Guérir l'enfant intérieur

La pleine conscience pour guérir l'enfant intérieur d'après Thich Nhat Hanh, moine Bouddhiste, serait la clé.

Son interview ici :

https://philosophies.tv/chroniques.php?id=823



Une fois que vous avez établie le lien, que vous entendez ses souffrances, comment prenez-vous soin de votre enfant intérieur ?
J'aimerais aller dans le concret, "réconforter l'enfant intérieur", oui mais comment selon vous ?

Oublier l'illusion du temps.
Que ton "moi parent" aille par la méditation consoler et donner à l'enfant que tu étais tout ce dont il aurait eu besoin.
De l'écoute, de l'amour et des solutions à ses problèmes.

Pour que notre enfant intérieur aille mieux on peut d'abord prendre conscience de ce qu'il ressent puis ensuite l'accepter exactement tel qu'il est sans chercher à le changer.

Porto Rico a écrit:Pour que notre enfant intérieur aille mieux on peut d'abord prendre conscience de ce qu'il ressent puis ensuite l'accepter exactement tel qu'il est sans chercher à le changer.

Oui je te rejoins, je n'ai pas parlé de le changer au sens premier mais de comment le réconforter pour apaiser sa souffrance.
Et c'est là où je pense que l'on ne va pas être d'accord (tu me corrigeras si je me trompe), si on veut l'apaiser c'est que dans un sens, on veut le changer.
Je pense que pour l'adulte se sente en paix, il faut guérir l'enfant intérieur, donc ça sous-entends un changement par l'amour, la compassion, la compréhension avec un regard neutre et pas celui de l'adulte qui juge.

Aspirant a écrit:Oublier l'illusion du temps.
Que ton "moi parent" aille par la méditation consoler et donner à l'enfant que tu étais tout ce dont il aurait eu besoin.
De l'écoute, de l'amour et des solutions à ses problèmes.

Et s'il n'y a pas de solutions, il reste alors "juste" l'amour et la compassion

(qui a dis que je parlais de moi je pense que c'est un sujet universel et que nous avons tous cet enfant intérieur qui nous parle, parfois on l'écoute, parfois on l'occulte, mais je m'inclue également, cela va de soi)

Souvent l'enfant intérieur ne demande qu'à être entendu.
(Qui a dit que je parlais de toi ? )

Aspirant a écrit:Souvent l'enfant intérieur ne demande qu'à être entendu.
(Qui a dit que je parlais de toi ? )

Tu as écris "ton enfant"

Oui c'est vrai, et parfois on refoule par peur je suppose, plus on laisse passer de temps plus l'enfant a souffert et plus il aura besoin de réconfort et d'amour je présume

Miwae a écrit:

Porto Rico a écrit:Pour que notre enfant intérieur aille mieux on peut d'abord prendre conscience de ce qu'il ressent puis ensuite l'accepter exactement tel qu'il est sans chercher à le changer.

Oui je te rejoins, je n'ai pas parlé de le changer au sens premier mais de comment le réconforter pour apaiser sa souffrance.
Et c'est là où je pense que l'on ne va pas être d'accord (tu me corrigeras si je me trompe), si on veut l'apaiser c'est que dans un sens, on veut le changer.
Je pense que pour l'adulte se sente en paix, il faut guérir l'enfant intérieur, donc ça sous-entends un changement par l'amour, la compassion, la compréhension avec un regard neutre et pas celui de l'adulte qui juge.

De toute façon on veut tout le temps changer les choses, les améliorer. C'est un peu notre raison d'être. On est des machines faites pour transformer l'obscurité en lumière.

Après, dans notre volonté immuable de nous élever, à un moment donné on comprend que tous ce qui nous arrive n'arrive pas pour qu'on lutte contre, mais pour qu'on le vive exactement tel qu'il arrive en nous. Et c'est dans cet état d'amour que les choses évoluent.

Quelque fois lors de méditation, j'ai demandé à l'enfant que j'ai été : "de quoi aurais-tu eu besoin ?"

C'est ça que je ne comprends pas trop à vrai dire, comment cela pourrait-il soulager d'apporter à l'enfant intérieur quelque chose qu'il n'a pas eu puisque c'est déjà passé, donc c'est trop tard non ?

A un niveau psychologique :
Notre enfant intérieur continue de vivre en nous : la preuve il continue inlassablement à nous poser les mêmes interrogations : "pourquoi ais-je vécu cela ? Pourquoi cette injustice ? N'étais-je pas assez aimable ? etc.
Il n'est pas trop tard pour l'écouter.

A un niveau métaphysique je te dirais que le temps n'existe pas.
Et si nos anges gardiens étaient notre "moi" du futur venant nous rendre visite pour nous dire : "ne te décourage pas" ? Plus tard tu auras la solution à tout cela...
Il m'est arrivé d'aller rendre visite à mon "moi" du passé sur cette modalité et, autosuggestion ou pas, cela fonctionne et apporte du soulagement...

Miwae a écrit:C'est ça que je ne comprends pas trop à vrai dire, comment cela pourrait-il soulager d'apporter à l'enfant intérieur quelque chose qu'il n'a pas eu puisque c'est déjà passé, donc c'est trop tard non ?

Pour moi, on ne change pas le passé, mais ça permet de l'accepter et c'est le fait de reconnaitre la souffrance dans la manière dont elle a été ressentie, qui soulage.

Je n'ai pas suffisamment ce réflexe de communiquer avec lui et c'est bien dommage parce que je trouve que c'est très efficace.

Quand je le fais, c'est un dialogue où je me remémore un événement vécu enfant. Les souvenirs remontent, les émotions sont présentes (je veux dire par là que ce n'est pas qu'un discours mental), puis s'engage le discours entre le moi adulte et le moi enfant, l'enfant s'exprime (souvent discursif et émotionnel), le moi parent écoute le ressenti, accueille l'enfant intérieur, le comprend, le console comme on peut le faire pour nos enfants et lui dit qu'il l'aime tel qu'il est et le relie à son présent.

Je ne cherche pas à changer l'enfant intérieur même si je suis consciente que sa vision des choses ne tenait pas compte de tout, mais ça permet à la fois de mieux se comprendre et par le fait de cette réconciliation de s'aimer davantage.

C'est le moi adulte qui peut alors changer sa vision des choses comme si il avait pu mettre en lumière une part de lui-même qu'il pouvait avoir occultée et quand on y arrive, on se rend compte qu'on peut alors raconter ces événements de façon assez neutre, sans finalement ressentir d'émotions particulières.

Enfin, je suppose qu'on peut faire autrement, je ne fais que partager mon expérience.

Aspirant a écrit:
Et si nos anges gardiens étaient notre "moi" du futur venant nous rendre visite pour nous dire : "ne te décourage pas" ? Plus tard tu auras la solution à tout cela...

J'aime bien cette idée. Elle rejoint l'idée que la "petite voix intérieure" répondrait au "pourquoi ?, ou comment c'est possible ?" de l'enfant en disant "t'inquiète pas, un jour ce sera autrement", est peut-être ce "moi du futur".  

C'est une bonne idée d'avoir ouvert ce sujet @Miwae

Je me retrouve dans ce que tu expliques Arpège, il est vrai qu'il y a une différence (et de taille) entre intellectualiser et le ressentir.
Je ne sais pas ce qui permets ce basculement, je me permets de partager mon expérience personnelle.

Avant j'étais dans une vision complètement mentale, et puis un jour, il s'est passé un déclic (très violent et très douloureux) et à partir de là, j'ai ressenti l'enfant intérieur, du jour au lendemain, comme ça.
C'est depuis que j'ai vraiment compris qu'il existait, alors qu'avant, je lisais  et comprenais mais je ne le ressentais pas, c'était purement mental.

Ca donne l'impression d'avoir un tout nouveau regard, non pas sur le passé puisqu'il ne change pas, mais sur cet enfant intérieur dans le contexte passé.

Aspirant a écrit:A un niveau psychologique :
Notre enfant intérieur continue de vivre en nous : la preuve il continue inlassablement à nous poser les mêmes interrogations : "pourquoi ais-je vécu cela ? Pourquoi cette injustice ? N'étais-je pas assez aimable ? etc.
Il n'est pas trop tard pour l'écouter.

Oui mais tu vois, il n'est pas toujours aisé de l'entendre réellement, et je dirais même (c'est mon point de vue personnel, je ne dis pas qu'il s'applique à tout le monde, c'est juste ce que je ressens) que s'il pose ces questions, c'est peut être + l'ego que l'enfant intérieur, ou bien un mélange des deux.

Est ce que l'enfant demande quelque chose, je ne suis pas sûre finalement, je pense que c'est nous adulte qui voulons ses réponses

Miwae a écrit:
Oui mais tu vois, il n'est pas toujours aisé de l'entendre réellement, et je dirais même (c'est mon point de vue personnel, je ne dis pas qu'il s'applique à tout le monde, c'est juste ce que je ressens) que s'il pose ces questions, c'est peut être + l'ego que l'enfant intérieur, ou bien un mélange des deux.

Est ce que l'enfant demande quelque chose, je ne suis pas sûre finalement, je pense que c'est nous adulte qui voulons ses réponses

Je suis d'accord avec ça. C'est l'ego qui ressasse car c'est lorsque qu'il est muselé le temps que la vraie nature (l'enfant emprisonné) vienne au devant que la paix advient et que la souffrance disparait.... C'est la raison de toutes les pratiques spirituelles....

La guérison de l'enfant intérieur ne peut se faire sans une attention bienveillante au corps et ses ressentis car c'est par lui qu'il communique un besoin de se faire entendre, dès lors que la relation à mon corps s'est renoué je fus étonné de lire à travers ses messages un besoin d'affirmation plus fort que l'effort que j'essayais alors de fournir pour reprendre mon rôle dans ma fratrie et puis dans ma famille.

Grégory Mutombo lors de l'une de ses conférences à laquelle j'ai eu la chance de participer, lui, parle des rôles que nous jouons et qui peuvent s'échanger vis à vis des autres membres de notre famille, ce peut être appelé un rôle ou une place au sein d'une famille mais alors dès que la question se pose de savoir quelle est sa propre place dans le monde j'y voit un rapport intime avec un manque d'affirmation de soi, de confiance aussi au sein de la famille.

L'enfant intérieur ne signifie pas selon moi qu'un petit être soit bloqué dans notre corps mais plutôt qu'un émotionnel enfoui ai besoin d'être entendu puis compris pour enfin lui apporter une réponse concrète dans le présent. Le regard adulte serait alors de voir ces sensations parfois désagréables avec sagesse et de les laisser transmettre sans émettre de jugement afin qu'il puisse délivrer le message qui doit être ensuite compris, sans que cela se fasse nécessairement par les mots.

Juste une remarque sur ce concept d'enfant intérieur auquel je trouve un point commun avec celui de "corps de souffrance" dont parle Eckart Tolle : peut être que pour certaines personne, le fait de parler du souffrant a la troisième personne : "l'enfant, le corps de ..." au lieu de dire JE souffre, fait partie de la mise a distance avec ce qui souffre en nous et que cette mise a distance participe a un mieux être, voir a la guérison ... mais je n'en suis pas sur.
Sinon pour moi le médecin et le médicament c'est la Lumière de dieu et je trouve que certaines personnes se compliquent beaucoup les choses pour essayer de se soigner sans faire appel a Lui (dieu) et Elle (la Lumière) mais pourquoi pas.
Moi même certaines choses me sont impossible si je n'y crois pas.

Le concept de «  l’enfant intérieur » est une technique métaphorique qui permet d’accéder à notre outil intérieur, au plus profond de nos racines généalogiques, pour explorer et remodeler les événements du passé.

Oui, cela permet de prendre du recul et de se dissocier.

Cela est bien expliqué dans le livre des trois amis en quête de liberté:
«  À nous la liberté ! »

Le moine, Matthieu Ricard, le philosophe, Alexandre Jollien, et le psy, Christophe André.

Le point de ralliement du corps de Bouddha, de Spinoza et de la pleine conscience.
Comment se restructurer heureux.
Choisir sa « personnalité » idéale.

Hum , la plupart du temps dans nos pays industrialisés où l'éducation et la culture prime le développement de la personnalité au détriment de l'essence , cette essence a arrêté son développement entre cinq et 10 ans malgré une personnalité complexe , les " adultes" que nous croisons dans notre vie et nous même sont des essences infantiles identifiées à leur personnalité .

Nous n'avons pas " d'enfant intérieur " , nous sommes cet enfant , nous pensons , nous aimons , et nous agissons comme tel , nous ne faisons que développer constamment notre personnalité , et la dernière en date est notre personnalité spirituelle , très peu de voies touchent cette essence arrêtée dans son développement , la personnalité à pour pensée qu'elle a un " enfant intérieur" , mais très tôt cet enfant a su manipuler une personnalité touchant tout les aspects de cette essence , pensée , émotion , corps .

Cette personnalité complexe satisfait mécaniquement à toutes les activités sociales , notre essence pusillanime dort depuis longtemps , et elle est constamment identifiée à cette personnalité qu'elle a acquit , tout marche bien dans le meilleur des mondes , et qu'importe le niveau social les êtres sont des essences arrêtés dans leur développement qui bénéficient heureusement de fonctions gérées mécaniquement qui permet à cette société d'exister .

Parfois notre essence est touchée par certains événements , elle apparaît quelques instants dans son immaturité avant qu'un rôle vienne y réagir et donner le change , qu'elle retourne à son sommeil , cet enfant que nous sommes dort depuis longtemps , et le fait que la personnalité ait enregistré qu'il dort ne change rien , l'état de conscience dans lequel nous existons ne nous permet pas de nous voir tel que nous sommes , et rien n'est fait dans cette société pour que l'essence s'éveille et puisse grandir , reprendre son développement , love .

Lio a écrit:

L'enfant intérieur ne signifie pas selon moi qu'un petit être soit bloqué dans notre corps ....

Et pourtant il est bien là...l'enfant intérieur divin que nous sommes est confondu avec le corps de souffrance illusoire qui l'empêche de s'exprimer........

Beaucoup d'écrits parlent de cet être sous la surface ou derrière le voile.

Symboliquement, l’allégorie de la naissance de Jésus à Bethléem est le réveil de l’âme dans un espace de conscience « vierge et immaculé » (la vierge Marie).
Le dieu intérieur naît dans le coeur lorsqu’une nouvelle conscience apparaît à la place de l’égo personnel. Il s’agit de la manifestation intérieure d’un être surnaturel ayant une réalité organique de nature transcendante. Cet être s’installe sur le canevas de notre organisme comme un double atomique parallèle.


A défaut, Peux-tu voir Dieu comme un Infini sans corps et pourtant l'aimer comme un homme aime sa maîtresse?  Alors la suprême vérité de l'Infini t'a été révélée.

Peux-tu aussi vêtir l'Infini d'un corps secret que l'on peut embrasser, et le voir en chacun et en tous ces corps visibles et saisissables? Alors sa vérité suprêmement vaste et profonde entre aussi en ta possession.

" Mais en vérité, Il est encore bien au-delà de cette représentation qui ne fait que l'approcher : Il a une Vie qui Lui est propre.
(Sri Aurobindo)

En celui qui la possède, son extase met en mouvement les deux naissances, celle qui exprime le moi humain et celle qui exprime le moi divin, et elle se meut entre l'une et l'autre.
Rig-Véda. IX. 86.42.


"Un espace ensoleillé où tout est à jamais connu."
Si nous avons senti ce Soleil dedans, cette flamme, cette vie vivante - il y a tant de vies mortes - fût-ce une seconde dans une existence, tout est changé, c'est un souvenir devant lequel tous les autres sont pâles. C'est le Souvenir. Et si nous sommes fidèles à cet Agni qui brûle, il grandira de plus en plus comme un être vivant dans notre chair, comme un besoin inlassable. (...)
SRI AUROBINDO ou l'aventure de la conscience     Satprem   (p.101-109)


Ect....

l'enfant interieur n'est pas malade..
il est intact.
c'est le diamant pur qui brille en nous et fait de nos candeurs des étoiles dans le ciel.
il n'a rien a dire ou a penser:
il est dans ce flot incessant de mots, de maux, la véritable source qui fait couler nos larmes..

Professeur X a écrit:Hum , la plupart du temps dans nos pays industrialisés où l'éducation et la culture prime le développement de la personnalité au détriment de l'essence , cette essence a arrêté son développement entre cinq et 10 ans malgré une personnalité complexe , les " adultes" que nous croisons dans notre vie et nous même sont des essences infantiles identifiées à leur personnalité .

Nous n'avons pas " d'enfant  intérieur " , nous sommes cet enfant , nous pensons , nous aimons , et nous agissons comme tel , nous ne faisons que développer constamment notre personnalité , et la dernière en date est notre personnalité spirituelle , très peu de voies touchent cette essence arrêtée dans son développement , la personnalité à pour pensée qu'elle a un " enfant intérieur" , mais très tôt cet enfant a su manipuler une personnalité touchant tout les aspects de cette essence , pensée , émotion , corps .

Cette personnalité complexe satisfait mécaniquement à toutes les activités sociales , notre essence pusillanime  dort depuis longtemps , et elle est constamment identifiée à cette personnalité qu'elle a acquit ,  tout marche bien dans le meilleur des mondes , et qu'importe le niveau social les êtres sont des essences arrêtés dans leur développement qui bénéficient heureusement de fonctions gérées mécaniquement qui permet à cette société d'exister .

Parfois notre essence est touchée par certains événements , elle apparaît quelques instants dans son immaturité avant qu'un rôle vienne y réagir et donner le change , qu'elle retourne à son sommeil , cet enfant que nous sommes dort depuis longtemps , et le fait que la personnalité ait enregistré qu'il dort ne change rien , l'état de conscience dans lequel nous existons ne nous permet pas de nous voir tel que nous sommes , et rien n'est fait dans cette société pour que l'essence s'éveille et puisse grandir , reprendre son développement , love .

La méditation de pleine conscience se développe et permet cela.
Retrouver notre essence profonde pour allumer notre quotidien.

Qu’elle nous éclaire à mettre la joie partout.
La joie de l’amour de la vie.

Sod a écrit:Juste une remarque sur ce concept d'enfant intérieur auquel je trouve un point commun avec celui de "corps de souffrance" dont parle Eckart Tolle : peut être que pour certaines personne, le fait de parler du souffrant a la troisième personne : "l'enfant, le corps de ..." au lieu de dire JE souffre, fait partie de la mise a distance avec ce qui souffre en nous et que cette mise a distance participe a un mieux être, voir a la guérison ... mais je n'en suis pas sur.
Sinon pour moi le médecin et le médicament c'est la Lumière de dieu et je trouve que certaines personnes se compliquent beaucoup les choses pour essayer de se soigner sans faire appel a Lui (dieu) et Elle (la Lumière) mais pourquoi pas.
Moi même certaines choses me sont impossible si je n'y crois pas.

J'ai l'impression que tout le monde n'a pas la même définition de l'enfant intérieur, si j'ai bien compris mais peut-être que je me trompe, certains le voient comme le corps de souffrance comme tu viens de l'expliquer, et d'autres comme le Divin

L’enfant intérieur, notre puissance de jeunesse, peut se consumer au risque de s’éteindre.
C’est le corps de souffrance qui est alors entretenu à souffrir.
Mais cette souffrance vient des braises qui sont toujours présentes et qui continuent de crier que notre efficience est toujours là, au fond, et qu’elle est prête à se raviver positivement si on l’entretient positivement...

Mais la dépression et la négativité sociale ne favorise pas son rallumage.
Et les psychotropes servent d’extincteur et l’étouffent.