Thérapie de l’âme

Les pièges d’un monde normatif
Une société dont les valeurs dominantes et les institutions n’encouragent pas à cultiver les qualités relationnelles et les vertus de l’âme humaine laisse le champ libre à des peurs incontrôlables et à des désirs exacerbés. L’agressivité, la méfiance et les excès en tous genres finissent bientôt par être les seuls guides de la conduite humaine. La publicité, la télévision, les films et de nombreux aspects de l’éducation actuelle ne font
qu’amplifier ce phénomène en poussant les jeunes toujours plus loin dans la compétition et la consommation.

Cela développe seulement en eux le goût de l’argent et de la célébrité, ainsi que la fascination pour des valeurs éphémères qui auront pour effet, à la longue, de provoquer de grandes frustrations et une uniformisation des modes de vie et de pensée. Car c’est
bien là le tour de force magistral des sociétés contemporaines, renforcé par la globalisation économique, que de donner l’illusion d’étendre sans limites les libertés et les droits de chacun tout en mettant simultanément en place une nouvelle forme de servitude à laquelle la plupart des individus adhèrent, faute de modèle sociétal alternatif, en suivant des normes de plus en plus standardisées, restrictives et complexes.
Aussi assistons-nous parfois à des réactions violentes et soudaines contre les institutions et ceux qui les représentent, à des crises identitaires et mystiques, qui ont toutes pour point commun le rejet du monde.

L’individu se persuade qu’il vit dans un monde d’adversité et d’hostilité où il se sent incompris et seul contre tous, sans s’apercevoir que son désir d’émancipation à l’égard des contraintes normatives est lui-même alimenté par toutes sortes de peurs, fabriquées
artificiellement et entretenues avec complaisance par les médias, les représentants de l’autorité ou encore par les organismes internationaux. Il se laisse piéger, à son insu,
par la multiplicité des réalités de ce monde qui le pousse à mener une vie frénétique et dispersée.

Mais en réalité, un tel comportement traduit intérieurement une véritable
détresse à laquelle il pense pouvoir échapper en ayant recours à la violence !

Or la seule et véritable révolte possible contre la condition actuelle de l’homme semble
ne pouvoir passer que par une révolte silencieuse et intérieure, capable de l’affranchir des contraintes normatives en devenant le témoin et le garant de l’existence d’une noblesse d’âme, et pourquoi pas d’une « chevalerie spirituelle » !
Khaled Bentounes

On vit dans un monde qui ne cherche pas le bien-être mais seulement la performance, le gain et la compétitivité.

Il faut un minimum de discernement et de recul pour s'apercevoir de l'ampleur de la supercherie.
Malheureusement ceux qui ne l'on pas finissent vite balayé par ce système.

Cela demande une force intérieure de s'extraire de ce marécage mais quand on sait quelles sont nos vraies valeurs et croyances, on ne se pose plus la question, cela semble logique de refuser ce dogme actuel du capitalisme.

Ne jamais renoncer à vivre libre.

salut..le "secret" réside dans le fait d'être un "spectateur" de cette "pièce" de théâtre et non acteur .....le fait d'en être "touché" , prouve notre "position" dans cette "pièce" ....on peux regarder sans "voir" .... a chacun son "combat" , en fait s'il y a "combat" ,pour moi ,ce n'est pas la bonne "voie"... a plus

passager a écrit:Les pièges d’un monde normatif
Une société dont les valeurs dominantes et les institutions n’encouragent pas à cultiver les qualités relationnelles et les vertus de l’âme humaine laisse le champ libre à des peurs incontrôlables et à des désirs exacerbés. L’agressivité, la méfiance et les excès en tous genres finissent bientôt par être les seuls guides de la conduite humaine. La publicité, la télévision, les films et de nombreux aspects de l’éducation actuelle ne font
qu’amplifier ce phénomène en poussant les jeunes toujours plus loin dans la compétition et la consommation.

Cela développe seulement en eux le goût de l’argent et de la célébrité, ainsi que la fascination pour des valeurs éphémères qui auront pour effet, à la longue, de provoquer de grandes frustrations et une uniformisation des modes de vie et de pensée. Car c’est
bien là le tour de force magistral des sociétés contemporaines, renforcé par la  globalisation économique, que de donner l’illusion d’étendre sans limites les libertés et les droits de chacun tout en mettant simultanément en place une nouvelle forme de servitude à laquelle la plupart des individus adhèrent, faute de modèle sociétal alternatif, en suivant des normes de plus en plus standardisées, restrictives et complexes.
Aussi assistons-nous parfois à des réactions violentes et soudaines contre les institutions et ceux qui les représentent, à des crises identitaires et mystiques, qui ont toutes pour point commun le rejet du monde.

L’individu se persuade qu’il vit dans un monde d’adversité et d’hostilité où il se sent incompris et seul contre tous, sans s’apercevoir que son désir d’émancipation à l’égard des contraintes normatives est lui-même alimenté par toutes sortes de peurs, fabriquées
artificiellement et entretenues avec complaisance par les médias, les représentants de l’autorité ou encore par les organismes internationaux. Il se laisse piéger, à son insu,
par la multiplicité des réalités de ce monde qui le pousse à mener une vie frénétique et dispersée.

Mais en réalité, un tel comportement traduit intérieurement une véritable
détresse à laquelle il pense pouvoir échapper en ayant recours à la violence !

Or la seule et véritable révolte possible contre la condition actuelle de l’homme semble
ne pouvoir passer que par une révolte silencieuse et intérieure, capable de l’affranchir des contraintes normatives en devenant le témoin et le garant de l’existence d’une noblesse d’âme, et pourquoi pas d’une « chevalerie spirituelle » !
Khaled Bentounes

Merci Passager, très belle découverte.

Kolam a écrit:

passager a écrit:Les pièges d’un monde normatif
Une société dont les valeurs dominantes et les institutions n’encouragent pas à cultiver les qualités relationnelles et les vertus de l’âme humaine laisse le champ libre à des peurs incontrôlables et à des désirs exacerbés. L’agressivité, la méfiance et les excès en tous genres finissent bientôt par être les seuls guides de la conduite humaine. La publicité, la télévision, les films et de nombreux aspects de l’éducation actuelle ne font
qu’amplifier ce phénomène en poussant les jeunes toujours plus loin dans la compétition et la consommation.

Cela développe seulement en eux le goût de l’argent et de la célébrité, ainsi que la fascination pour des valeurs éphémères qui auront pour effet, à la longue, de provoquer de grandes frustrations et une uniformisation des modes de vie et de pensée. Car c’est
bien là le tour de force magistral des sociétés contemporaines, renforcé par la  globalisation économique, que de donner l’illusion d’étendre sans limites les libertés et les droits de chacun tout en mettant simultanément en place une nouvelle forme de servitude à laquelle la plupart des individus adhèrent, faute de modèle sociétal alternatif, en suivant des normes de plus en plus standardisées, restrictives et complexes.
Aussi assistons-nous parfois à des réactions violentes et soudaines contre les institutions et ceux qui les représentent, à des crises identitaires et mystiques, qui ont toutes pour point commun le rejet du monde.

L’individu se persuade qu’il vit dans un monde d’adversité et d’hostilité où il se sent incompris et seul contre tous, sans s’apercevoir que son désir d’émancipation à l’égard des contraintes normatives est lui-même alimenté par toutes sortes de peurs, fabriquées
artificiellement et entretenues avec complaisance par les médias, les représentants de l’autorité ou encore par les organismes internationaux. Il se laisse piéger, à son insu,
par la multiplicité des réalités de ce monde qui le pousse à mener une vie frénétique et dispersée.

Mais en réalité, un tel comportement traduit intérieurement une véritable
détresse à laquelle il pense pouvoir échapper en ayant recours à la violence !

Or la seule et véritable révolte possible contre la condition actuelle de l’homme semble
ne pouvoir passer que par une révolte silencieuse et intérieure, capable de l’affranchir des contraintes normatives en devenant le témoin et le garant de l’existence d’une noblesse d’âme, et pourquoi pas d’une « chevalerie spirituelle » !
Khaled Bentounes

Merci Passager, très belle découverte.

Je peux donner le lien du pdf sur le site que je co-anime si ça t’intéresse.

Pour qu'il y ait thérapie de l'âme il serait bon que l'être humain découvre "Qui" il est réellement et sans cela il continuera à revenir sans arrêt en incarnation pour le découvrir.... Tant que l'extension qui est le tuteur de l'être au retour de celui-ci en incarnation, accepte et s'adapte sans broncher au système déjà en place depuis des millénaires, aucun réveil de n'est possible. L'extension doit se désolidariser de tout ce qu'il a appris et qui l'a conditionné pour accepter les barreaux de sa prison qui sont surtout psychologiques. La thérapie de l'âme passe par un grand reset ou comme en informatique, un formatage du disque dur avant que l'être divin intérieur y installe son programme et c'est uniquement lorsque l'extension qui a usurpé la place de l'être, reprend sa place de serviteur...

C’est l’homme qui, fondamentalement, s’est construit ce monde normatif, pour assurer sa propre sécurité.

Alors comment peut-il se révolter contre sa propre « thérapie » ?

Contre ses propres paradoxes ?

Le but ce n'est pas de vivre des expériences intérieures fortes et extraordinaires comme dans l'éveil. Il faut juste ne plus se réincarner et quitter l'astral.

Yori a écrit:Le but ce n'est pas de vivre des expériences intérieures fortes et extraordinaires comme dans l'éveil. Il faut juste ne plus se réincarner et quitter l'astral.

Pour ne pas se réincarner il est nécessaire de découvrir et libérer la divinité en soi qui est tangible et l'incarnation est faite pour cela. .

L'amour, l'unité, l'omniscience, l'omniprésence, l'immanence, l'intemporalité, et la toute puissance peuvent se vivre dans l'astral. Il n'y a pas besoin de la réincarnation. On peut même créer des mondes et être semblable à dieu. Qu'importe la beauté, ce n'est pas la réalité.

Si on veut quitter le monde de l'astral, sortir des illusions il faudra renoncer à tout ca. Mais il n'y a pas grand monde qui le peut.

Yori a écrit:
L'amour, l'unité, l'omniscience, l'omniprésence, l'immanence, l'intemporalité, et la toute puissance peuvent se vivre dans l'astral. Il n'y a pas besoin de la réincarnation. On peut même créer des mondes et être semblable à dieu. Qu'importe la beauté, ce n'est pas la réalité.

Si on veut quitter le monde de l'astral,  sortir des illusions il faudra renoncer à tout ca. Mais il n'y a pas grand monde qui le peut.

Effectivement il faut renoncer à cela pour aller plus loin...mais on peut car la petite voix intérieure fini par le dire.