrit:Ouais, on peut être scientifique et avancer un grand nombre d'incohérences. Heureusement, il ne peut pas se jouer de tous, mais d'un grand nombre, c'est sûr. On ne naît pas climatologue, faut-il le rappeler à Monsieur Gervais.
Tu n'es pas non plus climatologue mais un simple forumeur qui donne son opinion selon l'opinion de "certains" scientifiques mais pas tous les scientifiques......
En gros il y a 2 clans dans le monde, les anti et le pro.... Dualité de ce monde oblige....Donc je reste sur mon opinion qui est que le réchauffement climatique est un leurre scientifique comme l'était l'histoire des vaches qui faisaient un trou dans la couche d'ozone en pétant...
Les hommes ne savent même plus se passer du Dieu "science" aux mains de ceux qui les gouvernent quand ils veulent exprimer une opinion, le doute sur les dogmes et théories ne traverse même plus leurs esprits, et ils voudraient s'éveiller (enfin pas tous), chose dont la science ne saurait les aider....au contraire...Oh, je suis loin d'être un expert en ce domaine, mais d'autres le sont, et je leur fais confiance.
Toujours pas répondu à ma question.....Vu que tu leur fait confiance et que tu les as lu, que préconisent-ils?
Totem- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Totem a écrit:Melon et bottes de cuir a écrit:Totem a écrit:Melon et bottes de cuir a écrit:Lorsque l'on évoque le réchauffement climatique, nous avons tendance à oublier l'hiver, et à se focaliser sur les chaleurs de l'été, qui je le rappelle, non rien à voir avec le réchauffement global de la Terre. En revanche, les nuits d'hiver durant lesquelles les températures devraient être de -4° et que ces dernières indiquent 4°, signalent clairement un dérèglement climatique.
Dérèglement par rapport à quoi?
A des habitudes qui ne supportent pas le changement ou la nouveauté.?
A une opinion de petit homme qui vit dans des peurs constantes innombrables dont la nature qui l'entoure à l'instar des animaux qui s'adaptent ou pas à cette nature sans se poser de questions existentielles...?
Sinon que préconises tu pour réguler cet "dérèglement?....car je suppose que le désir est de retrouver le climat antérieur, du moins celui d'une période de vie donnée? Laquelle.?Tu empruntes un livre d'astrophysique ou de sciences, et tu cherches dans la table des matières : Effet de serre. Ceci dit, ce thème a déjà été abordé de nombreuses fois sur ce topic.
Tu préconises comme solution pour réguler la température, à part le racket financier dont les Européens sont victimes depuis quelques années sans voir l'ombre d'un changement à part dans leurs portes monnaies.?
Que disent tous les autres pays de la planète à propos du réchauffement climatique;?
C'est toi qui le dis. D'autre part, on commence lentement à prendre des mesures (à poser des actes) pour lutter contre le réchauffement global de la Terre. Ce serait quand même terrifiant d'atteindre les extrémité d'un Soleil vert, non ?
Invité- Invité
Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Non le RC ne tient pas sur des opinions, c'est une série de faits que tout le monde constate, les T°, la fonte des glaciers, la disparition du corail, le PH de l'océan, les saisons, les évènements climatiques, etc n'ont rien d'une opinion, quant au lien CO2/T° il suffit de regarder les 2 courbes, elles sont identiques
Hakaan- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Le réchauffement climatique est un mythe !8 novembre 2004
- Spoiler:
Aujourd’hui, il n’est presque plus possible de participer à un colloque consacré à l’agriculture sans que soient évoqués le réchauffement climatique et l’effet de serre. Préoccupation majeure de l’agriculteur, la question du climat suscite un intérêt évident car ses aléas ont des répercussions immédiates sur les résultats des exploitations.
Marcel Leroux, professeur en climatologie à l’université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS), est l’auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, il a achèvé son troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality, disponible depuis décembre 2006.
Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s’expliquent tout naturellement, lorsque l’on prend en compte ce qu’il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d’air glacial de 1500 mètres d’épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l’équateur.
Un Entretien avec Marcel Leroux
Tout le monde s’accorde à dire que la planète se réchauffe. Qu’en pensez-vous ?
En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C’est d’ailleurs la position de la Russie, qui considère qu’un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d’immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole. En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l’époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s’étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu’il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s’est d’ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d’abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas.
Pourquoi parle-t-on alors de réchauffement climatique ?
Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique). Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones. L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille. Quel extraordinaire bouleversement ! Une telle valeur, donnée avec une fourchette de précision de plus ou moins 0,2° sur un siècle et demi, est ridicule, car elle est de l’ordre de la précision de la mesure. Cette courbe n’est d’ailleurs pas validée par les mesures récentes effectuées par les capteurs de satellites qui, depuis 1978, ne montrent au contraire aucune évolution notoire, pas plus que les mesures issues de millions de radio-sondages.
En outre, comment parler de moyenne à l’échelle globale en mélangeant des températures marines, continentales, urbaines et surtout des températures de régions qui se refroidissent alors que d’autres se réchauffent ? Par exemple, l’Arctique occidental (au nord du Canada) se refroidit, alors que l’Arctique au nord de la mer de Norvège se réchauffe. Que fait-donc alors vraiment l’Arctique ? On ne peut pas du tout dire avec certitude que la terre se réchauffe.
Les modèles ne prévoient-ils pas pourtant une augmentation de la température de 2 à 6°C d’ici l’an 2100 ?
On n’a pas besoin de modèle pour faire une telle prédiction. Le chimiste suédois Svante Arrhénius (1859-1927) avait déjà « prédit » exactement la même chose en 1903 ! Il avait appliqué une règle de trois entre le taux de CO2 de son époque, celui du futur et la température correspondante. C’est exactement ce que font les modèles informatiques en insistant sur l’effet de serre. Un modèle n’est qu’un super calculateur qui dépend entièrement des données qu’on lui fournit et de la démarche qu’on lui impose pour traiter ces données. Il ne faut pas prêter aux modèles des vertus « magiques », d’autant plus qu’ils ne donnent qu’une vision très incomplète et déformée de la réalité météorologique. En particulier, ils ne tiennent pas compte de la circulation générale de l’atmosphère, de son organisation et de son mouvement. Pour ces modèles, les discontinuités, pourtant présentes partout dans la nature, ne sont tout simplement pas prises en considération. Les modèles utilisés pour la prédiction climatique sont fondés sur les mêmes principes que ceux utilisés pour la prévision météorologique. Or, ces derniers se trompent constamment : ils n’ont pas été capables de prévoir les tempêtes de 1999, les inondations de Nîmes ou Vaison la Romaine, la canicule de 2003 et l’été pourri de 2004. Comment pourraient-ils être fiables à l’horizon de 2100 ? D’ailleurs, comme le rappelle l’océanographe Robert Stevenson, ces modèles prévoyaient une augmentation de la température de 1,5° pour l’an 2000 ; or, c’est six fois plus que ce que l’on a observé.
Pourtant, il y a unanimité chez les climatologues pour dire que le réchauffement est une réalité …
Non, on insiste sur un prétendu consensus chez les climatologues, alors que celui-ci n’existe pas. Ensuite, il y a plusieurs sortes de « climatologues ». Prenons le GIEC, présenté comme l’autorité en la matière. En réalité, il s’agit d’un groupement intergouvernemental, c’est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques. D’ailleurs, la grande majorité de ses membres ne sont pas climatologues, à l’instar de Michel Petit, ingénieur en télécommunications, ou bien Jean Jouzel, qui est un excellent chimiste glaciologue, mais dont les connaissances scientifiques sur le climat sont limitées. Depuis l’avènement de l’informatique, nombre de ceux qui s’autoproclament « climatologues » sont en réalité des informaticiens-modélisateurs, qui accordent de très loin la préférence à la statistique et aux téléconnexions, sans se préoccuper des liens physiques réels. Il existe toutefois des climatologues météorologues, comme le spécialiste suédois de l’élévation du niveau de la mer Nils-Axel Mörner, ou encore le météorologiste canadien Madhav Khandekar, qui en revanche se préoccupent en priorité de l’observation des phénomènes réels et des principes physiques qui les relient. C’est aussi, naturellement, le souci premier de notre laboratoire. Ces derniers sont loin d’être convaincus par les résultats des modèles. Même parmi les modélisateurs, certains, comme l’Américain Richard Lindzen, restent très sceptiques concernant l’hypothèse du réchauffement climatique. Le problème du GIEC, comme d’ailleurs de Météo France, c’est que depuis les années 1980, ces organismes sont dominés par les modélisateurs, vedettes des médias. Les climatologues réellement soucieux de l’analyse du temps se sont d’ailleurs regroupés en association, dont l’une particulièrement active est intitulée « climat sceptics ».
Le rôle nocif sur le climat des gaz à effet de serre est quand même une donnée objective ?
Il n’y a rien de moins objectif qu’une telle affirmation ! Mettre l’accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d’autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l’atmosphère, les transferts méridiens d’air et d’énergie, et pour faire simple, les transferts d’air froid et d’air chaud. Chacun est capable d’observer que la température est fonction de ces brusques changements, et qu’elle n’évolue pas de façon linéaire. L’important, c’est d’abord de savoir pourquoi et comment des masses d’air froid se forment et se déplacent ; pourquoi elles remplacent ou sont remplacées par de l’air chaud – autrement dit de préciser le mécanisme de la machine atmosphérique. Le temps dépend au jour le jour de ces changements de masses d’air ; en revanche, sur le long terme, la variation dépend de l’activité solaire (tâche, magnétisme, éruption et vent solaires), des projections volcaniques, de la turbidité de l’air, des paramètres astronomiques, etc… Comment voulez-vous que leur responsabilité dans le climat puisse être mise en évidence dans des modèles qui ne prennent tout simplement pas en compte l’ensemble de ces paramètres ? L’effet de serre est donc totalement marginal, sinon même insignifiant, d’autant plus que le principal effet de serre n’est pas réalisé par le CO2 ou le CH4, mais par la vapeur d’eau. Or, même la part réelle de la vapeur d’eau dans l’effet de serre n’est pas considérée à sa juste valeur dans les modèles.
Qu’observe-t-on alors à l’échelle globale ?
On n’observe rien, car il n’y a pas de « climat global ». En revanche, on connaît parfaitement l’évolution des climats régionaux qui suivent des évolutions fort dissemblables. D’ailleurs, il est très révélateur de constater que, de l’aveu même du GIEC, leurs modèles sont incapables de restituer ces variations régionales ! Dans son deuxième rapport de 1996, le GIEC écrit : «Les valeurs régionales des températures pourraient être sensiblement différentes de la moyenne globale, mais il n’est pas encore possible de déterminer avec précision ces fluctuations. » Cela signifie que les modèles du GIEC seraient capables de donner une valeur moyenne sans connaître les valeurs régionales qui permettent d’établir précisément cette moyenne ! Ce n’est pas très sérieux !
Dans l’Atlantique Nord, on observe un refroidissement de la façade ouest (Canada, Etats-Unis à l’est des Rocheuses), alors que l’Europe occidentale se réchauffe, notamment la Scandinavie. L’Europe centrale, elle, se refroidit, comme la Méditerranée orientale, ou comme la Chine. Ces différences de comportement résultent de la dynamique aérologique. Cela dépend en effet des trajectoires des anticyclones mobiles polaires (AMP). Ceux-ci sont de vastes lentilles d’air glacial de 1500 km de rayon, générées quotidiennement par les pôles. Ces lentilles glissent au ras du sol, sous les couches d’air chaud plus légères, contournant les reliefs pour se diriger vers l’équateur. Sur leurs faces avant, elles provoquent le retour vers leur pôle respectif de l’air réchauffé sous les tropiques. Les AMP représentent l’exemple même de discontinuité que les modèles informatiques refusent d’incorporer. En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l’importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent.
Vous voulez dire qu’il n’y a pas de fonte des calottes glaciaires ?
C’est un fait incontestable ! Cependant, évitons de généraliser : dans le détail, la glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l’eau marine et de l’air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada. Comme l’écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, « le gros de la calotte antarctique n’a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d’années. » L’observation satellitale montre même qu’au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l’île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 – c’est-à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 ! C’est le démenti le plus flagrant apporté aux prévisions des modèles. Il est d’ailleurs surprenant que ceux-ci aient pu concevoir un tel réchauffement alors qu’il n’y a aucune raison physique qui puisse le justifier ! Est-ce seulement pour faire peur aux gens avec une prétendue montée des eaux qui en résulterait ?
En revanche, ce qui est sûr, c’est que comme les pôles se refroidissent, la puissance et la fréquence des AMP augmentent, les contrastes de températures s’élèvent, les confrontations entre l’air froid et l’air chaud sont plus vigoureuses et le temps devient de plus en plus violent et de plus en plus contrasté dans nos latitudes. Il devient aussi toujours plus irrégulier, avec des périodes étendues de froid puis de chaud, des pluies abondantes et des sécheresses. Des records de chaleur comme de fraîcheur sont d’ailleurs constamment dépassés.
Par exemple, le Canada a subi la pire tempête de verglas de son histoire en 1998, et la Mongolie a connu deux hivers successifs tellement rigoureux que l’Etat a dû faire appel à l’aide internationale. Il serait donc plus judicieux de tenir compte de cette évolution réelle, plutôt que d’un hypothétique scénario à l’horizon 2100, pour assurer, par exemple, une meilleure gestion de l’eau, notamment dans le domaine agricole. La France n’est pas plus épargnée qu’une autre région du monde. Nous avons déjà eu des chutes de neige sur la forêt méditerranéenne, en 2002. La canicule de l’été 2003 est encore un autre exemple, bien qu’elle ait été présentée comme la preuve du réchauffement climatique par M. Besson, Président de Météo France. Cette erreur de jugement est à la base de la mise en place du plan anti-canicule pour l’été 2004, canicule qui n’a bien sûr pas eu lieu. J’avais pourtant adressé, en août 2003, une note rectificative aux principaux médias écrits et audiovisuels pour expliquer les causes de la canicule. Il s’agissait tout simplement d’une hausse de pression, elle-même conséquence d’une augmentation de fréquence des AMP, visibles sur les images satellitales, mais dont les modélisateurs ne veulent pas entendre parler !
Un article paru dans le quotidien Le Monde du 18 septembre explique que la violence du cyclone Ivan constitue précisément une preuve du réchauffement climatique.
C’est très ironique car Ivan a connu des prédécesseurs plus redoutables que lui, comme Hugo, ou Andrews. En outre, le GIEC, dans les années 1990, prétendait que les modèles sont incapables de prévoir l’évolution de la cyclogenèse, qui ne montre aucune tendance à la hausse sur l’Atlantique Nord depuis un siècle. Les modèles annonçaient alors que le réchauffement allait nous apporter une plus grande clémence climatique : « Les tempêtes aux latitudes moyennes (…) résultent de l’écart de température entre le pôle et l’équateur (…). Comme cet écart s’affaiblira avec le réchauffement (…), les tempêtes aux latitudes moyennes seront plus faibles », écrivait le GIEC en 1990. Mais aujourd’hui, puisque le temps n’est pas conforme aux prévisions, le même GIEC oublie ses propres dires et récupère la violence – plus médiatique – du temps, en annonçant qu’il est précisément dû au réchauffement.
Comment expliquez-vous une telle désinformation sur ce sujet ?
Prédire le temps a toujours été une passion. Or, prédire que rien d’alarmant ne va se produire n’est pas très intéressant. Au début du XXe siècle, les prédictions alarmistes étaient déjà très à la mode.
Cependant, elles n’ont jamais réussi à s’imposer, car tous les faits les contredisaient. C’est seulement à partir des années 1985 que sont réapparus, lorsque la climatologie a été monopolisée par les informaticiens, les scénarios les plus catastrophistes. Oubliant tout simplement la météorologie, les modélistes ont appliqué des calculs en vérité extrêmement simplistes dans des modèles super sophistiqués pour imposer leurs concepts. Mais les hypothèses sur le réchauffement climatique n’ont jamais été vérifiées par l’observation, pas plus au début du XXe siècle qu’au début du XXIe. La fameuse courbe du GIEC n’est qu’un artefact, constamment démenti par les mesures et les observations satellitaires.
En réalité, le problème dit du climat est en permanence confondu avec celui de la pollution, deux domaines pourtant bien séparés, qui ne seront bien traités l’un et l’autre que lorsqu’ils seront dissociés. Il sert également de prétexte pour imposer une restriction à l’activité humaine, considérée à tort comme à l’origine du réchauffement climatique. La connexion d’intérêt qui s’est établie entre certains laboratoires, plusieurs institutions internationales et certains hommes politiques, a imposé la notion de réchauffement global. Suivre aveuglément les « recommandations pour décideurs » du GIEC fait passer à côté des phénomènes réels, dépenser vainement des sommes colossales pour des réunions par définition inutiles, et n’autorise pas des mesures de prévention efficaces contre les véritables aléas climatiques que nous allons connaître. A quoi sert de préparer l’économie d’un pays à un réchauffement, alors que tous ses thermomètres signalent un refroidissement ?
Finalement, le réchauffement climatique revêt de plus en plus un caractère de manipulation, qui ressemble vraiment à une imposture « scientifique », et dont les premières victimes sont les climatologues qui ne perçoivent de financements que lorsque leurs travaux vont dans le sens du GIEC.
https://www.agriculture-environnement.fr/2004/11/08/le-rechauffement-climatique-est-un-mythe.
Totem- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Ce que je trouve ironique c'est que ceux qui défendent des théories alternatives croient penser par eux-même alors qu'il n'ont fait qu'échanger un guru contre un autre guru...
Edit : enfin pour la plupart
Edit : enfin pour la plupart
Dernière édition par Azaël le Ven 28 Juin 2019 - 21:30, édité 1 fois
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Melon et bottes de cuir a écrit:Cl777,Non, ce n'est guère facile et exige de nombreuses lectures de tous bords. Encore une fois, vous sous-estimez les personnes que je rencontre dans l'ingénierie et qui exercent leur métier de par le monde entier. Des géochimistes également. Avec ce Monsieur Rossi, le prudence est de mise. Le climat n'est pas une mince affaire, c'est certain, mais quoiqu'on puisse en dire, l'être humain endosse une partie de la responsabilité.
Tu me sous estimes.. Je n'ai pas pour habitude d'affirmer à la légère. J'ai travaillé pendant 40 ans en tant qu'expert dans le domaine de la recherche et du développement, orientation électromagnétisme au sens large en ayant conçu des système innovants de très grande puissance, déposé des brevets, etc.. alors les personnes que tu rencontres et qui exercent leur métier dans le monde entier..
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Bonjour.
Le corail avait disparut quelques années et s'était reformé en Mer Rouge.
Aurait-il encore disparut..?
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Fol le Fou- Titania
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Azaël a écrit:Ce que je trouve ironique c'est que ceux qui défendent des théories alternatives croient penser par eux-même alors qu'il [color=#ff9966]n'ont fait qu'échanger un guru contre un autre guru...
[
Edit : enfin pour la plupart
Le problème n'est pas de passer d'un gourou à un autre mais d'être au service de la Vérité.
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Donc on le saura : Aller piocher tout et n'importe quoi sur le net sans même vraiment comprendre ce qu'on colle, dans le seul but d’asseoir une conviction en dépit de tout les autres éléments, sur un sujet auquel on ne connait rien, c'est servir la vérité
C'était très drôle
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Hakaan- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Asseoir sa vérité en fonction du net; vaut mieux être bien vacciné contre la c*nnerie.
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Hakaan a écrit:Donc on le saura : Aller piocher tout et n'importe quoi sur le net sans même vraiment comprendre ce qu'on colle, dans le seul but d’asseoir une conviction en dépit de tout les autres éléments, sur un sujet auquel on ne connait rien, c'est servir la vérité
C'était très drôle
Si ce que j'ai collé n'est pas bon peux tu citer tous les points que tu estimes faux plutôt que de dire que je n'ai pas compris ce que j'ai collé, chose toujours facile quand on veut contredire son interlocuteur, d'ailleurs tu fais la même chose chez tous les intervenants qui critiquent ce fameux réchauffement climatique malgré les données qu'ils apportent sous entendu que seules les données que tu cites sont les meilleures. Sinon que ce soit le réchauffement climatique ou un autre sujet, à partir du moment où les voix ne s'alignent pas sur la tienne, tu considères que tes vis à vis sont des ignares qui ont toujours torts, que tes copier/collés sont les meilleurs et que les autres ne comprennent pas ce qu'ils copient/collent... Bref chacun voit midi à sa porte mais je ne pense pas t'avoir dit que tu ne comprenais pas ce que tu copie/colle car en fait je me dis que ce n'est que ton opinion et que tu as le droit d'en avoir une comme tout le monde soit dit en passant, alors critiquons les textes (ce que tu ne fais pas sérieusement) et non les intervenants....
Je redis haut et fort hors de tout copié/collé ou vidéo que le réchauffement climatique est la grosse mite du siècle et on en reparlera tout comme on a reparlé du mythe des vaches qui pètent et trouent la couche d'ozone, tout cela certifié graphiques et données en main jetés en pâtures au commun des mortels afin qu'il ait un os a ronger pendant qu'on l'entube discrètement.....
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Je vais me répéter également, mais de mon avis, il y a réchauffement climatique, ou au moins dérèglement climatique.
La planète est dans un sale état, vous allez pas dire le contraire?!
Entre l'état des océans, dont l'acidification menace toute la vie sous marine, les plastiques jetés à tout va dans la nature, qui se retrouvent dans l'estomac des animaux que l'on mange, ce qui nous rend ensuite aussi malades qu'eux.
Les rejets des usines qui créent des malformations chez les nouveaux nés, vous vous souvenez pas des cas dans l'Ain? Des enfants nés sans bras? Ha peut être qu'ils ont repoussés depuis ou qu'on leur à mis des implants vous allez dire..
Et les l'élevage en batterie, ces animaux qui reçoivent des doses énormes d'antibiotiques, à qui on coupe le bec pour ne pas qu'ils se battent, parce que forcément vivre dans des cages obscures entassés les uns sur les autres ça rend dingo..
Certains vivent au pays des bisounours, à croire que les médias disent la vérité
Et oui des individus assez malsains pour participer à la dégradation de la terre, ça existe malheureusement, il ne faut pas croire que la situation actuelle est la suite d'évènement malheureux ou d'erreurs humaines.. là quand même avec toute les preuves, en creusant un peu, sans pour autant parler de complot, quoi que, bref il faut bien constater que tout le monde ne souhaite pas vivre sur une belle planète bleue et verte en harmonie.
La planète est dans un sale état, vous allez pas dire le contraire?!
Entre l'état des océans, dont l'acidification menace toute la vie sous marine, les plastiques jetés à tout va dans la nature, qui se retrouvent dans l'estomac des animaux que l'on mange, ce qui nous rend ensuite aussi malades qu'eux.
Les rejets des usines qui créent des malformations chez les nouveaux nés, vous vous souvenez pas des cas dans l'Ain? Des enfants nés sans bras? Ha peut être qu'ils ont repoussés depuis ou qu'on leur à mis des implants vous allez dire..
Et les l'élevage en batterie, ces animaux qui reçoivent des doses énormes d'antibiotiques, à qui on coupe le bec pour ne pas qu'ils se battent, parce que forcément vivre dans des cages obscures entassés les uns sur les autres ça rend dingo..
Certains vivent au pays des bisounours, à croire que les médias disent la vérité
Et oui des individus assez malsains pour participer à la dégradation de la terre, ça existe malheureusement, il ne faut pas croire que la situation actuelle est la suite d'évènement malheureux ou d'erreurs humaines.. là quand même avec toute les preuves, en creusant un peu, sans pour autant parler de complot, quoi que, bref il faut bien constater que tout le monde ne souhaite pas vivre sur une belle planète bleue et verte en harmonie.
Mélanie- Eris
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Ce qui m'amuse au plus au point:
La matière noire dont on perçoit les manifestations mais que l'on ne connait pas scientifiquement.
Comment donc cette matière noire a-t-elle pu être prise en compte pour évaluer le "réchauffement climatique"?
Comment est prise en compte également l'énergie vitale dont on perçoit les manifestations mais que l'on ne connait pas non plus scientifiquement?
Comment donc est pris en compte tout ce qui n'a pas encore été découvert?
Très belle mascarade et plus on fait de matraquage, plus le quidam moyen y croit et bien sûr on connait déjà la température de la terre en 2050 lol.
Ne pas amalgamer le réchauffement climatique et la pollution, problème effectif à régler rapidement, un sujet est d'ailleurs déjà ouvert.
La matière noire dont on perçoit les manifestations mais que l'on ne connait pas scientifiquement.
Comment donc cette matière noire a-t-elle pu être prise en compte pour évaluer le "réchauffement climatique"?
Comment est prise en compte également l'énergie vitale dont on perçoit les manifestations mais que l'on ne connait pas non plus scientifiquement?
Comment donc est pris en compte tout ce qui n'a pas encore été découvert?
Très belle mascarade et plus on fait de matraquage, plus le quidam moyen y croit et bien sûr on connait déjà la température de la terre en 2050 lol.
Ne pas amalgamer le réchauffement climatique et la pollution, problème effectif à régler rapidement, un sujet est d'ailleurs déjà ouvert.
cl777- Makemake
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Qu'est ce que la matière noire vient faire la dedans ?
Hakaan- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
C'est précisément pour mettre le doigt sur les absurdités puisque dans la mesure ou on sait qu'elle existe mais sans avoir d'explication scientifique, quelle est donc son rôle et son importance, même problème pour le reste et tout ce que l'on ne connait encore pas.
Après 40 ans de recherche et développement, je sais que toute étude prend en compte un certain nombre d'hypothèses et fait l'impasse sur ce qui ne semble pas trop important, ce qui ne devrait pas gêné pour obtenir le résultat mais surtout sur ce qui n'est pas malheureusement encore connu et ce sont les découvertes qui permettent d'obtenir un système performant.
Que constate-t-on pour le climat: les scientifiques ont considéré ce qu'ils avaient à leur disposition mais pas tout ce qu'ils ne savaient pas maitriser ou qu'ils ne connaissaient pas. Naturellement aucune avancée depuis la première synthèse sauf pour annoncer que l'on ne comprend pas pourquoi la température ne suit pas la prévision, vaste rigolade!
C'est donc facile de venir mettre en avant le réchauffement climatique alors que c'est scientifiquement complètement pipé et ça se vérifie.
Après 40 ans de recherche et développement, je sais que toute étude prend en compte un certain nombre d'hypothèses et fait l'impasse sur ce qui ne semble pas trop important, ce qui ne devrait pas gêné pour obtenir le résultat mais surtout sur ce qui n'est pas malheureusement encore connu et ce sont les découvertes qui permettent d'obtenir un système performant.
Que constate-t-on pour le climat: les scientifiques ont considéré ce qu'ils avaient à leur disposition mais pas tout ce qu'ils ne savaient pas maitriser ou qu'ils ne connaissaient pas. Naturellement aucune avancée depuis la première synthèse sauf pour annoncer que l'on ne comprend pas pourquoi la température ne suit pas la prévision, vaste rigolade!
C'est donc facile de venir mettre en avant le réchauffement climatique alors que c'est scientifiquement complètement pipé et ça se vérifie.
cl777- Makemake
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Ce n'est pas parce que les scientifiques ne trouvent pas d'explication logique et démontrables du réchauffement climatique, qu'il n'existe pas.
On parle tous les jours à la radio, à la télé, dans la presse, et certains en doute encore, c'est dingue.
Exemple, je viens d'ouvrir un magasin, et je lis "le moustique tigre a fait son apparition en France au début des années 2000 ... etc.. les bons gestes pour éviter son implantation"
Rien que cela, qu'un moustique originaire d'Asie, se retrouve en France et risque de véhiculer des maladies inconnues chez nous, on peut bien dire qu'il y a un danger là!
L'exemple pour dire que l'on a pas de recul ni de vision sur le long terme pour savoir quelles seront les réelles conséquences de l'augmentation de quelques degrés des températures.
On parle tous les jours à la radio, à la télé, dans la presse, et certains en doute encore, c'est dingue.
Exemple, je viens d'ouvrir un magasin, et je lis "le moustique tigre a fait son apparition en France au début des années 2000 ... etc.. les bons gestes pour éviter son implantation"
Rien que cela, qu'un moustique originaire d'Asie, se retrouve en France et risque de véhiculer des maladies inconnues chez nous, on peut bien dire qu'il y a un danger là!
L'exemple pour dire que l'on a pas de recul ni de vision sur le long terme pour savoir quelles seront les réelles conséquences de l'augmentation de quelques degrés des températures.
Mélanie- Eris
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Non seulement y'a une explication (l'absorption des IR par le CO2) mais en plus je vois pas ce qui est pipé,
juste comme ça on est en pleine canicule en ce moment même, canicule qui a battue plus de 10 records, et qui fait suite à d'autres au Qc et en Inde ou ils sont en pénurie d'eau,
donc qu'est ce qui est pipé ? en est entrain de les vivres en ce moment même les records, on va nous sortir quoi après, que c'est le GIEC qui a mis des radiateurs dans la stratosphère pour faire croire à une canicule ?
Et c'est pas comme si c'était un cas isolé, 2017 et 2018 ont aussi été des années à records, pour l'instant y'a largement plus d'indices qu'il se trame quelque chose plutôt que rien, ou alors faudra me montrer chiffres à l'appuis en quoi on est dans une normale statistique
juste comme ça on est en pleine canicule en ce moment même, canicule qui a battue plus de 10 records, et qui fait suite à d'autres au Qc et en Inde ou ils sont en pénurie d'eau,
donc qu'est ce qui est pipé ? en est entrain de les vivres en ce moment même les records, on va nous sortir quoi après, que c'est le GIEC qui a mis des radiateurs dans la stratosphère pour faire croire à une canicule ?
Et c'est pas comme si c'était un cas isolé, 2017 et 2018 ont aussi été des années à records, pour l'instant y'a largement plus d'indices qu'il se trame quelque chose plutôt que rien, ou alors faudra me montrer chiffres à l'appuis en quoi on est dans une normale statistique
Hakaan- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Mélanie5 a écrit:J
Les rejets des usines qui créent des malformations chez les nouveaux nés, vous vous souvenez pas des cas dans l'Ain? Des enfants nés sans bras? Ha peut être qu'ils ont repoussés depuis ou qu'on leur à mis des implants vous allez dire..
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Je me souviens (d'après mon grand âge) surtout de tous les enfants nés sans bras à cause des la thalidomide que l'on prescrivait aux femme enceintes pour les nausées et cela sur tout le territoire Français et ailleurs....et qui a fait plus de dégâts sur ce plan que dans l'Ain qui avait peut être aussi des enfants nés sans bras à cause de ce médicaments....on appelait ça à l'époque "phocomélie" ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Phocom%C3%A9lie )
Totem- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Mélanie5 a écrit:
Exemple, je viens d'ouvrir un magasin, et je lis "le moustique tigre a fait son apparition en France au début des années 2000 ... etc.. les bons gestes pour éviter son implantation"
Rien que cela, qu'un moustique originaire d'Asie, se retrouve en France et risque de véhiculer des maladies inconnues chez nous, on peut bien dire qu'il y a un danger là!
Sauf qu'il faut savoir qu'avec le brassage des populations et la mondialisation eh bien les moustiques comme d'autres espèces voyagent aussi et s'adapte, j'ai lu d'ailleurs que cela avait lieu aussi pour les fourmis, que des espèces de pays chauds se retrouvaient dans nos contrées et que certaines très virulentes détruisaient des espèces en place.
Quand aux maladies qui véhiculent là encore le brassage des populations en sont pour quelque chose. N'oublions pas les vagues d'immigrations actuelles.....
Essayer de vouloir à tout prix faire du réchauffement climatique ce qu'il n'est pas est bien ce que fait la propagande. Il y a une distinction à faire entre la pollution que personne ne nie et une histoire de réchauffement climatique pour lequel l'homme ne peut rien faire.
Quand au danger, ont dit toujours que la peur ne l'évite pas, comme ici :
https://lesmoutonsrebelles.com/haarp-modification-climat/
ou là :
https://blogs.mediapart.fr/jean63/blog/121015/haarp-une-menace-pour-le-climat-et-l-environnement-vibratoire-de-la-planete
Dernière édition par Totem le Sam 29 Juin 2019 - 16:39, édité 2 fois
Totem- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Qu'aujourd'hui nous affirmions qu'un réchauffement climatique est en cours est un fait vérifiable par de nombreux relevés sur une période certaine, par des sources diverses. Ensuite, nous n'avons pas les éléments factuels suffisants pour connaître l'ampleur et la durée de ce réchauffement. On peut s'appuyer sur un faisceau d'indices sérieux pour en déduire avec une bonne fiabilité que l'activité humaine n'est pas neutre dans cette affaire. Quelle part attribuer à telle ou telle industrie, fonctionnement collectif ou individuel, là on est plus dans l'affirmation qui est bien entendu influencée par des intérêts partisans. De plus, je ne vois pas à quel titre parler de dérèglement climatique. Effectivement, les études de plusieurs secteurs de la science ont mis en évidence qu'en plus des grandes ères de bouleversements durables, Il existe tout un tas de modifications climatiques de courte durée dont nous n'avons que la connaissance des toutes dernières. Il est tout à fait plausible sinon prévisible précisément dans le temps que cette augmentation rapide des températures à l'échelle mondiale aboutisse à un arrêt des grands courants marins régulateurs et en conséquence à un refroidissement sévère. La loi d'action réaction est partout .
Donc, l'idée de dérèglement à ce niveau est surtout lié à une idée abstraite de ce que devrait être la règle en la matière d'équilibre climatique.
L'alerte d'une part importante de la communauté scientifique à l'intérêt en tout cas d'informer sur la possibilité d'agir pour limiter et ne pas surajouter par nos agissements avides et compulsifs à la chaîne de causalité très très complexe qui détermine les équilibres climatiques changeants de notre planète.
Beaucoup d'historiens avancent, au fur et à mesure que nos connaissances sur le climat et de ses fluctuations au cours des derniers millénaires que les bouleversements sociétaux d'ampleur dans ces périodes sont plus dus à ces aléas climatiques vecteurs de disettes et donc de révoltes populaires que les facteurs politiques .
Cela aussi peut nous inciter à la réflexion et à l'action le cas échéant.
Enfin, comme je l'ai lu sous la virtuelle plume d'un intervenant de ce site, chacun voit midi à sa porte.
Donc, l'idée de dérèglement à ce niveau est surtout lié à une idée abstraite de ce que devrait être la règle en la matière d'équilibre climatique.
L'alerte d'une part importante de la communauté scientifique à l'intérêt en tout cas d'informer sur la possibilité d'agir pour limiter et ne pas surajouter par nos agissements avides et compulsifs à la chaîne de causalité très très complexe qui détermine les équilibres climatiques changeants de notre planète.
Beaucoup d'historiens avancent, au fur et à mesure que nos connaissances sur le climat et de ses fluctuations au cours des derniers millénaires que les bouleversements sociétaux d'ampleur dans ces périodes sont plus dus à ces aléas climatiques vecteurs de disettes et donc de révoltes populaires que les facteurs politiques .
Cela aussi peut nous inciter à la réflexion et à l'action le cas échéant.
Enfin, comme je l'ai lu sous la virtuelle plume d'un intervenant de ce site, chacun voit midi à sa porte.
Kzar- Mithra
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Logique si le climat se réchauffe que des espèces qui vivaient autrefois dans des pays plus chauds arrivent chez nous.Totem a écrit:Mélanie5 a écrit:
Exemple, je viens d'ouvrir un magasin, et je lis "le moustique tigre a fait son apparition en France au début des années 2000 ... etc.. les bons gestes pour éviter son implantation"
Rien que cela, qu'un moustique originaire d'Asie, se retrouve en France et risque de véhiculer des maladies inconnues chez nous, on peut bien dire qu'il y a un danger là!
Sauf qu'il faut savoir qu'avec le brassage des populations et la mondialisation eh bien les moustiques comme d'autres espèces voyagent aussi et s'adapte, j'ai lu d'ailleurs que cela avait lieu aussi pour les fourmis, que des espèces de pays chauds se retrouvaient dans nos contrées et que certaines très virulentes détruisaient des espèces en place.
Quand aux maladies qui véhiculent là encore le brassage des populations en sont pour quelque chose. N'oublions pas les vagues d'immigrations actuelles.....
Essayer de vouloir à tout prix faire du réchauffement climatique ce qu'il n'est pas est bien ce que fait la propagande. Il y a une distinction à faire entre la pollution que personne ne nie et une histoire de réchauffement climatique pour lequel l'homme ne peut rien faire.
Quand au danger, ont dit toujours que la peur ne l'évite pas, comme ici :
https://lesmoutonsrebelles.com/haarp-modification-climat/
ou là :
https://blogs.mediapart.fr/jean63/blog/121015/haarp-une-menace-pour-le-climat-et-l-environnement-vibratoire-de-la-planete
Et des canicules comme on en a depuis 18 ans, je n'ai pas l’impression qu'il y en avait autant auparavant. une fois par période de plusieurs siècles peut-être.
Là c'est plusieurs fois par an.
Je ne pense pas que l'on puisse nier un réchauffement global.
Invité- Invité
Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
JPP a écrit:
Je ne pense pas que l'on puisse nier un réchauffement global.
Dans certaines contrée oui mais pas au Canada ou en Sibérie.
J'ai connu dans ma vie des canicules de 6 mois (voir l'été 76) et quand j'ai pu discuté avec des générations bien avant moi, elle en ont connu aussi, tout comme des périodes de grands froids, j'ai connu ça aussi en plein mois d'Avril avec neige et congères, que la génération actuelle n'a pas vécu...Attendons encore 10 ans pour voir ce qui sera dit et quelle nouveauté va occuper les humains en matière de climat comme s'il n'y avait pas des choses bien plus importantes mais dès qu'on en parle on se fait traiter de "conspirationniste".....comme quoi la plupart des humains ont un plafond au niveau conscience qu'il ne veut pas ou ne peut pas dépasser, l'esprit faisant barrage, et il le fait d'ailleurs au niveau de l'éveil de l'être.
Totem- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Totem a écrit:Le réchauffement climatique est un mythe !8 novembre 2004
- Spoiler:
Aujourd’hui, il n’est presque plus possible de participer à un colloque consacré à l’agriculture sans que soient évoqués le réchauffement climatique et l’effet de serre. Préoccupation majeure de l’agriculteur, la question du climat suscite un intérêt évident car ses aléas ont des répercussions immédiates sur les résultats des exploitations.
Marcel Leroux, professeur en climatologie à l’université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS), est l’auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, il a achèvé son troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality, disponible depuis décembre 2006.
Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s’expliquent tout naturellement, lorsque l’on prend en compte ce qu’il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d’air glacial de 1500 mètres d’épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l’équateur.
Un Entretien avec Marcel Leroux
Tout le monde s’accorde à dire que la planète se réchauffe. Qu’en pensez-vous ?
En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C’est d’ailleurs la position de la Russie, qui considère qu’un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d’immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole. En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l’époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s’étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu’il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s’est d’ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d’abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas.
Pourquoi parle-t-on alors de réchauffement climatique ?
Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique). Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones. L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille. Quel extraordinaire bouleversement ! Une telle valeur, donnée avec une fourchette de précision de plus ou moins 0,2° sur un siècle et demi, est ridicule, car elle est de l’ordre de la précision de la mesure. Cette courbe n’est d’ailleurs pas validée par les mesures récentes effectuées par les capteurs de satellites qui, depuis 1978, ne montrent au contraire aucune évolution notoire, pas plus que les mesures issues de millions de radio-sondages.
En outre, comment parler de moyenne à l’échelle globale en mélangeant des températures marines, continentales, urbaines et surtout des températures de régions qui se refroidissent alors que d’autres se réchauffent ? Par exemple, l’Arctique occidental (au nord du Canada) se refroidit, alors que l’Arctique au nord de la mer de Norvège se réchauffe. Que fait-donc alors vraiment l’Arctique ? On ne peut pas du tout dire avec certitude que la terre se réchauffe.
Les modèles ne prévoient-ils pas pourtant une augmentation de la température de 2 à 6°C d’ici l’an 2100 ?
On n’a pas besoin de modèle pour faire une telle prédiction. Le chimiste suédois Svante Arrhénius (1859-1927) avait déjà « prédit » exactement la même chose en 1903 ! Il avait appliqué une règle de trois entre le taux de CO2 de son époque, celui du futur et la température correspondante. C’est exactement ce que font les modèles informatiques en insistant sur l’effet de serre. Un modèle n’est qu’un super calculateur qui dépend entièrement des données qu’on lui fournit et de la démarche qu’on lui impose pour traiter ces données. Il ne faut pas prêter aux modèles des vertus « magiques », d’autant plus qu’ils ne donnent qu’une vision très incomplète et déformée de la réalité météorologique. En particulier, ils ne tiennent pas compte de la circulation générale de l’atmosphère, de son organisation et de son mouvement. Pour ces modèles, les discontinuités, pourtant présentes partout dans la nature, ne sont tout simplement pas prises en considération. Les modèles utilisés pour la prédiction climatique sont fondés sur les mêmes principes que ceux utilisés pour la prévision météorologique. Or, ces derniers se trompent constamment : ils n’ont pas été capables de prévoir les tempêtes de 1999, les inondations de Nîmes ou Vaison la Romaine, la canicule de 2003 et l’été pourri de 2004. Comment pourraient-ils être fiables à l’horizon de 2100 ? D’ailleurs, comme le rappelle l’océanographe Robert Stevenson, ces modèles prévoyaient une augmentation de la température de 1,5° pour l’an 2000 ; or, c’est six fois plus que ce que l’on a observé.
Pourtant, il y a unanimité chez les climatologues pour dire que le réchauffement est une réalité …
Non, on insiste sur un prétendu consensus chez les climatologues, alors que celui-ci n’existe pas. Ensuite, il y a plusieurs sortes de « climatologues ». Prenons le GIEC, présenté comme l’autorité en la matière. En réalité, il s’agit d’un groupement intergouvernemental, c’est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques. D’ailleurs, la grande majorité de ses membres ne sont pas climatologues, à l’instar de Michel Petit, ingénieur en télécommunications, ou bien Jean Jouzel, qui est un excellent chimiste glaciologue, mais dont les connaissances scientifiques sur le climat sont limitées. Depuis l’avènement de l’informatique, nombre de ceux qui s’autoproclament « climatologues » sont en réalité des informaticiens-modélisateurs, qui accordent de très loin la préférence à la statistique et aux téléconnexions, sans se préoccuper des liens physiques réels. Il existe toutefois des climatologues météorologues, comme le spécialiste suédois de l’élévation du niveau de la mer Nils-Axel Mörner, ou encore le météorologiste canadien Madhav Khandekar, qui en revanche se préoccupent en priorité de l’observation des phénomènes réels et des principes physiques qui les relient. C’est aussi, naturellement, le souci premier de notre laboratoire. Ces derniers sont loin d’être convaincus par les résultats des modèles. Même parmi les modélisateurs, certains, comme l’Américain Richard Lindzen, restent très sceptiques concernant l’hypothèse du réchauffement climatique. Le problème du GIEC, comme d’ailleurs de Météo France, c’est que depuis les années 1980, ces organismes sont dominés par les modélisateurs, vedettes des médias. Les climatologues réellement soucieux de l’analyse du temps se sont d’ailleurs regroupés en association, dont l’une particulièrement active est intitulée « climat sceptics ».
Le rôle nocif sur le climat des gaz à effet de serre est quand même une donnée objective ?
Il n’y a rien de moins objectif qu’une telle affirmation ! Mettre l’accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d’autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l’atmosphère, les transferts méridiens d’air et d’énergie, et pour faire simple, les transferts d’air froid et d’air chaud. Chacun est capable d’observer que la température est fonction de ces brusques changements, et qu’elle n’évolue pas de façon linéaire. L’important, c’est d’abord de savoir pourquoi et comment des masses d’air froid se forment et se déplacent ; pourquoi elles remplacent ou sont remplacées par de l’air chaud – autrement dit de préciser le mécanisme de la machine atmosphérique. Le temps dépend au jour le jour de ces changements de masses d’air ; en revanche, sur le long terme, la variation dépend de l’activité solaire (tâche, magnétisme, éruption et vent solaires), des projections volcaniques, de la turbidité de l’air, des paramètres astronomiques, etc… Comment voulez-vous que leur responsabilité dans le climat puisse être mise en évidence dans des modèles qui ne prennent tout simplement pas en compte l’ensemble de ces paramètres ? L’effet de serre est donc totalement marginal, sinon même insignifiant, d’autant plus que le principal effet de serre n’est pas réalisé par le CO2 ou le CH4, mais par la vapeur d’eau. Or, même la part réelle de la vapeur d’eau dans l’effet de serre n’est pas considérée à sa juste valeur dans les modèles.
Qu’observe-t-on alors à l’échelle globale ?
On n’observe rien, car il n’y a pas de « climat global ». En revanche, on connaît parfaitement l’évolution des climats régionaux qui suivent des évolutions fort dissemblables. D’ailleurs, il est très révélateur de constater que, de l’aveu même du GIEC, leurs modèles sont incapables de restituer ces variations régionales ! Dans son deuxième rapport de 1996, le GIEC écrit : «Les valeurs régionales des températures pourraient être sensiblement différentes de la moyenne globale, mais il n’est pas encore possible de déterminer avec précision ces fluctuations. » Cela signifie que les modèles du GIEC seraient capables de donner une valeur moyenne sans connaître les valeurs régionales qui permettent d’établir précisément cette moyenne ! Ce n’est pas très sérieux !
Dans l’Atlantique Nord, on observe un refroidissement de la façade ouest (Canada, Etats-Unis à l’est des Rocheuses), alors que l’Europe occidentale se réchauffe, notamment la Scandinavie. L’Europe centrale, elle, se refroidit, comme la Méditerranée orientale, ou comme la Chine. Ces différences de comportement résultent de la dynamique aérologique. Cela dépend en effet des trajectoires des anticyclones mobiles polaires (AMP). Ceux-ci sont de vastes lentilles d’air glacial de 1500 km de rayon, générées quotidiennement par les pôles. Ces lentilles glissent au ras du sol, sous les couches d’air chaud plus légères, contournant les reliefs pour se diriger vers l’équateur. Sur leurs faces avant, elles provoquent le retour vers leur pôle respectif de l’air réchauffé sous les tropiques. Les AMP représentent l’exemple même de discontinuité que les modèles informatiques refusent d’incorporer. En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l’importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent.
Vous voulez dire qu’il n’y a pas de fonte des calottes glaciaires ?
C’est un fait incontestable ! Cependant, évitons de généraliser : dans le détail, la glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l’eau marine et de l’air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada. Comme l’écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, « le gros de la calotte antarctique n’a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d’années. » L’observation satellitale montre même qu’au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l’île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 – c’est-à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 ! C’est le démenti le plus flagrant apporté aux prévisions des modèles. Il est d’ailleurs surprenant que ceux-ci aient pu concevoir un tel réchauffement alors qu’il n’y a aucune raison physique qui puisse le justifier ! Est-ce seulement pour faire peur aux gens avec une prétendue montée des eaux qui en résulterait ?
En revanche, ce qui est sûr, c’est que comme les pôles se refroidissent, la puissance et la fréquence des AMP augmentent, les contrastes de températures s’élèvent, les confrontations entre l’air froid et l’air chaud sont plus vigoureuses et le temps devient de plus en plus violent et de plus en plus contrasté dans nos latitudes. Il devient aussi toujours plus irrégulier, avec des périodes étendues de froid puis de chaud, des pluies abondantes et des sécheresses. Des records de chaleur comme de fraîcheur sont d’ailleurs constamment dépassés.
Par exemple, le Canada a subi la pire tempête de verglas de son histoire en 1998, et la Mongolie a connu deux hivers successifs tellement rigoureux que l’Etat a dû faire appel à l’aide internationale. Il serait donc plus judicieux de tenir compte de cette évolution réelle, plutôt que d’un hypothétique scénario à l’horizon 2100, pour assurer, par exemple, une meilleure gestion de l’eau, notamment dans le domaine agricole. La France n’est pas plus épargnée qu’une autre région du monde. Nous avons déjà eu des chutes de neige sur la forêt méditerranéenne, en 2002. La canicule de l’été 2003 est encore un autre exemple, bien qu’elle ait été présentée comme la preuve du réchauffement climatique par M. Besson, Président de Météo France. Cette erreur de jugement est à la base de la mise en place du plan anti-canicule pour l’été 2004, canicule qui n’a bien sûr pas eu lieu. J’avais pourtant adressé, en août 2003, une note rectificative aux principaux médias écrits et audiovisuels pour expliquer les causes de la canicule. Il s’agissait tout simplement d’une hausse de pression, elle-même conséquence d’une augmentation de fréquence des AMP, visibles sur les images satellitales, mais dont les modélisateurs ne veulent pas entendre parler !
Un article paru dans le quotidien Le Monde du 18 septembre explique que la violence du cyclone Ivan constitue précisément une preuve du réchauffement climatique.
C’est très ironique car Ivan a connu des prédécesseurs plus redoutables que lui, comme Hugo, ou Andrews. En outre, le GIEC, dans les années 1990, prétendait que les modèles sont incapables de prévoir l’évolution de la cyclogenèse, qui ne montre aucune tendance à la hausse sur l’Atlantique Nord depuis un siècle. Les modèles annonçaient alors que le réchauffement allait nous apporter une plus grande clémence climatique : « Les tempêtes aux latitudes moyennes (…) résultent de l’écart de température entre le pôle et l’équateur (…). Comme cet écart s’affaiblira avec le réchauffement (…), les tempêtes aux latitudes moyennes seront plus faibles », écrivait le GIEC en 1990. Mais aujourd’hui, puisque le temps n’est pas conforme aux prévisions, le même GIEC oublie ses propres dires et récupère la violence – plus médiatique – du temps, en annonçant qu’il est précisément dû au réchauffement.
Comment expliquez-vous une telle désinformation sur ce sujet ?
Prédire le temps a toujours été une passion. Or, prédire que rien d’alarmant ne va se produire n’est pas très intéressant. Au début du XXe siècle, les prédictions alarmistes étaient déjà très à la mode.
Cependant, elles n’ont jamais réussi à s’imposer, car tous les faits les contredisaient. C’est seulement à partir des années 1985 que sont réapparus, lorsque la climatologie a été monopolisée par les informaticiens, les scénarios les plus catastrophistes. Oubliant tout simplement la météorologie, les modélistes ont appliqué des calculs en vérité extrêmement simplistes dans des modèles super sophistiqués pour imposer leurs concepts. Mais les hypothèses sur le réchauffement climatique n’ont jamais été vérifiées par l’observation, pas plus au début du XXe siècle qu’au début du XXIe. La fameuse courbe du GIEC n’est qu’un artefact, constamment démenti par les mesures et les observations satellitaires.
En réalité, le problème dit du climat est en permanence confondu avec celui de la pollution, deux domaines pourtant bien séparés, qui ne seront bien traités l’un et l’autre que lorsqu’ils seront dissociés. Il sert également de prétexte pour imposer une restriction à l’activité humaine, considérée à tort comme à l’origine du réchauffement climatique. La connexion d’intérêt qui s’est établie entre certains laboratoires, plusieurs institutions internationales et certains hommes politiques, a imposé la notion de réchauffement global. Suivre aveuglément les « recommandations pour décideurs » du GIEC fait passer à côté des phénomènes réels, dépenser vainement des sommes colossales pour des réunions par définition inutiles, et n’autorise pas des mesures de prévention efficaces contre les véritables aléas climatiques que nous allons connaître. A quoi sert de préparer l’économie d’un pays à un réchauffement, alors que tous ses thermomètres signalent un refroidissement ?
Finalement, le réchauffement climatique revêt de plus en plus un caractère de manipulation, qui ressemble vraiment à une imposture « scientifique », et dont les premières victimes sont les climatologues qui ne perçoivent de financements que lorsque leurs travaux vont dans le sens du GIEC.
https://www.agriculture-environnement.fr/2004/11/08/le-rechauffement-climatique-est-un-mythe.
Lien intéressant n'empêche.
Mais comment expliquer ces canicules qui semblent exploser?
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Totem a écrit:JPP a écrit:
Je ne pense pas que l'on puisse nier un réchauffement global.
Dans certaines contrée oui mais pas au Canada ou en Sibérie.
J'ai connu dans ma vie des canicules de 6 mois (voir l'été 76) et quand j'ai pu discuté avec des générations bien avant moi, elle en ont connu aussi, tout comme des périodes de grands froids, j'ai connu ça aussi en plein mois d'Avril avec neige et congères, que la génération actuelle n'a pas vécu...Attendons encore 10 ans pour voir ce qui sera dit et quelle nouveauté va occuper les humains en matière de climat comme s'il n'y avait pas des choses bien plus importantes mais dès qu'on en parle on se fait traiter de "conspirationniste".....comme quoi la plupart des humains ont un plafond au niveau conscience qu'il ne veut pas ou ne peut pas dépasser, l'esprit faisant barrage, et il le fait d'ailleurs au niveau de l'éveil de l'être.
Justement la neige est de plus en plus rare l'hiver ces dernières années.
Mais c'est vrai qu'il y a 15 ans on nous faisait peur avec le "trou dans le couche d'ozone" qui aurait des conséquences dramatiques et qui aujourd'hui s'est miraculeusement rebouché. Grâce aux efforts pour limiter les aérosols dit-on, or on en voit toujours autant.
https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/le-trou-dans-la-couche-d-ozone-diminue-et-cela-est-directement-lie-a-la-fin-des-cfc_119634
Invité- Invité
Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Le trou dans la couche d'ozone était principalement du à l'utilisation de gaz fluorés dans les circuits de refroidissement type réfrigérateur et autres.
Une norme internationale a été prise interdisant l'utilisation de ces gaz.
Depuis, l'ionisation naturelle des couches d'air supérieures de l'atmosphère à reconstitué en partie la couche d'ozone.
C'est une parfaite illustration que l'Homme maîtrise en partie son influence sur la planète.
Une norme internationale a été prise interdisant l'utilisation de ces gaz.
Depuis, l'ionisation naturelle des couches d'air supérieures de l'atmosphère à reconstitué en partie la couche d'ozone.
C'est une parfaite illustration que l'Homme maîtrise en partie son influence sur la planète.
Invité- Invité
Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
JPP a écrit:Mais comment expliquer ces canicules qui semblent exploser?
Exploser où.?
Dès que c'est en France on ne parle plus que de ça aujourd'hui parce que les gens ont été habitués à s'affoler à la moindre hausse de température. Beaucoup de ceux qui se plaignent ne pourraient vivre dans le pays chauds qui connaissent la chaleur tout le temps, à mon avis. J'en ai d'ailleurs connu qui sont allés vivre aux Antilles et sont revenus à cause de ça, en contre partie j'en ai connu d'autres qui aiment le climat et y sont resté trouvant qu'il fait trop froid en France....
Je me souviens la première fois que je suis descendue à Montpellier chez ma fille, il avait très chaud, ma fille vivant depuis quelques années n'avait pas encore connu cette chaleur et nous en avions discuté lors d'une promenade avec un très vieux Monsieur dans un village qui nous a dit avec le sourire qu'il avait connu bien pire que ça dans sa jeunesse et plusieurs fois..., on avait l'air de novices plaintifs qui n'avaient pas encore tout vu devant lui....
Totem- Antarès
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Re: Réchauffement climatique grosse mite ou raelité ? (1)
Discuter des dérèglements climatiques c'est autre chose que de se dire : s'il fait froid je mettrais une petite laine et s'il fait chaud je sortirais mon maillot de bain...
Il faut comprendre les tenants et aboutissants (en tout cas essayer de s'en faire une représentation la plus juste possible)
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