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Preuves irrefutables de l'Atlantide

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Preuves irrefutables de l'Atlantide - Page 10 Empty Preuves irrefutables de l'Atlantide

Message par Nathan 38 Dim 10 Déc 2023 - 19:37

Rappel du premier message :

2 liens ne marche pas.

Preuves irrefutables de l'Atlantide
http://www.onnouscachetout-la-suite.com/t3096-Preuves-irrefutables-de-l-Atlantide.htm

Je ne pretend pas suivre l'auteur dans toutes ses conclusions dans son site, mais sur la question scientifique, oui...


"Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe. C’était l’hypothèse la plus logique et la moins imaginative. Les recherches furent donc en conséquence effectuées dans l’Océan Atlantique. L’Angleterre envoya le Challenger, l’Hydra et le Proserpine opérer des sondages. Les États-Unis) suivirent cet exemple et le Dauphin, le Gettysburg en compagnie de la canonnière allemande La Gazette explorèrent les bas fonds de l’Atlantique à l’endroit indiqué par Platon. Il résulta de ces différents sondages l’affirmation qu’il y avait au fond de l’Océan une vaste île engloutie avec des vallées, des montagnes, des plateaux. Cette île mesurait 3.000 de long sur 100 milles de large. Une immense chaîne de montagnes la traversait et s’y épanouissait, allant dans la direction Sud-Ouest depuis le 50e Nord jusqu’aux côtes de l’Amérique méridionale. Un rameau de cette chaîne prenait une direction S. E. vers l’Afrique et bifurquait vers le sud jusqu’à Tristan d’Acunha ; cette chaîne était haute de 9.000 pieds et il a été prouvé à ce moment que les îles Açores : Saint Paul, Ascension, Tristan d’Acunha n’étaient que les pics de cette immense montagne engloutie. Donc il y a bien au fond de l’Océan un continent effondré dont les sommets des montagnes émergent seuls à l’heure actuelle et constituent des îles. Puis les sondages révélèrent encore que cette île immense était couverte de débris volcaniques provenant d’éruptions gigantesques. Or Platon, comme les livres mayas, raconte que l’engloutissement de l’Atlantide a été précédé d’éruptions volcaniques. Ces faits matériels constituent une preuve tangible de la vérité de la tradition."

Marc89 ecrit:

Si c'etait un mensonge, les scientifiques auraient beau jeu de prouver le contraire, medias a l'appuie, et ce seraient leurs interet et avec tous les milliards perdus dans les recherches, ce serait une goutte d'eau, alors pourquoi ne font-ils rien ? ce serait pourtant interessant pour la planete entiere...d'ou les medias avec, et pour eux aussi a defaut de ne rien trouver...mais bizarement aucun ne se presente alors que l'on trouverait peut etre des vestiges d'une civilisation engloutit ce qui serait probablement pour eux le plus grand tresor du monde jamais decouvert encore...

Donc, cette distance vis a vis de cette histoire n'est qu'une forme de protection envers eux meme qui leurs evitent de reveler la verité.


Des plantes ont émigré d’Amérique en Europe. Enfin se pose la fameuse question du bananier, originaire d'asie. Le bananier n’est qu’un plantain évolué par la culture. Il ne se reproduit que par des boutures et se transporte très difficilement. Il faut tous les soins qu’apporte dans ses expériences notre science moderne pour effectuer un transport de plants de bananier. Or le bananier se trouve en Afrique et en Amérique ! Il a fallu nécessairement que ce produit d’une civilisation fût apporté d’un pays dans un autre et, comme il ne peut se transporter, il a fallu qu’un continent intermédiaire lui permît d’émigrer peu à peu par des boutures successives. Ou il a émigré naturellement par boutures, ou il a été transporté par des hommes jouissant d’une civilisation avancée, et cela à une époque très reculée, car le bananier est connu depuis très longtemps. Ces hommes ne peuvent être ni les peuples de l’antiquité que nous connaissons, ni les Peaux-Rouges, car ni les uns ni les autres n’avaient les moyens d’effectuer un transport aussi délicat.


La malacologie montre aussi qu’il existe dans le pays des Basques une flore locale qui ne ressemble en rien à celle d’Europe et semble avoir été importée d’Amérique. L’Helix quimperiana et l’Helix constricta sont des produits de la flore Américaine et, chose curieuse, l’Helix quimperiana ne se rencontre en France qu’au pays des Basques et aux environs de Quimper, deux terres que la tradition considère comme ayant appartenu à l’Atlantide.

L’entomologie présente des résultats identiques. Bref au point de vue scientifique naturaliste, l’existence de l’Atlantide peut seule expliquer comment la faune et la flore fossile d’Amérique a pu se transporter en Europe et y arriver dans un degré d’évolution qu’elles n’ont point connu en Amérique. L’Atlantide a été la terre intermédiaire, où des formes primitives américaines ont évolué avant de s’adapter en Europe. Elle est donc, à tous les points de vue, un continent de transition. L’ethnologie est non moins significative que l’anthropologie. Elle montre en effet que des similitudes nombreuses existent entre certaines races des deux continents, et cela aux points de vue anatomique, sociologique, ethnographique, mœurs et usages


En Europe, une grande parenté existe entre les Basques, les Corses, les Guanches. Ce sont des dolichocéphales, ayant une forme crânienne des plus caractéristiques. Or il est curieux de constater que l’on rencontre cette dolichocéphalie chez certains naturels américains. Même crâne, même teint rougeâtre, mêmes caractères physiques. Cette race dolichocéphale, que l’on rencontre aussi en Afrique sur les côtes atlantiques, ne se rattache aucunement à la race indo-européenne. Elle forme sur notre continent un îlot à part, nettement défini au point de vue physique comme au point de vue mœurs et langages. Or cet îlot étranger à notre Europe et à ses races se rattache singulièrement aux races américaines. Elles découlent des mêmes progéniteurs physiques et sociaux. D’ailleurs, les Basques sont les premiers à reconnaître qu’au début, d’après leur tradition, ils vivaient isolés dans un pays restreint, borné de tous côtés par la mer. Ce n’est que plus tard, disent-ils, que des émigrations noires venant du Midi, puis des émigrations blanches venant du Nord envahirent le pays qui sortait des eaux et le peuplèrent. Ils se reconnaissaient en somme complètement en dehors de toute famille européenne, un peuple à part et d’une antiquité supérieure aux noirs et aux blancs. Leurs deux idiomes l’Eskualduna et l’Euskarien leur donnent raison. En effet, la linguistique est forcée de reconnaître que ces idiomes ne peuvent aucunement découler des langues indo-européennes. Ils ne se rattachent pas davantage aux langues africaines et asiatiques. Ils semblent cependant vaguement apparentés à la langue des Guanches, à l’Étrusque, à l’Égyptien primitif, et au Thibétain primitif. Mais cette parenté est extrêmement lâche, tandis qu’au contraire certains idiomes américains ressemblent à tel point à la langue basque que des naturels Peaux-Rouges du Canada pourraient comprendre sans difficulté un Basque. Cela ne peut être dû au hasard. Nous venons de dire que le Basque ne semblait dans l’ancien continent n’être que vaguement apparenté à l’Égyptien primitif, au Thibétain primitif, à l’Étrusque. Cela est vrai, car il est permis de supposer que les Basques, se rattachant à cette race rouge dont les Étrusques, les Égyptiens, et les Thibétains primitifs se disaient issus, avaient dû forcément avoir les mêmes progéniteurs linguistiques. Seulement, tandis qu’au pays basque la langue restait fixe et immuable comme elle l’est restée en Amérique dans certaines tribus, elle évoluait au Thibet et surtout en Égypte, se défigurant peu à peu au contact des idiomes noirs et boréens. Seul l’Étrusque qui, à l’heure actuelle, reste encore mystérieux, semble être une forme plus évoluée que le Basque, mais moins évoluée que l’Égyptien. L’avenir démontrera peut-être que cette langue est l’intermédiaire entre le Basque et l’Égyptien.


Mais ce qui est caractéristique au point de vue de l’Atlantide, c’est cette conformité de langage de deux peuples ayant les mêmes caractères physiques et étant séparés par un Océan immense. De plus, ces deux peuples n’ont jamais été navigateurs. Il y a donc eu, à un moment donné, un pont naturel. Ce pont était l’Atlantide.


En Europe, certains types bretons à peau rouge, à nez en forme d’aigle, ressemblent aussi d’une façon étonnante, au point de vue physique, à certains types américains. Ces Bretons constituent de petits îlots, très concentrés, et jamais ne se sont mêlés aux peuples environnants, envers lesquels d’ailleurs ils affectent du mépris. Et il est curieux de constater la parenté physique de ces Bretons avec certaines peuplades italiennes descendant des Étrusques, avec certains types égyptiens et indous. Ces Bretons se rattachent donc à la race rouge et sont totalement étrangers aux Sudéens et aux Boréens.

Mais où la parenté existant entre les rouges d’Amérique et les rouges d’Europe éclate merveilleusement, c’est dans la comparaison des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent (Phéniciens, Rumero, Accadiens, Étrusques) avec les Péruviens, les Mayas du Yucatan et les Mexicains, peuples représentant en Amérique la race rouge dans toute sa pureté. Même forme crânienne, mêmes usages, mêmes architectures, mêmes conceptions métaphysiques. On a la sensation très nette d’un progéniteur commun et ce progéniteur, que reconnaissent les traditions de ces peuples est, disent-elles, le pays d’Atlan, d’Atzlan, d’Atlantide, l’île mystérieuse enfouie au fond de la mer.

Au point de vue linguistique, il est curieux de constater la ressemblance existant entre l’alphabet phénicien et l’alphabet maya du Yucatan, entre le grec et le maya, le chiapanec et l’hébreu. Cette ressemblance entre le grec et le maya est, paraît-il, si grande qu’un des explorateurs des contrées américaines connaissant l’ancien grec, comprit la plupart des Mayas sans difficulté. « Le grec d’Homère en Amérique ! s’écria-t-il, mais c’est une invention du diable ! »

Qu’est-ce que le maya ? L’idiome d’un peuple rouge qui prétend descendre des Atlantes.

Qu’est-ce que le grec ? Un dérivé de l’hébreu, venant de l’Égypte. Or cette Égypte prétend être fille de la race rouge et descendre des Atlantes. Sa langue est l’hébreu primitif : non point le dialecte syro-araméen que nous connaissons, mais l’idiome de Moïse, la langue de Sepher, la langue sacrée des peuples rouges échappés au déluge ! Donc le grec et le maya ont une origine commune, tous deux sont les dérivés d’une langue mère qui est la langue atlante, et l’Atlantide seule permet d’expliquer leur parenté. Un exemple :
Dieu au Mexique s’exprime par 2 mots : Théo et Zéo
Dieu en grec........................... Théo et Zéus
Dieu en Hébreu......................... Ja et Yah



Cette similitude frappante ne peut être due au hasard. Seule l’Atlantide donne la clé du mystère. Les rapports qui existent entre le chiapanec et l’Hébreu s’expliqueraient de la même manière. En un mot, l’hébreu primitif, qui était l’idiome sacré des Égyptiens, est une langue atlante, qui a été la mère, dans l’ancien continent, du grec (mélange d’hébreu et de celte) et du zeud (mélange d’hébreu et de pâli) ; et dans le nouveau, du maya et du chiapanec. On a été frappé aussi de la parenté existant entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Tous les deux sont à base phonétique et de nombreux signes concordent. Nous dirons pour expliquer cette parenté ce que nous avons dit pour faire comprendre celle qui unit le grec au maya. Le phénicien est un produit de l’Égypte. Son alphabet est né dans les temples Égyptiens, car l’Égypte a été la matrice où ont été enfantées les civilisations grecques phéniciennes, chaldéennes, indoues.

L’Égypte possédait quatre sortes d’écritures :

1° L’écriture épistolographique ; 2° l’écriture hiéroglyphique ; 3° l’écriture hiératique ; 4° l’écriture symbolique.

Le phénicien est un dérivé de l’écriture épistolographique égyptienne, qui était alphabétique, et les Égyptiens tenaient eux-mêmes cette écriture des Atlantes. Quant aux Mayas, ils tenaient leur alphabet, disaient-ils, des Colhnas, race qui s’était éteinte 1.000 ans avant J. C. Et ces Colhnas prétendaient venir du pays d’Atlan. Donc, là encore, l’Atlantide peut seule expliquer la parenté entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Les signes mayas sont hiéroglyphes en ce sens qu’ils représentent un objet et se manifestent par une décoration embrouillée et excessive. Les signes phéniciens ne sont en somme que ces hiéroglyphes, simplifiés par l’usage et l’évolution. Leur intermédiaire est l’écriture égyptienne, plus simple que le maya mais plus ornée que le phénicien. Voici d’ailleurs quelques exemples montrant l’identité des alphabets et la nécessité d’admettre un progéniteur commun :
Manzi Atlantide 1.jpg

Voir lien:
https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Livre_de_l%E2%80%99Atlantide/Les_preuves_scientifiques

Donc on peut établir scientifiquement qu’une réelle parenté existe entre les langues et les alphabets des peuples rouges de l’ancien et du nouveau continent. Ces peuples ont donc eu forcément des relations sur une terre commune. D’où la nécessité de l’Atlantide.



Les mœurs et les coutumes des Péruviens et des Mexicains offrent une curieuse ressemblance avec celles des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent. Au point de vue religieux, au Pérou comme en Égypte, étaient pratiqués les usages et rites suivants : le baptême, la confession, l’absolution, le carême, le mariage religieux, la communion sous les deux espèces et avec des hosties qui étaient des pains marqués du sceau sacré, l’embaumement des morts, la bénédiction avec la croix, l’adoration de la croix considérée comme symbole de la vie éternelle, la pénitence, la crémation. Des deux côtés de l’océan, même croyance en un seul Dieu, en l’immortalité de l’âme, en une vierge sacrée. Même culte sidéral, même adoration d’un disque d’or représentant le Soleil, mêmes fêtes religieuses, mêmes cérémonies. Pan était aussi adoré en Amérique qu’en Grèce, et sous le même nom. On connaissait au Pérou des ordres religieux, des ordres monastiques où la mort punissait celui qui trompait ses vœux. Il y avait aussi des vestales, gardiennes du feu sacré, vierges pures qui, si elles se laissaient séduire, étaient, comme à Rome, enterrées vivantes ! Les Chippewayames connaissaient l’histoire de Tantale, la légende d’Atlas, les Méduses aux cheveux de serpents, l’histoire de Deucalion ; et chez les Mexicains, Jupiter et son tonnerre étaient adorés ! Bref, on peut dire que la religion péruvienne est identique à la religion égyptienne, comme métaphysique et comme rites.

Est-ce pur hasard ?

Le calendrier maya est semblable au calendrier chaldéen et la chronologie maya est la même. Les noms des vingt jours du mois aztèque sont identiquement ceux du Zodiaque chaldéen.

Est-ce pur hasard ?

La magie était connue des Péruviens : ils la pratiquaient et admettaient, comme les Grecs, la lycanthropie. Ils se disaient, à l’égal des Égyptiens, fils du soleil et racontaient sur le déluge des histoires identiques à celles des Chaldéens. Ils avaient un Noé, qui construisit une arche. Ils brûlaient aussi leurs morts, ou bien les enterraient dans des tumuli comme les Étrusques, avec leurs armes, leurs bijoux, des vases précieux, ou encore les embaumaient. Or, le procédé d’embaumement que les Péruviens employaient était identique à celui des Égyptiens. Mêmes incisions, mêmes précautions, et les momies péruviennes comme les momies égyptiennes ont toutes dans la bouche une lame d’argent.

Est-ce pur hasard ?




Les naturels de la vallée du Mississipi pratiquaient cette curieuse coutume de la couvade, que l’on retrouve en Europe chez les Basques. Aussitôt accouchée, la femme se lève, et cède son lit au mari qui reçoit, couché, le poupon dans ses bras, les félicitations des amis ! Cet usage singulier n’est pratiqué en Europe que par les Basques. Or comment expliquer que cette coutume se retrouve ainsi localisée en Amérique ?

Est-ce pur hasard ?

Il y a une ressemblance étrange entre les noms de lieux et de personnages à Haïti et aux Canaries, au Pérou et en Égypte, au Mexique et en Grèce. Ainsi le mot Maya est un mot qui se retrouve à chaque pas en Grèce, en Égypte, dans l’Inde. Il a donné Marie, Miriame, Marianne, etc.. La coiffure égyptienne appelée Calantica se retrouve sur des statues du Mexique. Elle est cependant spéciale et caractéristique. Quant aux monuments égyptiens, ils ressemblent singulièrement aux monuments péruviens. Mêmes conceptions architecturales, même esthétique, mêmes procédés de construction et, ce qui est plus bizarre, même orientation des monuments religieux et même disposition des chambres intérieures et des galeries. Les pyramides d’Égypte sont identiques à celles du Pérou. Chez les deux peuples, elles sont un gnomon et expriment le symbole du quatre dans l’un. Les Mound builders de la vallée de l’Ohio sont des pyramides ayant des proportions analogues à celles d’Égypte. Celle de Cahokia a 97 pieds de hauteur. Il y a aussi une grande similitude entre les ruines de Teotihuacan et celles de Karnak. Les deux peuples ont construit des tumuli, des cairns, des cryptes, des aqueducs, des arches et ont employé le ciment, la brique. Les portiques de Kabah ressemblent à une construction romaine primitive., Quant aux sculptures, aux décorations murales, aux ornementations, elles sont de même étroitement parentes et certaines céramiques de Mexico seraient prises pour des céramiques égyptiennes.

Est-ce pur hasard ?

Puis, comment expliquer l’apparition du bronze en Europe sans qu’il y ait eu auparavant un âge du cuivre et un âge de l’étain ? Or un âge du cuivre a existé en Amérique vers les Grands Lacs, et c’est le seul lieu de la terre où il a existé ! Là seulement, on retrouve des instruments en cuivre pur. Partout ailleurs on ne retrouve que du bronze. Or le bronze n’a pu être trouvé avant un long usage du cuivre et de l’étain. Le bronze a donc été apporté en Europe, en Asie, en Afrique par un peuple commerçant et hardi. Comment expliquer aussi la découverte en Amérique de pointes de flèches, de haches, et de statuettes en néphrite et en jadéites, alors que nul gisement de ces pierres n’existe en ce pays ? Et d’où viennent ces marteaux de pierre portant le signe sacré et mystérieux du Swastika indou et égyptien.




Enfin, pourquoi ce parti pris des naturels américains de se servir, comme motif d’ornementation, de l’éléphant, qui a disparu de l’Amérique à la fin du Tertiaire et qui d’ailleurs n’y a existé que comme mammouth, lequel diffère sensiblement de l’éléphant ? Car les décorations péruviennes emploient l’éléphant qu’ils ne pouvaient pas connaître et non le mammouth. On trouve en effet au Pérou dés pipes en forme de tête d’éléphant, des vases, des sculptures représentant cet animal et une ornementation basée sur des trompes d’éléphants entrelacées. Notez aussi qu’en Irlande il a été retrouvé des pipes à tête d’éléphant et d’autres ornées qui ressemblent singulièrement aux pipes péruviennes ! Puis pourquoi des pipes en Irlande remontant à une époque très reculée, alors que l’introduction du tabac en Europe est récente ?



Le hasard n’a pu faire si bien les choses et il serait ridicule de vouloir s’appuyer uniquement sur lui dans le but de nier les traditions. Les traditions expliquent ces similitudes par l’existence de l’Atlantide ? Pourquoi ne point les admettre ? En effet, seule l’Atlantide permet d’établir le pourquoi de cette parenté. Elle devient le progéniteur nécessaire et tous ces faits affirment son existence.

Ainsi la science vient à l’appui de la tradition pour affirmer qu’il a dû y avoir un continent intermédiaire entre l’Amérique et l’Europe, un pont naturel qui a servi de passage à la flore, à la faune, et aux races humaines de ces deux continents.





Marc89 ecrit:

Tous ceci montre bien qu'il y a bien eu une Atlantide comme l'avait precisé Platon, mais seul les scientifiques refusent l'evidence et pour mieux enterrer cette histoire ne font pas ressortir toutes ses verités exposés là,  plus certaines preuves tres résumées dont une d'impact d'asteroide d'Otto muck, photo a l'appuie presenté dans le lien a la premiere page, et qu'un Doc Tv avait timidement souligné en le confirmant, et preferent l'eloigner de la verité en la pretendant a Santorin, contre l'écrit de Platon qui precise bien "que quoique bien etrange, est bien la verité" et que la date donné par lui, 9000 Ans Av JC, correspond bien a celle des impacts massif de Caroline et des legendes des survivants de cette catastrophe planetaire de part le monde, meme les Guanches, qui toutes concordent, de meme le changement de climat et la disparition totale de nombreuses especes animale de par le monde et de la  disparition subite de la civilisation magdalenienne.

Voir Lien pour la photo qui est a grossir.
http://racines.traditions.free.fr/delugesa/

Et ces traces d'impact s'etendent autour de Charleston en Caroline sur un rayon d'environ 600 Km, mais seulement visible du ciel.


Tout colle, mais les scientifiques seront bientot acculés un jour devant les faits et devront etre forcés de reconnaitre la verité.

Interets, quand tu nous tiens, ce sont les grandes puissance d'argent sans scrupule qui y perdront, aussi, tant que durera leurs mensonges........





Vous avez aussi les ecrits d'Anton Park grace aux indiens Hopis sur l'Atlantide ET la Lemurie...

Histoire maintenu tres precise qui c'est transmise oralement de generation en generation, sur des milliers d'années...

http://www.antonparks.com/main.php?page=atlantis_mu




D’anciennes sculptures en pierre représentent une énorme frappe de comète il y a 13 000 ans qui a failli faire disparaître les humains

ASR 18 août 2018

Histoire, Monde, Science
https://www.anguillesousroche.com/monde/danciennes-sculptures-en-pierre-representent-une-enorme-frappe-de-comete-il-y-a-13-000-ans-qui-a-failli-faire-disparaitre-les-humains/

Les anciens nous ont laissé un journal intime gravé sur des piliers de pierre parlant d’un astéroïde cataclysmique il y a 13 000 ans qui a causé une ère glaciaire, tué le mammouth laineux et nous a forcé à moderniser les méthodes agricoles. Se lisant presque comme une bande dessinée, les sculptures en pierre trouvées à Göbekli Tepe ont été traduites par des scientifiques pour révéler une série d’événements qui ont changé la civilisation à jamais.

Les ingénieurs de l’Université d’Edimbourg étudiaient les sculptures d’animaux dans le Göbekli Tepe au sud de la Turquie pour voir comment elles se rapportaient à nos constellations. En examinant un pilier particulier, connu sous le nom de “Vulture Stone” (également appelé pilier 43), ils ont trouvé des descriptions de ce qui a maintenant été confirmé comme un impact de comète qui s’est produit vers 10 950 avant J.-C. C’est à peu près au même moment où une “mini” ère glaciaire a commencé. Cette mini-période glaciaire, appelée Dryas récent, n’a duré que mille ans, mais elle revêt une importance particulière pour les scientifiques en raison de son impact direct sur l’humanité. Les preuves suggèrent que c’est pendant le Dryas récent que la première civilisation néolithique est apparue, en même temps que de meilleures méthodes agricoles. Un article sur Phys.org décrit l’importance de cette période : “La période de refroidissement a amené des groupes de personnes à se regrouper pour cultiver des cultures, ce qui a conduit au développement de l’agriculture, ce qui, à son tour, a donné lieu à d’énormes bonds en matière d’innovations technologiques et de développements sociétaux, c’est-à-dire la civilisation néolithique.” Cette période a également été liée à l’extinction du mammouth laineux.


Bien que de nombreuses recherches aient été effectuées sur le Dryas récent, les scientifiques n’ont jamais été en mesure de déterminer vraiment ce qui a déclenché la période. Des suggestions de frappe d’une comète ont été soulevées, mais il n’y a jamais eu beaucoup de preuves pour valider sa véracité. En fait, la théorie semble avoir été démystifiée il y a plusieurs années lorsque les chercheurs ont suggéré que le Dryas récent était déclenché par des changements plus mondains (et graduels) plutôt que par un impact dévastateur d’astéroïdes.
frappe de comète

Les anciennes sculptures en pierre de la Turquie d’aujourd’hui semblent dépeindre une frappe de comète qui a causé une période de changement climatique. Photo : Martin B. Sweatman et Dimitrios Tsikritsis Tsikritsis

Aujourd’hui, cependant, la théorie des comètes gagne du terrain. Le Telegraph.co.uk cite le chercheur principal Martin Sweatman : “Cette recherche, ainsi que la découverte récente d’une anomalie généralisée du platine sur le continent nord-américain, scellent virtuellement l’affaire en faveur d’un impact de comète du Dryas récent. Notre travail sert à renforcer cette preuve physique… l’un des piliers de Göbekli Tepe semble avoir servi de mémorial à cet événement dévastateur – probablement le pire jour de l’histoire depuis la fin de l’ère glaciaire.”

Göbekli Tepe est considéré comme le plus ancien temple du monde, datant d’environ 9 000 ans avant Jésus-Christ et devançant Stonehenge d’environ 6 000 ans. Les chercheurs affirment que les images gravées sur la Pierre du vautour représentent un grand désastre humain et des pertes de vie considérables, comme en témoignent les égratignures d’un homme sans tête.

D’autres symboles sur les piliers environnants suggèrent que Göbekli Tepe a été utilisé comme observatoire pour surveiller le ciel nocturne. Plusieurs images semblent enregistrer l’axe de rotation de la Terre pendant diverses périodes. Ces résultats suggèrent également que la Terre est plus susceptible de connaître des périodes de collision d’astéroïdes en raison de l’orbite de la planète qui croise les champs gravitationnels des fragments de comètes dans l’espace.

   “Beaucoup de peintures rupestres paléolithiques et d’artefacts avec des symboles animaux similaires et d’autres symboles répétés suggèrent que l’astronomie pourrait être très ancienne en effet”, a affirmé le Dr Sweatman. “Si l’on considère que, selon les astronomes, cette comète géante est probablement arrivée dans le système solaire intérieur il y a environ 20 à 30 000 ans, et qu’elle aurait été une caractéristique très visible et dominante du ciel nocturne, il est difficile de voir comment les anciens auraient pu ignorer cela étant donné les conséquences probables.”


A propose de...

Göbekli Tepe fut enregistré en tant que site archéologique en 1963 dans le cadre de recherches turco-américaines. Une équipe d’archéologues américains, dont Peter Benedict, remarqua plusieurs collines étranges recouvertes de milliers de silex cassés, ce qui est un signe certain d’activité humaine. Mais les scientifiques n’eurent alors pas le temps ou les finances pour procéder à des fouilles.

Trois décennies plus tard, un berger de la région aperçut un groupe de pierres aux formes étranges sortant du sol poussiéreux. La « redécouverte » du site parvint aux oreilles des conservateurs du musée de la ville de Şanlıurfa, à cinquante kilomètres. Les responsables du musée contactèrent le ministère approprié, qui, en retour, se mit en relation avec l’Institut archéologique allemand à Istanbul.

Le site a été proposé en 2011 pour une inscription au patrimoine mondial et figure sur la « liste indicative » de l’UNESCO dans la catégorie patrimoine culturel7 jusqu'en juillet 2018, date à laquelle il est inscrit au registre du patrimoine mondial de l'UNESCO.

https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%B6bekli_Tepe

Et:

Depuis le début des fouilles en 1995, ce site du sud-est de la Turquie a transformé la façon dont les archéologues envisagent les débuts de la civilisation. Ses structures circulaires, ornées de pierres minutieusement sculptées, ainsi que ses piliers caractéristiques en forme de T ont plus de 12 000 ans, plus anciens encore que l'invention de l'agriculture ou de la poterie.

https://www.nationalgeographic.fr/histoire/le-plus-ancien-temple-du-monde-va-etre-restaure


Marc89 ecrit:
Remarque, ce site decouvert en 1963 est encore trop peu connu du public, alors qu'il devrait avoir une notoriété mondiale ou presque au meme titre que les pyramides et connu du public depuis longtemps, qu'on fait les scientifiques, tout l'inversent...et c'est grace a internet que cela ressort petit a petit maintenant, ce n'est pas pour autant que les medias s'en empare et relaye l'information pour en éclairer le monde, un cas de plus que l'on peut ranger dans la categorie de... desinformation par la retention d'information...

Entre l'Atlantide qu'ils veulent ignorer, malgré les preuves evidentes et decisive, ce cas et bien d'autres,

http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/japon-plusieurs-pyramides-au-large-de-l-archipel.html

et Yonaguni:  
https://www.anguillesousroche.com/archeologie/monument-marin-de-yonaguni-a-t-coule-pendant-derniere-periode-glaciaire/

cela montre bien qu'a l'echelle mondiale, qu'une retention d'information ou manipulation des preuves est bien a l'oeuvre et continu de l'etre.

Nathan 38
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Preuves irrefutables de l'Atlantide - Page 10 Empty Re: Preuves irrefutables de l'Atlantide

Message par Nathan 38 Sam 10 Fév 2024 - 16:28

Voici ce qui est retrouvé d'ecrit sur une des tablettes sumerienne...

https://www.pinterest.fr/pin/571957221400524344/

the flood swept over the land. After the flood had swept over the land and kingship had descended from heaven for a second time, kish cush became the seat of kingship...

Traduction :

le déluge a balayé le pays. Après que le déluge ait balayé le pays et que la royauté soit descendue du ciel pour la seconde fois, Kish Cush est devenu le siège de la royauté...



https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=preuves+geologique+d%27un+deluge+en+mesopotamie

En fouillant en 1929 les ruines de l'ancienne cité d'Ur en Mésopotamie, l'archéologue britannique Sir Leonard Woolley fit une découverte sensationnelle. Creusant une tranchée profonde pour reconnaître les plus anciens niveaux d'occupation, il trouva au fond du puits de sondage une couche d'argile stérile.


http://bible.archeologie.free.fr/archedenoetablettes.html

Les chapitres 6 à 8 de la Genèse rapportent le fameux récit du Déluge, d’après lequel Dieu irrité par la perversité des hommes décide d'éradiquer l'humanité en provoquant une inondation totale. Un seul homme au comportement irréprochable, Noé, est toutefois prévenu divinement et sauvé par la construction d'un grand navire dans lequel il fait embarquer sa famille et de nombreux couples d'animaux. Des pluies torrentielles s'abattent alors sur le sol et submergent tout, les eaux recouvrant les continents pendant quarante jours avant de commencer à s'assécher. Noé réfugié dans son Arche cherche la terre ferme en libérant trois fois une colombe jusqu'à ce qu'elle trouve un lieu où se poser. Enfin le navire s'échoue dans les montagnes de l'Ararat et ses occcupants en sortent indemnes.

       L'histoire mythique du Déluge ne fut connue pendant longtemps qu'à travers le récit qu'en fait la Bible. Cependant les travaux menés depuis deux siècles par les archéologues au Proche-Orient ont bousculé cette unicité.

       Une découverte stupéfiante fut en effet réalisée à la suite d'une des grandes campagnes de fouilles qui furent effectuées en Irak au XIXe siècle. Elle se trouvait sur l’une des innombrables tablettes cunéiformes exhumées dans les ruines ensablées des villes disparues.





Tablette cunéiforme trouvée à Nippur
(biblepicturegallery.com).


Tablette cunéiforme trouvée à Babylone,
relatant un déluge en sumérien
(earth-history.com).


Le déluge assyrien



       En 1872, le jeune assyriologue George Smith participait au British Museum au déchiffrement des trente mille tablettes d'argile qui provenaient de la bibliothèque du palais du roi Assurbanipal à Ninive, capitale de l’ancienne Assyrie. Il fut un jour surpris de traduire un texte qui ressemblait étrangement au récit biblique du Déluge. Ce texte faisait partie d’un autre récit plus vaste, « l'épopée de Gilgamesh », une sorte de conte dans lequel le personnage central était un roi d'Uruk nommé Gilgamesh.

       Alors que ce roi légendaire cherchait la recette de l'immortalité, il rencontra un personnage nommé Utanapishtim qui lui fit un compte-rendu de l'histoire du Déluge. Utanapishtim déclara avoir survécu à une inondation gigantesque provoquée par l'assemblée des dieux dans le dessein de faire disparaître toute l'humanité. Il fut sauvé grâce à la bienveillance d'un seul dieu, Ea, qui lui fit construire un navire et s'y embarquer. Voici les extraits les plus significatifs de ce récit [1][2] :

       « (Le dieu dit:) Homme de cette ville, démolis ta maison et construis un bateau (...). Renonce à tes biens et sauve ta vie. Embarque avec toi un spécimen de chaque être vivant. Le bateau que tu vas construire, sa largeur et sa longueur doivent être semblables. Couvre-le d'un toit (...). Lorsque le bateau fut construit on procéda à son chargement en attendant le Déluge. (Utanapishtim parle:) Le soir du septième jour, le bateau était achevé (...). Je chargeai à son bord tout ce que j'avais de specimens d'espèces vivantes. Toute ma famille et ma parenté je fis monter sur le bateau (...). A la première lueur de l'aube, monta de l'horizon une sombre nuée (...). Le silence de mort de l'orage traversa le ciel et ce qui était lumineux se changea en ténèbres. Comme une bataille, le cataclysme passa sur les hommes (...). Même les dieux furent épouvantés par le Déluge, six jours et sept nuits (...). Le septième jour l'ouragan ralentit. Le déluge cessa. Tous les peuples étaient redevenus d'argile. Par la lucarne, la lumière du soleil tomba sur mon visage. Je me jetai à genoux et en pleurant, je cherchai les côtes, les rivages de la mer. Le bateau accosta sur le mont Nisir (...). Le septième jour je fis sortir la colombe : elle s'envola mais revint car aucun perchoir ne lui était offert. Je fis sortir l'hirondelle, elle revint. Je fis sortir un corbeau, il partit et voyant les eaux se retirer, il picora, voltigea et ne revint pas vers moi. Alors je fis une offrande et un sacrifice aux quatre vents ».




La 11ème tablette cunéiforme trouvée à Ninive
(suffragio.it).


Bas-relief représentant le roi Gilgamesh
(encarta.msn.com).



     A la lecture de ce texte, Smith ne put contenir son émotion. La ressemblance avec le récit biblique était si flagrante qu’elle ne pouvait pas être due au hasard. Lorsque la traduction de ce document fut publiée en Angleterre, elle produisit l'effet d’une bombe. On avait trouvé une « confirmation » archéologique d’un extrait de la Genèse ! La tablette d'argile provenait de la bibliothèque du roi d‘Assyrie Assurbanipal (668-626 av. J.-C.) et datait donc au moins du VIIe siècle av. J.-C.

       Mais on allait vite réaliser que cette version mésopotamienne du Déluge n'était pas unique, car d'autres documents contenant un récit similaire allaient se révéler.


Autres récits diluviens de Mésopotamie


     L’année qui suivit la publication de la tablette de Ninive en effet, George Smith fut envoyé sur les lieux de la découverte afin qu’il y retrouve les fragments manquants. Au lieu de cela, il y exhuma une seconde tablette faisant état du Déluge ! Cette version, plus succinte, différait sensiblement de la première, et son héros s’appelait Atrahasis, le « super sage ».

    D'autres versions du mythe diluvien furent également découvertes par la suite. En 1900, des chercheurs de l’université de Pennsylvanie exhumèrent à Nippur, une ville implantée au Sud-est de Babylone, une tablette très déteriorée écrite en akkadien. Trouvée dans des ruines qui occupaient une colline, elle fut traduite par l’Allemand Hermann Hilprecht et s’avéra être encore un autre récit du Déluge semblable à celui de la Bible [4]. On pense aujourd’hui que cette tablette date de la première dynastie de rois de Babylone, c’est-à-dire d’entre 1850 et 1500 av. J.-C. environ. Hilprecht notait déjà qu’elle était bien antérieure aux tablettes assyriennes de l’épopée de Gilgamesh, et en même temps plus proche du texte de la Genèse.

       Un récit du Déluge en langue sumérienne figure encore sur une tablette exhumée en 1893, également à Nippur, lors d’une expédition de l’université de Pennsylvanie. Dans cette variante traduite par le docteur Arno Poebel en 1913, le personnage principal est un certain Ziusudra, roi de Shuruppak [5][6]. Ce texte était en outre précédé d'un récit de création des hommes et de fondation des premières cités.





Tablette relatant une version babylonienne du récit du Déluge
(freestockphotos.com).



       Un document de nature quelque peu différente est la « liste royale sumérienne », une série de dix-huit tablettes d'argile trouvées elles aussi dans les ruines de Nippur. On en découvrit par ailleurs d’autres exemplaires, dont le mieux conservé est le « prisme de Weld-Blundell », un objet polygonal offert au musée d’Oxford [7]. Il s'agit d'une énumération de rois sensés avoir régné sur la région de Sumer et qui s'arrête vers 1800 avant notre ère. Au milieu de la liste, la phrase suivante s’insère de manière inattendue : « Après que le Déluge eut tout nivelé, la royauté s'établit à Kish ».

       Une dynastie de rois semble avoir effectivement régné à Kish vers 2900 av. J.-C., et une partie au moins paraît historique. Le fait que le Déluge soit mentionné dans une liste de rois lui donne davantage de crédibilité que les seules compositions littéraires.





Liste royale sumérienne
(hsumerianshakespeare.com).


      En 1985 enfin, un collectionneur apporta à l’assyriologue Irvin Finkel, du British Museum, une tablette inscrite en sumérien qui relatait le Déluge mais surtout qui décrivait en détail les caractéristiques de l’Arche [8][9]. Une structure circulaire, des parois faites de tiges de bois recouvertes de bitume, un diamètre de soixante-sept mètres, un intérieur compartimenté sur deux niveaux et un toit couvrant le tout : le navire était une sorte d’immense panier flottant semblable aux embarcations légères encore appelées « coracles ». Il était conçu pour accueillir des animaux, et ceux-ci y entrèrent deux par deux, en couples, comme dans la Genèse ! La forme des caractères de la tablette incita Finkel à la dater d’entre 1900 et 1700 av. J.-C.





La tablette traduite par Irvin Finkel
(theblaze.com).



       Tous ces éléments attestent que les anciens Chaldéens possédaient dans leur mémoire le récit d'une inondation ancestrale catastrophique et de grande ampleur. Mais comment interpréter le lien évident avec la narration biblique ?

       La plupart des chercheurs modernes estiment que c’est le mythe mésopotamien du Déluge qui a influencé les auteurs de la Bible. D’autres au contraire s’attachent à défendre la primauté de la tradition judéo-chrétienne monothéiste. Quoi qu’il en soit, l’abondance des documents mésopotamiens montre que ce peuple considérait ce récit comme un mythe fondateur, peut-être même comme un évènement réel. Si tel était le cas, le Déluge de la Genèse s’inscrirait dans un contexte historique. L’arche de Noé sortirait peu à peu de la légende pour entrer dans l’Histoire.


Un déluge régional ou planétaire ?

 
       La grande vallée du Tigre et de l’Euphrate n’est pas la seule région du Monde à avoir gardé mémoire de ce genre de mythe. Plusieurs autres foyers culturels ont conservé des récits ancestraux faisant état d’une inondation totale, éradiquant toute vie humaine à l'exception de quelques personnes réfugiées sur un navire. De tels récits ont ainsi été recueillis dans des territoires aussi éloignés que l'Inde, la Grèce, l'Australie, l'Amérique du Nord ou la Scandinavie ...

       Dans son « Dictionnaire biblique », l'Eglise adventiste a publié une carte recensant les plus anciens récits de déluges à caractère mythique [10]. Le nombre de points reportés est impressionnant, et incite à penser que l’existence de toutes ces traditions peut difficilement être fortuite. Auraient-elles une origine commune ? Une inondation majeure a-t-elle effectivement pu sévir à l’aube de nos civilisations ? Quelle serait son étendue ? N’aurait-elle pas laissé des traces de nature géologique ? C'est apparemment ce qu'ont découvert quelques archéologues en effectuant des sondages dans une plaine irakienne.






Récit d'un Déluge fait par un Amérindien
(shingwauk.auc.ca).


Carte des lieux où ont été recensés
des récits d'un Déluge régional.
(dialogue.adventist.org).

   








Références :

[1] - G. Smith : « The Caldean Account of the Deluge ». In : “The Flood Myth”, Ed. by A. Dundes, University of California Press, Berkeley, Los Angeles, London 1988.
[2] - S. Maul : « L’épopée de Gilgamesh ». In : B. André-Salvini (Hrsg.), Babylone, musée du Louvre, catalogue de l'exposition « Babylone » (14.3.-2.6.2008), Paris, 2008, S. 348-359.
[3] - D. Hämmerly-Dupuy, « Some Observations on the Assyro-Babylonian and Sumerian Flood Stories ». In : « The Flood Myth », Ed. by A. Dundes, University of California Press, Berkeley, Los Angeles, London 1988.
[4] - H.V. Hilprecht : “The Earliest Version of the Babylonian Deluge Story and the Temple Library of Nippur ». In : « The Babylonian Expedition of the University of Pennsylvania. Series D : Researches and Treaties ». Vol. V, fasc. 1. University of Pennsylvania, Philadelphia 1910.
[5] - D. Hämmerly-Dupuy, ibid.
[6] - « Ancient Nippur Tablet Tells New Story of Deluge ». The new York Times, August 10, 1913. http://query.nytimes.com/mem/archive-free/pdf?res=9A0CE2DC113BE633A25753C1A96E9C946296D6CF.
[7] - C.E. Fant, M.G. Reddish : « Lost Treasures of the Bible. Understanding the Bible through archaeological Artifacts in World Museums ». W.B. Eerdmans Publishing Company, Grand Rapids, Cambridge 2008.
[8] - G. Van Grasdorff : « Une autre histoire de l’Arche de Noé ». Le Monde des Religions, 2/10/2014. http://www.lemondedesreligions.fr/savoir/une-autre-histoire-de-l-arche-de-noe-02-10-2014-4238_110.php.
[9] - I. Finkel : « Noah’s Ark : the Facts behind the Flood ». The Telegraph, 19 Jan. 2014. http://www.telegraph.co.uk/culture/books/10574119/Noahs-Ark-the-facts-behind-the-Flood.html.
[10] - W.H. Shea : « Le déluge : une simple catastrophe régionale ? ». http://dialogue.adventist.org/fr/articles/09-1/shea/le-deluge-une-simple-catastrophe-regionale.

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Message par Nathan 38 Sam 10 Fév 2024 - 19:42

Le deluge Mythes.

P : 189 - 190 - 191
...
...Sur l'Egypte aussi il était tombé une pluie de sang.

...

Sur les bord du Nil comme en Hellade, c'est l'orgueil des hommes qui à été puni par les Dieux. Les hieroglyphes nous renseignent : la cause du déluge doit etre imputée à l'orgueil des Atlantes. C'est pour les punir que "l'oeil de Ré" est descendu de son front Divin sur la terre et l'a frappée du desastre...Qu'était cet oeil ? Le texte place le hieroglyphe  "oeil" , bien connu, à coté de celui signifiant "Déesse", et qui n'est autre qu'un naja dressé. Cela veut dire : ce qu'on nomme "l'oeil de Ré" et plus precisement ici son oeil "gauche", ce presente sous une forme typiquement Divine, comme une force agissante, sous les especes de Schmet, la puissante. Laissons ici la parole au papyrus I,384, de Leyde :

"Sechmet pris la maginfique apparence d'une lionne en furie. Elle lançait sa crieniere en avant. Son pelage flamboyait. Son échine avait la couleur du sang. Sa face avait l'éclat du soleil, ses yeux étaient des braises. Ses regards lançaient des flammes et rayonnait comme le soleil à midi ... Tous, alentour, tremblaient devant sa puissance. Sa queue soulevait la poussiere du desert. Et le sable se dressait en tourbillons au moindre de ses grincements de dents. Le desert crachais le feu quand elle aiguisait ses griffes. Au soufle de ses narines, les arbres se déssècherent dans les bois... au meme instant, le desert ce couvrit d'un voile, les montagnes virerent au noir, le soleil s'assombrit en plein midi, et l'on cessa de voir le ciel..."

L'oeil de gauche de "Ré", ce n'était pas le soleil, c'était l'asteroide tombant du ciel, bolide dévastateur, dont le terrifiant éclat fit palir le soleil et s'obscucir le ciel. La catastrophe qu'il a déclenchée a également touché l'Egypte. C'est au point que, poursuit le texte, "Ré" se met a craindre que Sechmet-Hathor n'en vienne a detruire tous les hommes. Alors, il fait brasser de la bierre qu'on deverse sur la region du Nil - formule moderne de la pluie de sang. Et lorsque, le lendemain, de bonne heure, la terrible bete ce met en route pour de nouvelles destruction, elle ce mire dans le flot rouge. Son propre visage l'attire, l'invite à ce pencher, elle boit cette bierre savoureuse, et ce désinteresse désormais du sort des hommes. Cette finale quasi burlesque du recit Egyptien du déluge, provient probablement d'une tentative d'explication de l'étrange pluie de sang.

C'est aussi dans la mer de sang du déluge qu'a peri le monde selon les légendes nordiques.

Suite...

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Message par Nathan 38 Dim 11 Fév 2024 - 11:50

P : 191 - 192

Le déluge. Myhes.


Ces regions n'étaient pas trés éloignées du centre de la catastrophe. Elles en ont subi les plus lourds effets, beaucoup plus que la lointaine Egypte. Il s'ensuit que le mtyhe s'inspire, pour nous retracer le désastre, d'un motif tragique : le meurtre du plus ancien des Dieux, dont le corps était le vieux monde - celui des periodes glaciaires - par les jeunes Dieux d'une époque nouvelles -  ceux là meme nommées "les fils de Bur" dans la strophe deja cité de la Voluspa. C'est eux qui seront les createurs d'un monde nouveau, qui ne sera plus sous la glace, un monde qu'on verra reverdir.
Ils tuent Ymir, le roi de la glace, et dans son sang, c'est le genre humain tout entier qui ce noie, à l'exception d'un seul, le Noé nordique, qui, assis sur un coffre de vivre, ce sauve sur les flots.
Pour édifier un nouveau monde, les jeunes Dieux mettent en piece le corps d'Ymir : les os formeront les montagnes, la chair donnera la terre arable, le crane servira de ciel. A seulement évoquer ce tableau, ou le mythe rejoint l'allegorie, on croit vraiment voir le paysage postglaciaire fleurir sur les glaces fondantes d'Ymir déchiqueté. Mais pourquoi cette couleur rouge sang des eaux qui coulent des glaciers et qui tombent du ciel ? parce que ce n'est pas là une pluie banale : c'est la cendre volcanique de la catastrophe de l'atlantique qui en a fait, ici noire et là rouge, la pluie de boue et la pluie de sang du déluge.

A ces exemples venus des régions de l'est, pourquoi ne pas comparer ceux de l'ouest ?
Les peuples Mayas qui habitaient en majorité la zone des vents d'ouest dominants,ont été épargnés par le deluge, mais leur region a été dévastée par l'éruption volcanique, par le tremblement de terre, par le feu et par le raz de marée consecutif a l'impact de l'asteroide. Nous avons deja emprunté un exemple caracteristique au livre de Chilam Balam.

Plus au sud, les races qui résidaient en dehors de la zone des vents d'ouest, connaissent encore d'autres détails ce rapportant a une grande inondation. Les Tarasques, par exemple, racontent l'histoire du pretre Tespi, qui construisit un grand bateau et ce sauva avec toute sa famille.
Au Guatemala, le meme sujet ce rattache au noms de Nala et Nata.
Le geant Toltèque Schelua, réussit a gravir la montagne du Dieu des eaux et put ainsi échapper aux flots. La haut, il édifia ensuite la celebre pyramide de Cholua, incendié par Cortés.
Bien significatif est aussi le recit du déluge, qui a cours chez les Algonquins, en amérique du nord. Ceux ci vivaient entierement dans la zone des vents d'ouest. Aussi n'ont-ils eut à subir aucune inondation du type diluvien. Ils disent que leur Dieu et heros Minabozho s'est jeté dans la mer, qui c'est mise à déborder et qui a submergé la terre. Il semble bien y avoir là une trace laissé par le souvenir de l'impact de l'asteroide dans l'atlantique, dont l'orbite, dans sa partie visible, traversait le ciel du pays Algonquin.

En revanche, on devrait s'attendre a que les peuples sud-américains vivant dans la zone tropicale, c'est à dire dans une région ou domine les Alizée de l'est; aient vecu le déluge et en aient conservé le souvenir dans leurs légendes. cette attente a été confirmée. C'est ainsi que les Arawaks, en Guyane, dans le nord du Bresil et en Colombie, possedent les legendes de cette sorte. Leur bon Dieu Sigoo a pu sauver tous les animaux et meme les oiseaux en les regroupant sur une haute montagne avant l'arrivée des flots dévastateur. C'est là haut qu'ils purent surmonter l'éffroyable épreuve de l'obscurité et des tempetes, pendant que le plat pays était inondé.
La tribu des Makuschis parle, elle, du premier couple humain posterieur au déluge qui, tel Deucalion et Pyrrha dans la proto- Hellade, prirent des pierres pour refaire des hommes et repeuplerent ainsi la terre dévastée.
Les Arawaks de Guyane se rappellent deux choses ; d'abord le feu, ensuite le déluge. Cela s'explique par la situation de la region ou ils vivent.

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Message par Nathan 38 Dim 11 Fév 2024 - 15:31

P : 192 - 193 - 194

La grande mort des mammouths


Dans ce qui forme la plus grande partie des régions de l'est atteinte par la pluie, particulierement les immenses espaces du nord de l'asie, on ne trouve aucune legendes ce rapportant au deluge. Cela ne prouve pas, pour autant, qu'il n'y est pas eu lieu. Au contraire. Du moment ou ces pays ce trouvent dans la zone battue par les vents d'ouest dominants, il faut bien s'attendre à que ceux ci aient poussé la bas aussi, les masses de pluies assombries par les cendres volcaniques de la catastrophe de l'atlantique.
Effectivement, jusque dans la pointe extreme du nord de l'asie, se trouvent conservés les restes rappellant le souvenir d'une monstrueuse inondation qui, voila d'innonbrable années, submergea le pays et fit perir, noyés, les animaux geants qui y vivaient toujours.
Ce singulier pays ne ce contente pas de receler des legendes du déluge, mais on y trouve, d'autre part, d'extraordinaires documents, d'ordre paleontologique cette fois, d'une valeur considerable. En effet, toute la region constitue une espece d'énorme refrégirateur, bourrée de cadavres de mammouths en parfait état de conservation.
Il est bien naturel de ce demander comment ces gigantesques representants de la faune du déluge - qui, en leur qualité d'herbivores, devaient fuir les regions glacées - ont penétré dans leur cercueil de glace.
Les énigmes que ces cadavres de mammouths - aussi bien conservés que si la mort datait de la veille - ont posées et continue à poser à la science sont demeurées insolubles. La fait est là : ces animaux, qui étaient vivants pendant le quaternaire, ont tous péri ensuite, ont été victimes de la catastrophe qui eut lieu alors. Mais dans ces regions lointaines, seules ont pénétré les répercussions de la catastrophe de l'atlantique qui ont apporté, avec les pluies du déluge, les inondations devastatrices.
Il faut que les mammouths aient été ou bien étouffés par la vague de gaz suffocants, arrivée tout d'abord, ou noyés par les eaux.
On n'a toujours pas tiré au clair la raison pour laquelle ces herbivores, qui fuient la glace, sont ensevelis dans un pays glacial.
L'énigme commence à s'éclaircir si l'on veut bien considerer que, pendant le quaternaire, le pole nord se trouvait fort loin du nord de la siberie ; il en était de 3 500 kilometres plus éloigné qu'aujourd-hui.
L'isotherme " zero" d'aujourd-hui a un tracé totalement different de celui qu'il avait pendant le quaternaire, et que l'on voit marqué ( sur la carte ) le long de la bordure meridionnale de la zone glacée.
Cela explique l'enorme difference de climat entre autrefois et aujourd-hui.
De nos jours, le nord de la siberie - et avec lui "le frigo" aux mammouths - appartiennent a la zone arctique des glaces persistantes, dont le sol, meme pendant le bref été du nord, ne degele jamais completement. Le climat de cette region ou l'on a trouvés les mammouths, située à proximité du pole du froid est en mesure d'assurer la conservation des corps des mammouths comme le ferait une chambre froide.

Pendant la periode quaternaire, cette region aujourd-hui figé par le froid et la glace, était completement libre de glace. Sa moyenne annuelle de temperature ne devait pas dépasser + 4 ou 5 degres. Dans de telles conditions, il est vrai que les facteurs de putrefactions ce developpent rapidement qu'a la temperature ambiante normale. Mais on n'aurait certainement pas pu laisser, là bas, de la viande fraiche plus de quatre jours sans qu'elle ce décompose. Cependant, les cadavres des mammouths que l'on a retirés de la glace, aujourd-hui, n'ont meme pas subit un commencement de putréfaction. Or, au moment ou est survenue la catastrophe qui a detruit une faune abondante, les basses temperatures necessaire à leur consevation ne saurait avoir regné dans ces regions.
C'est aujourd-hui seulement, après la passage des temperatures du quaternaire, trop douces, à l'actuel climat "siberien", que les conditions indispensables a leurs conservations sont éffectivement réunis. Il s'ensuit que le passage entre les deux types de climat, à du s'accomplir en moins de quatre jours, faute de quoi, en raison de la formation tardive des glaces, ce ne sont pas des cadavres bien conservés de mammouths que l'on découvriraient, mais des squelettes totalement depouillés de tissus.
Il faut donc que le changement de climat se soit opéré de façon tres soudaine. Il n'a d'ailleurs été que la consequence logique du déplacement du pole nord par rapport a la bordure nord de la plaque siberienne. Mais il n'est pas possible d'admettre qu'une plaque continentale de cette dimension ait pu dériver de 3 500 kilometres en l'espace de quatre jours. C'est donc que le déplacement du pole doit avoir été extremement rapide. Ce ne se sont pas les plaques qui ce sont écartées d'un pole supposé immobile ; mis à part leur mouvement séculaire, elles sont restées ancrées dans leur lit de magma. C'est au contraire le pole de rotation qui c'est éloigné d'elles, et avec lui l'axe de rotation.

Suite...

Les autres explications viendront plus tard.

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Message par Nathan 38 Mar 13 Fév 2024 - 11:01

Avant de continuer plus loin, je veux a nouveau bien établir les bases.

D'Abord la preuve par la photo des impacts des éclats de l'asteroide qui a éclater, s'etend sur 600 Kms autour de Charleston dont on ne voit qu'un morceau.

Vous l'avez dans ce lien :
http://racines.traditions.free.fr/delugesa/index.htm

( Il faudrait y mettre la photo et bien l'agrandir de sorte que ce soit bien visible.)



Le phénomène de glaciation progressive (ou stabilisée) semblait irréversible lorsque survint la Grande Catastrophe16 qui serait due à une collision sidérale 17 selon les recherches de nombreux savants, tant américains qu’européen, données que regroupe Otto H. Muck dans son livre plein d’intérêt : un astéroïde 18 de bonne taille, qu’il nomme “planétoïde A” à cause de ses dimensions, vint frapper la Terre tangentiellement devant l’actuelle ville de Charleston en Caroline du Sud, au Nord de la Floride.
        La preuve de cette collision est donnée par les photographies aériennes prises à l’occasion de la nouvelle cartographie des USA, ce que montre la photo ci-dessous prise par l’US Air Force (d’après D. W. Johnsson) :
Comme nous pourrions le voir sur la totalité des clichés, autour de la ville la croûte terrestre est constellée de 3.000 trous oblongs – appelés localement des Bays19 ou “champ d’entonnoirs” – formés par les éclats provenant de l’explosion du manteau de la météorite20 peut après la pénétration du bolide sidéral21 dans l’atmosphère, lesquels percutèrent tangentiellement la Terre. La courbe enveloppe qui circonscrit ces Bays, est de même forme ellipsoïdale et permet donc de penser que, statistiquement, 7.000 autres impacts purent avoir lieu en mer…
        Cependant, le noyau métallique de Ni Fe du planétoïde, beaucoup plus dense, ne s’était brisé qu’en deux parties qui, emportées par une vitesse bien supérieure, ont poinçonné la croûte terrestre sous l’actuel Océan Atlantique en créant deux profondes fosses marines bien au large de la cité, fosses qu’aucune autre hypothèse ne permet d’expliquer.
        Remarquons bien la forme oblongue des impacts indiquant le choc tangentiel et leurs chevauchements dus aux chocs successifs des éclats : tout ceci est de nature à déterminer le lieu et le degré angulaire de l’entrée du planétoïde dans notre atmosphère : il se produisit par le Nord Ouest, c’est à dire en doublant tangentiellement notre planète dans son sens de rotation.
        L’ensemble des calculs faits dans les années cinquante par Otto H. Muck (qui était l’assistant du Dr von Braun le célèbre initiateur des fusées à Pennemünde, puis à la Nasa) lui permit d’estimer que ce planétoïde avait un diamètre de 10 km, ce qui est colossal puisque celui qui dévasta la Sibérie au début du siècle ne mesurait que 10 m de diamètre. En fait, il n’était probablement pas aussi grand : à titre de comparaison, les travaux récents (1990/ 95) faits sur la disparition des dinosauriens, supposent que la percussion d’un astéroïde de 6 km de Ø ou une comète (neige sale) de 10 km de Ø est à l’origine du cratère de Xixulub22.
         Cette hypothèse de Muck est-elle, confirmée ? Un silence prudent règne sur la question et ce n’est pas ma question posée à une revue de vulgarisation scientifique et demeurée sans réponse qui nous aidera… (j’ai depuis suspendu mon abonnement espérant, dans ma naïveté, que cela les rendrait moins… méprisants !)

Maj. 10 mars 02 vu sur le site de Eissart <épopée.atlante> : « En 1992, les géologues Alexander et Edith Tollmann de l'université de Vienne (Autriche) ont publié une étude qui conclut à l'évidence d'un impact cométaire survenu aux alentours de 9600 BC. En observant la grande concentration de tectites (°) dans les sédiments de cette époque ainsi que la forte augmentation de C14 dans les arbres fossilisés d'il y a environ 12.000 ans, ils sont parvenus à la conclusion que cela ne peut s'expliquer que par la destruction de la couche d'ozone terrestre par une comète. Leur hypothèse a été depuis lors confortée par la découverte d'iridium dans un cratère d'impact au Tyrol, en dendrochronologie par des découvertes d'anomalies dans des troncs d'arbres contemporains de cet événement, ainsi que par des pics de concentration en acide dans des carottes glaciaires du Groenland. (°) les tectites sont des sortes de "gouttes" de roche fondue formées par projection de roches terrestres très haut dans l'atmosphère suite à l'impact de grandes météorites. » [cf. notre supplément : tectites.pdf]

Màj 17 févr. 03 de  : « Pour la thèse de Muck, je vous donne le lien url d’un livre traitant de la question – en anglais – sur “amazon.com” :

http://www.amazon.com/exec/obidos/tg/detail/-/1879181428/ref=ase_survive2012
A/104-8502388-8921568?v=glance&s=books

         « Les auteurs s'apellent D. S. Allan J. B. Delair , le premier auteur a l'air d'être quelqu'un d'assez serieux vu les autres ouvrages qu'il a écrit. Titre de l'ouvrage : Cataclysm: Compelling Evidence of a Cosmic Catastrophe in 9500 B. C. »


Et :
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/paleontologie-asteroide-serait-bien-origine-cataclysme-survenu-il-y-12800-ans-67138/


"La chute d’une météorite à l’origine du refroidissement du Dryas récent

Plusieurs théories ont été avancées pour expliquer cette mini glaciation, qui a d'ailleurs inspiré le film catastrophe Le Jour d'après : une modification des courants de l’océan Atlantique, une diminution de l'activité solaire, des émissions massives de cendres volcaniques, ou même l'explosion d'une supernova. En 2007, une équipe de 26 chercheurs a publié une étude retentissante, affirmant avoir trouvé les preuves que le refroidissement du Dryas récent était dû à la chute d’une météorite, qui aurait causé une suite de réactions en chaîne cataclysmiques. Cette hypothèse, connue sous le nom « hypothèse de l'impact cosmique du Dryas récent », a fait depuis l'objet de multiples articles et controverses, certains scientifiques doutant qu'un impact local ait pu engendrer autant de conséquences sur toute la surface de la planète. Mais les indices se sont aussi accumulés en faveur de cette théorie. Christopher Moore, archéologue à l'université de Caroline du Sud, a entrepris de rassembler ces « preuves » pour affiner son scénario."

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Dernière édition par Nathan 38 le Mar 13 Fév 2024 - 11:23, édité 2 fois

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Message par Nathan 38 Mar 13 Fév 2024 - 11:11

Traduit de anglais, celui en français étant tres incomplet :

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.0706977104

Preuve d'un impact extraterrestre il y a 12 900 ans qui a contribué aux extinctions de la mégafaune et au refroidissement du Dryas jeune

...
Une couche noire riche en carbone, datant de ≅12,9 ka (12 900 années civiles B.P.) (1), a été identifiée par C. V. Haynes, Jr. (2), sur plus de 50 sites à travers l'Amérique du Nord, sous forme de tapis noirs, de limons carbonés ou de argiles organiques foncées [informations complémentaires (SI) Fig. 5]. L'âge de la base de cette couche noire coïncide avec le début brutal du refroidissement du Younger Dryas (YD), après quoi il n'y a aucune preuve de restes de mégafaune éteints in situ ou d'artefacts de Clovis. De plus en plus de preuves suggèrent que l'extinction de nombreux taxons de mammifères et d'oiseaux s'est produite brusquement et peut-être de manière catastrophique au début de la DY, et cette extinction a été prononcée en Amérique du Nord où au moins 35 genres de mammifères ont disparu (3), notamment les mammouths, les mastodontes et les paresseux terrestres. , des chevaux et des chameaux, ainsi que des oiseaux et des petits mammifères. À Murray Springs, Arizona, un site bien connu de Clovis, des os de mammouths et des outils en pierre de l'âge de Clovis se trouvent directement sous la couche noire où, comme le décrit Haynes (4) : « [L]'extinction soudaine de la mégafaune du Pléistocène serait dramatiquement dramatique. révélé en expliquant que tous avaient disparu un instant avant le dépôt du tapis noir.
La cause de cette extinction a longtemps été débattue et reste très controversée, en partie à cause des limites des données disponibles, mais aussi parce que les deux principales hypothèses concurrentes, la surpuissance humaine (5) et le refroidissement brutal (6), ne parviennent pas à expliquer de nombreuses hypothèses. observations. Par exemple, Grayson et Meltzer (7) ont résumé les problèmes sérieux liés à l’hypothèse de la surexploitation, tels que l’absence de sites de destruction pour 33 genres de mammifères disparus, dont les chameaux et les paresseux. De plus, bien que des épisodes de refroidissement brusque d'une ampleur similaire à celle du YD se soient produits souvent au cours des 80 derniers ka, aucun n'est connu pour être associé à des extinctions majeures. La possibilité d’une maladie pandémique a également été suggérée (Cool, mais il n’y a aucune preuve de cela dans les archives du Pléistocène. Ainsi, l’événement d’extinction de la fin du Pléistocène est unique à la fin du Quaternaire et il est peu probable qu’il résulte uniquement du refroidissement climatique et de la surpuissance humaine. Les extinctions étaient trop vastes et trop profondes sur le plan écologique pour soutenir ces hypothèses.

...

Dans les années 1990, W. Topping (14) a découvert des microsphérules magnétiques et d'autres preuves possibles d'ET dans les sédiments du site paléoaméricain de Gainey dans le Michigan (voir également réf. 15), et Lougheed (16) et Bi (17) ont rapporté que les phénomènes glaciaires du Pléistocène tardif la dérive contenait des sphérules cosmiques similaires.

...

Nature de l'événement.
Les preuves suggèrent un événement ET avec des effets à l'échelle du continent, en particulier la combustion de la biomasse, mais la taille, la densité et la composition de l'impacteur sont mal comprises. Malgré cela, les données actuelles suggèrent que cet impacteur était très différent des impacteurs ferreux, pierreux ou chondritiques bien étudiés (par exemple, à la limite K/T). Les preuves sont plus cohérentes avec un impacteur riche en carbone, pauvre en nickel et en fer et, par conséquent, très probablement une comète. Bien que les preuves géologiques et géochimiques actuelles soient insuffisantes pour comprendre pleinement la dynamique de l’impact, nous pouvons proposer des spéculations sur les travaux futurs.
Toon et coll. (46) suggèrent qu'un impact capable de causer des dommages à l'échelle du continent nécessite une énergie de 107 mégatonnes, ce qui équivaut à un impact d'une comète de plus de 4 km de large (figure 1 dans la réf. 46). Bien qu'un impacteur de cette taille laisse généralement un grand cratère évident, aucun cratère du Pléistocène tardif n'a été identifié. L'absence de cratère peut être due à la fragmentation préalable d'un gros impacteur, produisant ainsi de multiples explosions aériennes ou cratères. Des expériences d'impact oblique à hypervitesse (P.H.S., données non publiées) indiquent qu'une couche superficielle à faible impédance, telle qu'une calotte glaciaire, peut réduire considérablement la modification du substrat sous-jacent si la couche est égale au diamètre du projectile. Ces résultats suggèrent que si plusieurs objets de 2 km de longueur heurtaient la calotte glaciaire laurentidienne de 2 km d'épaisseur à <30°, ils pourraient avoir laissé des traces négligeables après la déglaciation. Ainsi, les preuves durables peuvent avoir été limitées à des dépressions ou à des perturbations énigmatiques dans le Bouclier canadien (par exemple, sous les Grands Lacs ou la baie d'Hudson), tout en produisant des effets de choc marginaux ou inexistants et en dispersant de fins débris composés de l'impacteur, des détritus de la calotte glaciaire, et la croûte sous-jacente.


Toon et coll. (46) ont également noté que si des explosions aériennes explosent avec une énergie de 107 mégatonnes à une hauteur optimale, elles provoqueront des dégâts d'explosion sur une zone de la taille de l'Amérique du Nord qui équivaut à un impact au sol de 109 mégatonnes (figure 5 dans la réf. 46). De telles explosions aériennes couplent efficacement l'énergie cinétique de l'impacteur avec l'atmosphère ou la surface (47, 48), produisant des ondes de souffle dévastatrices bien supérieures à la force d'un ouragan (70 m·s−1) (46). En 1908, à Toungouska, en Sibérie, un objet <150 m de diamètre, soit un astéroïde carboné, soit une petite comète calcinée, a produit une explosion aérienne <15 mégatonnes avec une intense boule de feu (107 °C) qui a brûlé ≈200 km2. d'arbres et nivelé ≈2 000 km2 de forêt, mais n'a produit aucun cratère ni métamorphisme de choc (49). Une pluie de débris provenant d'une comète fortement fragmentée (11) aurait produit un barrage aérien similaire, bien que exponentiellement plus grand, à celui de Toungouska, tout en provoquant une combustion de la biomasse à l'échelle du continent et une perturbation de la calotte glaciaire, mais encore une fois, probablement, sans cratère typique.


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Message par Nathan 38 Mar 13 Fév 2024 - 11:13

Effets environnementaux.
L’événement YD aurait créé une onde de choc dévastatrice à haute température avec une surpression extrême, suivie d’une dépression, entraînant des vents intenses traversant l’Amérique du Nord à des centaines de kilomètres par heure, accompagnés de puissants vortex générés par l’impact (50-52). . De plus, qu'un ou plusieurs objets soient entrés en collision avec la Terre, une boule de feu chaude aurait immergé la région proche des impacts et aurait été accentuée si les angles d'impact étaient obliques (46, 53). À titre de comparaison, Svetsov (48) a calculé qu’une explosion aérienne de la taille de Toungouska plongerait le sol dans un flux de rayonnement suffisamment puissant pour enflammer 200 km2 de forêt en quelques secondes. Ainsi, de multiples explosions aériennes plus importantes auraient enflammé plusieurs milliers de kilomètres carrés. À de plus grandes distances, la rentrée d’éjectas surchauffés à grande vitesse aurait provoqué des incendies de forêt extrêmes (53), qui auraient décimé les forêts et les prairies, détruisant les réserves alimentaires des herbivores et produisant du charbon de bois, de la suie, des fumées toxiques et des cendres. Le nombre d'explosions aériennes ou d'impacts ET nécessaires pour provoquer l'effondrement environnemental à l'échelle du continent à 12,9 ka est inconnu.

Climat.
Un certain nombre d'effets liés à l'impact ont très probablement contribué au refroidissement brutal et majeur au début de l'YD et à son maintien pendant plus de 1 000 ans. Les mécanismes de refroidissement fonctionnant sur des échelles de temps plus courtes pourraient avoir inclus (i) l’appauvrissement de la couche d’ozone, provoquant des changements dans les systèmes atmosphériques en réponse au refroidissement, avec pour effet secondaire de permettre à une augmentation du rayonnement UV mortel d’atteindre les survivants à la surface (46) ; (ii) l'injection atmosphérique de composés azotés (NOx), de sulfates, de poussière, de suie et d'autres produits chimiques toxiques provenant de l'impact et des incendies de forêt généralisés (46), qui peuvent tous avoir conduit à un refroidissement par blocage de la lumière du soleil, avec pour effet secondaire d'une diminution de la photosynthèse pour les plantes et d'une toxicité chimique accrue pour les animaux et les plantes (46) ; et (iii) l’injection de grandes quantités de vapeur d’eau et de glace dans la haute atmosphère pour former une nébulosité persistante et des nuages ​​noctilumineux, entraînant une réduction de la lumière solaire et un refroidissement de la surface (46). Même si ces mécanismes de refroidissement ont tendance à être de courte durée, ils peuvent déclencher des conséquences à plus long terme par le biais de mécanismes de rétroaction. Par exemple, les nuages ​​​​noctulescents peuvent réduire l’insolation solaire aux hautes latitudes, augmentant ainsi l’accumulation de neige et provoquant un refroidissement supplémentaire dans une boucle de rétroaction. L'effet potentiel le plus important aurait été une déstabilisation partielle et/ou une fonte de la calotte glaciaire liée à l'impact. À court terme, cela aurait soudainement libéré de l'eau de fonte et des radeaux d'icebergs dans les océans Atlantique Nord et Arctique, réduisant ainsi la salinité de la surface des océans, avec pour conséquence un refroidissement de la surface. Les effets de refroidissement à plus long terme auraient résulté en grande partie de l’affaiblissement conséquent de la circulation thermohaline dans l’Atlantique Nord (54), entretenant le refroidissement de l’YD pendant plus de 1 000 ans jusqu’à ce que les mécanismes de rétroaction rétablissent la circulation océanique.

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Message par Nathan 38 Mar 13 Fév 2024 - 11:17

Clovis et la mégafaune.
Les effets liés à l'impact auraient été dévastateurs pour les animaux et les plantes. Pour les humains, des changements d’adaptation majeurs sont évidents à 12,9 ka, ainsi qu’un déclin de la population déduit, à mesure que les stratégies de subsistance ont changé en raison de changements écologiques dramatiques et de l’extinction, de la réduction et du déplacement d’espèces de proies clés (55, 56). De nombreux sites indiquent que le peuple Clovis et la mégafaune éteinte étaient présents immédiatement avant l'événement YD, mais, sauf dans de rares cas, aucun des deux n'apparaît dans les archives géologiques par la suite. À Murray Springs, des os de mammouth dépecés et encore articulés, des outils de Clovis et un foyer ont été retrouvés enterrés directement sous le tapis noir, indiquant qu'il les a enfouis rapidement (37). Les marqueurs YDB, y compris Ir à 51 ppb, se trouvent à l'intérieur d'un crâne de cheval éteint sur le site de destruction de Wally's Beach Clovis (57), suggérant à nouveau un enterrement rapide après l'événement YD. Il est probable que certains animaux aujourd’hui disparus ont survécu dans des niches protégées, pour ensuite disparaître en raison de l’insuffisance des ressources alimentaires, de la chasse excessive, du changement climatique, des maladies, des inondations et d’autres effets, tous déclenchés ou amplifiés par l’événement YD.



Conclusions
Notre objectif principal est de présenter des preuves à l'appui de l'événement d'impact YD, une collision ET majeure au-dessus de l'Amérique du Nord à 12,9 ka, qui a contribué au refroidissement du YD, à l'extinction massive de la faune nord-américaine, ainsi qu'à des adaptations et à des déclins majeurs de la population des PaléoAméricains. La couche YDB unique et riche en carbone, associée à un assemblage distinct de traceurs d'impact, implique l'isochronéité de la couche de référence YDB et met ainsi en évidence son utilité pour la corrélation et la datation du Pléistocène supérieur de l'Amérique du Nord. Ces associations, si elles sont confirmées, offrent le dossier géologique le plus complet et le plus récent sur un impact extraterrestre et ses effets, tels que le changement climatique mondial et l'extinction de la faune. Cette preuve représenterait également l’enregistrement d’un événement ET majeur ayant des conséquences graves et généralisées sur les humains anatomiquement modernes.

Abbreviations

YD
   Younger Dryas

YDB
   YD boundary       frontière

ET
   extraterrestrial.    Extraterrestre.

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Message par Nathan 38 Mar 13 Fév 2024 - 12:50

Rappel, les conclusions de Pierre Termier, les "carottes" remonter sur fond de la mer, et les observations autour de l'Islande, prouvent qu'ils y a bien eu un effrondrement d'une partie du socle marin s'étendant sur plusieurs millions de kilometres carrées en atlantique nord, et  qu'il à été soudain d'après toutes les preuves reccueillies.

Pour qu'il y est autant de magma partir hors de son "lit" et soit soudain, et non pas inscrit dans la durée, il faut bien qu'un accident le provoque, qu'il soit assez massif pour occasionner de tel dégats si rapide.

Rien que cela ne laisse qu'un seul choix, un accident cosmique.

Deja, indirectement, cela confirme les preuves d'Otto Muck, la photo du lien avec les impacts, ( a grossir ) les recherches de plusieurs scientifiques, avec toutes les caracteristiques d'un impact extraterrestre, établit il y a 12 000 ans.


La quantité de masse de magma et d'eau partie dans l'atmosphere, devant une telle catastrophe soudaine, a emporté dans la haute atmosphere, une immense quantité d'eau et de centre qui retombera plus tard sous la forme du déluge un peu partout, là ou les vents d'ouest et de l'est dominant les ameneront.

Cela explique tous ces mythes retrouvés un peu partout et qui ont comme par hasard, leur "propre Noé et qui provient de leur peuple."

Si le recit s'exportait, les peuples ayant ces traditions et ne l'ayant pas subit ne s'attribuerait pas leur "Noé."
Ils le situerait là ou la catastrophe serait venu.

Comme l'ont fait les pretres d'Egypte avant de le confier à Solon pour l'Atlantide.

Mais au contraire, tous ceux là, porteur de ces mythes, estiment qu'ils l'ont subit, tandis que si le recit ce basait uniquement sur la transmission, il y aurait forcement incohérence, les uns diraient  qu'ils l'ont subit, et d'autres qu'il proviendrait d'un autre pays. Ce serait inévitable.

Et cela s'explique, la quantité d'eau amassé dans la haute atmosphere et répartit par les vents dominant ne pouvait qu'atteindre de nombreux pays, a l'est et à l'ouest...



https://fr.wikipedia.org/wiki/Impact_cosmique

Énergie dégagée par l'impact

Les conséquences d'une collision d'un objet géocroiseur avec la Terre sont proportionnelles à l'énergie libérée durant l'impact. Celle-ci découle directement de l'énergie cinétique de l'impacteur qui se calcule par la formule suivante :
si d est sa densité (en kg/m3), v sa vitesse (en m/s) et D son diamètre (en m), l'énergie cinétique est donnée, en joules, par E= d × D3 × v2Note 2.

En fonction de la densité des astéroïdes (comprise entre 2000 et 3000 kg/m3) et des comètes (1000 à 1500 kg/m3) et de la vitesse des astéroïdes (12-20 km/s) et des comètes (30–70 km/s), l'impacteur libère entre 4 et 20 fois plus d'énergie qu'une masse équivalente de TNT : 1 tonne d'impacteur libère une énergie équivalente à 4 à 20 tonnes de TNT.

   Un astéroïde de 7 mètres de diamètre dégage environ 10 équivalents kilotonnes de TNT.
   L'événement de la Toungouska (1908) attribué à un astéroïde de 60 mètres de diamètre a libéré une énergie de 15 000 kilotonnes TNT soit 1000 fois la puissance de la bombe atomique ayant frappé Hiroshima.

( Là, nous avons 10 Kms de diametre, environ.)



Caractéristiques des objets entrant en collision avec la Terre
Les impacts provoquant des dégâts significatifs à l'échelle d'une région terrestre ou plus sont produits par des objets célestes d'un diamètre supérieur à 10 m. Les plus gros peuvent dépasser 10 km. Ils sont d'une densité de 0,5 à 1 (comète), 1 à 3 (astéroïde de type chondrite) voire 8 (astéroïde métallique). Ils pénètrent dans l'atmosphère terrestre à une vitesse relative par rapport à la Terre comprise entre 12 km/s (soit une vitesse de 1 km/s par rapport au Soleil) et 72 km/s. Ils atteignent alors au maximum 11 km/s, soit qu'ils soient accélérés par la planète, soit qu'ils soient ralentis par son atmosphère. La vitesse maximale de 72 km/s est atteinte par un objet en orbite autour du Soleil lorsqu'il percute la Terre[pourquoi ?], compte tenu du fait que la Terre circule elle-même à 30 km/s. C'est ainsi la vitesse d'impact d'une comète venue des confins du Système solaire et circulant sur une orbite rétrograde (dans le sens contraire de celui de la Terre) : si v est la vitesse orbitale de la comète, la vitesse à l'impact (en km/s) est égale à v + 30 + 111[source insuffisante].

( Ceci explique forcement l'éffondrement soudain de vaste regions sous marine confirmé par Pierre Termier et par les "carottes qu'ils ont remontés.

Comment l'expliquer autrement.)



Boule de feu
Si la vitesse à son arrivée au niveau du sol dépasse 15 km/s l'impacteur ainsi qu'une partie de la surface est transformée en gaz. Celui-ci est produit sous très haute pression (supérieure à 100 gigapascals) et très haute température (> 10000 kelvin) et génère une boule de feu qui prend rapidement du volume. La boule de feu atteint sa température maximale lorsque son diamètre est environ 13 fois celui de l'impacteur. Dans le cas d'un météorite rocheux de 1000 mètres arrivant à 20 km/s (décrit plus haut), la boule de feu atteint un diamètre de 13 km. A une distance de 50 km près de 6 millions de joules par m2 sont produits au cours des 3 minutes suivantes générant des brulures au troisième degré.

( Et l'impact aura aussi un effet sur la rotation de la terre, puisque les éclats de l'asteroide montre qu'ils viennent de l'est.
Sa force et sa vitesse, quoi que infiniment moins grande que celle de la terre, auront quand meme un effet, calculé par l'auteur et aussi par le lien montrant une collision et le rapport avec le changement de climat, et deplaçant l'axe terrestre de quelques 3 000 Kms voire 3 500 Kms, qui expliqueras le rechauffement climatique global, et rapide, qui autrement ne s'explique pas.)




L'effet de soufle.
L'onde de choc d'un impact important (un objet de plus de 3 km de diamètre) aurait des répercussions sur la quasi-totalité de la surface de la Terre, notamment sur les océans, et provoquerait l'embrasement des forêts.

( Cela aura des consequences pour nombres d'especes animales dont les mammouths, ( et l'homme ) ou le soufle apporte avec lui, tous les gaz suffocant...)


Tsunami
Le phénomène le plus spectaculaire résulterait de la chute de l'impacteur dans l'océan et occasionnerait un gigantesque raz de marée. Des calculs détaillés ont été effectués15 sur les répercussions de l'impact d'un météore de 1 km de diamètre.

( Avec 10 Kms de diametre, le raz de marée déclenchés doit etre de plusieurs kilometres...De quoi faire le tour de la terre, et  plusieurs fois, ce qu'avait calculé Otto Muck.)


Gros impacteurs : des conséquences à l'échelle de la planète

"Si un objet de très grande taille frappe la Terre, les conséquences peuvent concerner l'ensemble de la planète. Un tremblement de terre de forte magnitude peut avoir des répercussions à grande distance sur les zones instables, provoquant notamment des éruptions volcaniques, des glissements de terrain et des éboulements de terrain. De plus, des roches en fusion ou vaporisées projetées du cratère peuvent provoquer un incendie qui s'étend à tout un continent. Les particules éjectées dans l'atmosphère ainsi que la suie des incendies de forêts, provoquent obscurcissement du ciel qui entraine un refroidissement général, jusqu'au gel et un arrêt temporaire de la photosynthèse16,17. L'effet de serre dû à la grande quantité de CO2 provenant des incendies élèvent la température des océans. La forte diminution de l'oxygène présent dans l'atmosphère provoque des conditions réductrices comme la destruction de la couche d'ozone et, laissant passer les rayons ultraviolets, la multiplication de pluies acides causées par l'impact. Progressivement, les conditions nécessaires à la photosynthèse sont rétablies au bout d'un délai qui peut se mesurer en années, voire en milliers d'années. "

Tous ceci, ne peut qu'expliquer tout ses changements si rapide autour de la planete, avec la disparition de nombreuse especes animales et de deux civilisations humaines, celle de Clovis et de la Magdalenienne.

L'hypothese de la pandemie qui a été étudier dans le lien ou la preuve d'un asteroide tombé il y a 12 000 ans, ne peut l'expliquer.

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Message par Nathan 38 Mar 13 Fév 2024 - 19:55

La preuve de l'éffondrement sous marin si soudain et prouvés desormais par des scientifiques, est inevitablement du a la chute de l'asteroide qui en est la cause au depart.
C'est indiscutable.

Seul un impact aussi puissant l'explique.

Cela explique le rechauffement climatique du aux deplacement des poles.
Cela explique le deluge.
Cela explique ce "sang" et le feux, decrit dans un papyrus Egyptien.
Cela explique les mythes retrouvés un peut partout dans le monde ou chaque peuple a son propre "Noé".

Cela explique la mort de nombreuse especes animales dans le monde, dont 35, rien qu'en amerique, que la pandemie dont les scientifiques ont etudier la possibilité ne tient pas.
Cela explique la disparition soudaine des civilisation de Clovis et du Magdalénnien pourtant séparé par l'atlantique.

l'explosion de l'asteroide, amenera aussi avec lui des gaz empoisonnés a travers les continents...

Le tout dans la meme periode de 12 000 ans, reunissant tout ces facteurs catastrophique en meme temps, ou il serait impossible d'en avoir une telle accumulation,  sans l'asteroide.
Devant la logique, cela ne tient pas dans ce cas de figure.

Il faut un facteur exterieur.



Ainsi, Cela explique l'Atlantide, et sa chute si rapide, et que le recit de Platon était reellement basé sur la realité historique.


( Je ne prend pas partie pour l'un ou l'autre cas de figure, ni par conviction, mais la logique s'appuie sur des faits, et comment la reunion d'autant de catastrophe survenu en meme temps puisse s'expliquer autrement que par un accident cosmique... qui commence a etre lentement confirmé...cela prendra du temps...)




Cela explique le pourquoi de la description des iles avant d'aborder l'Amerique, continent précisé, correctement situé, et bien decrit par Platon.

Ceci signifie qu'il y a eu un certain degrés de civilisation et que l'ecriture existait deja, pour communiquer, il le faut, ne serait-ce que pour manier de si grandes forces armées, et qu'Athene était civilisé, elle aussi.

Cela explique l'ecriture Mayas retrouvé aussi en amerique, si semblable a celui des grecs en europe, mais passant pour un fake, parce qu'on ignorait l'Atlantide.

Avec cette civilisation et ce pont que constituait l'Atlantide, cela s'explique.
Cela montre que l'Egypte connaissait l'ecriture, et quand elle disait qu'elle était une colonie de l'Atlantide, elle disait vrai.

Les Atlantes sont la race rouge decrit par Edgar Cayce, surnomée le prophete endormie.

Que voyons nous en amerique ? Aucun mongol ou changement de la race ce muant en la nouvele race indienne, les peaux rouges, en passant dans les Ameriques.

Ce qui serait inévitable.
Comme autre preuve, nous ne voyons pas au sein de chaque races, une nouvelle race naitre, comme pour les indiens, n'ayant aucun facteur qui serait forcement du a un metissage avec une autre race, qui seul l'expliquerait.
Et il n'y a rien en Amerique qui le permet, ni demontre un changement graduel.

Donc, l'hypothese des mongols passant et colonisant l'amerique, ne tient pas. Il faut etre logique.
Et les races, ne change pas si facilement, meme si on retrouve dans la races des peuples different, elle reste la fille de la race raçine.

Comme je le disait, les Atlantes passent pour la race rouge ( Edgar Cayce )
Cela explique les peintures antique en Egypte, ou deux races sont bien representés, l'un du pays, l'autre rouge, que l'on voit parfois dans des documentaire TV.

Comment les peaux-rouge Egyptiens ont pu atteindre l'Egypte ?
Comment ce fait-il que cela correspond aux indiens d'Amerique ?
Comment expliquer cela, si ce n'est que parce qu'ils en ont eu connaissancve et vivaient avec eux ? Ce que les peintures montrent...

Ceci explique aussi que l'Atlantide faisait le pont entre les deux continents, et ajoute plus de poids au récit de Platon.
Cela montre aussi par là, une nouvelle preuve de l'Egypte colonisés par les Atlantes.


Cela montre, que l'Amerique ETAIT DEJA HABITE avant la pretendu venu des mongol, dont aucune trace raciale ne le prouve, en dehors des exquimaux de type asiate.

Cela fait beaucoup, aussi, reflechissez bien, et prenez bien votre temps avant de repondre.

N'oubliez pas que nous avons les preuves physique d'un soudain et vaste effondrement sous marin...avec tout ce qui en decoule, et d'autres preuves physiques.


Edit :
Pour l'Egypte :
https://toysondor.blog/2019/02/23/legypte-et-le-deluge-chronologie-breve-et-chronologie-longue-1/

Voir a moitié page.
Là aussi, nous n'avons aucune explication de la science, parce qu'elle n'en a pas, ou alors, il leur faudrait accepter l'Atlantide qu'elle considere encore comme une fable.
Une absurdité devant toute les preuves qui sont accumulées.


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Message par Hakaan Mar 13 Fév 2024 - 20:26

T'es au courant que les crashs d'asteroides massifs provoquent des refroidissements climatique et non l'inverse ?
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Message par Nathan 38 Mer 14 Fév 2024 - 7:28

Oui, et le lien prouvant la chute d'un asteroide, en parle aussi, de meme Otto Muck qui le developpe, s'il le faut, je le mettrais pour ce dernier.
Je n'en ait pas "parlé" pour ne pas compliquer cette histoire là.



https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.0706977104

Preuve d'un impact extraterrestre il y a 12 900 ans qui a contribué aux extinctions de la mégafaune et au refroidissement du Dryas jeune

( A traduire avec google translate.)



Mais deja l'éffondrement soudain de vaste superficie sous marine et prouvé, ne peut s'expliquer autrement que par un accident cosmique, un asteroide.
Sinon comment l'expliquerais tu ?

J'ajoute sur le reste que la science reste tres general et ce contente juste de dire que l'Amerique a été colonisé par les Mongols, sans rien expliquer du comment ayant deja mis les pieds, elle ce trouvent entierement transformé.

Pourquoi ? Parce qu'elle n'a aucune explication...


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Message par Nathan 38 Mer 14 Fév 2024 - 15:59

Voici ce qu'en dit wikipedia.

Peuplement originel
https://fr.wikipedia.org/wiki/Autochtones_d%27Am%C3%A9rique

Théories anciennes
Voir également : Premier peuplement de l'Amérique.
Carte des premières migrations humaines24.

Les spécialistes ont dans un premier temps pensé25 que l’arrivée des premiers humains en Amérique remontait à 12 000 ans environ. Mais certaines données archéologiques indiquent que le premier peuplement de l'Amérique aurait pu avoir lieu pendant le dernier maximum glaciaire (autour de 21 000 ans avant le présent), à l'occasion de l'abaissement des niveaux marins. Venant de Sibérie, ils auraient traversé le détroit de Béring, alors au-dessus de la ligne de rivage maritime en période glaciaire (voir Béringie). Après une période d'habitation en Béringie, et après la disparition des masses glaciaires d’Amérique du Nord, ils auraient pu continuer le peuplement du nouveau continent26.

D’autres théories parlent de peuples océaniens qui auraient traversé l'océan Pacifique (théorie avancée par Paul Rivet), ou encore de peuples européens (hypothèse de l'archéologue Dennis Stanford). Une analyse ADN pourrait confirmer cette dernière hypothèse27. On[Qui ?] estime en effet qu'une peuplade pourrait être venue d'Europe il y a 12 000 à 36 000 ans ; elle correspondrait aujourd'hui à un groupe très restreint d'autochtones : les Ojibwés, les Nuu-Chah-Nulth, les Sioux et les Yakamas. Des études génétiques plus récentes contredisent cependant cette thèse28,29.

Les Amérindiens, s'appuyant sur leur tradition orale, soutiennent que leurs ancêtres ont toujours habité là30. Quoi qu'il en soit, la diversité des milieux naturels du continent a engendré des cultures très différentes.


Découvertes et hypothèses plus récentes
Diversité des peuples d'Amérique du Nord (illustration publiée en 1914).
Article détaillé : Paléoaméricains.

On notera cependant des découvertes qui remettent en cause le schéma général de la colonisation de l'Amérique par les Amérindiens. Certains spécialistes pensent que le peuplement du continent américain n'a pas une seule origine :

   les ossements de la femme de Peñón (environ 13 000 ans), découverts près de Mexico présentent aussi des caractéristiques europoïdes ;
   des momies furent exhumées sous plusieurs mètres de dépôts de guano dans la caverne de Lovelock en 1911 par des exploitants-récolteurs. Elles étaient du type europoïde. Elles furent datées d'environ 5 000 ans par l'analyse au radiocarbone 14. D'autres furent découvertes en 1931 de même type non loin de la caverne de Lovelock ;
   250 crânes et squelettes du site de Cerca grande, sont âgés de 9 000 à 1 000 ans.

L'autre question problématique est celle de la date du peuplement. Là encore, le travail des archéologues semble repousser l'origine du peuplement à des époques plus anciennes qu'on ne l'a longtemps cru :

   en 2005, dans une ancienne carrière située près du volcan Cerro Toluquilla (Puebla au Mexique), des traces humaines vieilles de 38 000 ans ont été découvertes par une équipe britannique sur une couche de cendres fossilisées ;
   en 2020, des chercheurs français et sud-américains datent de 31 000 ans certains artefacts de la grotte de Chiquihuite31,32 ;
   sur le territoire des États-Unis, l'homme de Folsom trouvé au Nouveau-Mexique aurait 20 000 ans. En 1997, l'analyse au carbone 14 de fossiles amérindiens trouvés en Virginie les fait remonter à 17 000 ans av. J.-C.[réf. nécessaire]

Les Algonquins seraient apparus il y a 4 500 ans. Des traces de maisons en rondins iroquoises sont attestées pour le Xe siècle av. J.-C. En 2019, des charbons de bois et des ossements de grands mammifères accompagnés de lames de pierre et de pointes de lance, provenant du site de Cooper's Ferry (sur les rives d'une rivière de l'ouest de l'Idaho), sont datés à environ 16 000 ans, plus d'un millénaire avant que la fonte des glaciers n'ait ouvert un corridor sans glace à travers le Canada il y a environ 14 800 ans. Les premiers Paléoaméricains ont donc dû venir par voie maritime, en parcourant rapidement la côte du Pacifique et en remontant les rivières33,34.
Génétique
Les peuples autochtones d'Amérique d'aujourd'hui sont étroitement liés aux Asiatiques de l'Est. Néanmoins, les chercheurs estiment que 14 à 38 % de l'ascendance amérindienne provient d'une population semblable à celle qui vivait en Sibérie il y a 24 000 ans. L'étude de l'ADN d'un garçon sibérien du Paléolithique supérieur découvert près du village de Mal'ta, le long de la rivière Belaya en Sibérie a montré que certaines parties de son génome se retrouvent aujourd'hui chez les Eurasiens occidentaux, d'autres se retrouvent chez les Amérindiens et sont uniques aux Amérindiens aujourd'hui. L'ADN du garçon est rare ou absent en Asie centrale et en Asie de l'Est. Le scénario le plus probable est celui d'une population telle que celle qui vivait en Sibérie il y a 24 000 ans qui s'est mélangée aux ancêtres des Asiatiques de l'Est. Ainsi, les Amérindiens sont formés par la réunion de deux populations — un groupe est-asiatique et des populations ouest-eurasiennes — sans que l'on sache où ce mélange a eu lieu35. Le 9 mai 2023, une nouvelle étude génétique est publiée dans la revue Cell reports met en lumière que les premiers arrivants étaient partis de Chine lors de deux vagues distinctes, durant la période glaciaire et juste après, selon ses auteurs. La première a débuté il y a 26 000 ans et s'est achevée il y a 19 500 ans, durant la dernière période glaciaire. La couverture de glace était alors à son pic, rendant probablement le climat du nord de la Chine inhospitalier. La deuxième a commencé durant la période de fonte des glaces, il y a 19 000 ans, et a duré jusqu'il y a 11 500 ans36.

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Message par Nathan 38 Jeu 15 Fév 2024 - 9:14

" Le scénario le plus probable est celui d'une population telle que celle qui vivait en Sibérie il y a 24 000 ans qui s'est mélangée aux ancêtres des Asiatiques de l'Est. Ainsi, les Amérindiens sont formés par la réunion de deux populations — un groupe est-asiatique et des populations ouest-eurasiennes — sans que l'on sache où ce mélange a eu lieu35. Le 9 mai 2023, une nouvelle étude génétique est publiée dans la revue Cell reports met en lumière que les premiers arrivants étaient partis de Chine lors de deux vagues distinctes, durant la période glaciaire et juste après, selon ses auteurs. La première a débuté il y a 26 000 ans et s'est achevée il y a 19 500 ans, durant la dernière période glaciaire. La couverture de glace était alors à son pic, rendant probablement le climat du nord de la Chine inhospitalier. La deuxième a commencé durant la période de fonte des glaces, il y a 19 000 ans, et a duré jusqu'il y a 11 500 ans"


Voila, ce n'est qu'hypothese non confirmé.

Et l'on aurait inevitablement retrouvé, éssaimé sur leurs parcours, des traces de ces populations qui ce seraient installé, decouragé par les rigueurs du climat de plus en plus difficile en remontant vers le nord...
Et cette population aurait grossit avec le temps et aurait formée avec les mongols une autre race sur le continent asiatique, et tout le long du parcours que les courageux pionniers du nouveau monde auraient laissé derriere eux, marquant leurs passage jusqu'en Amerique.
Mais il n'y a rien.

Quand un peuple quitte volontairement son territoire, a moins d'etre chassés par la guerre, il leurs faut de bonnes raisons pour quitter les avantages qu'ils ont acquis, seul l'espoir de meilleures conditions peut pousser les plus courageux d'entre eux a partir tres loin, meme a des milliers de kilometres.
Mais que tous partent ? non, sauf si les terrains ne leurs conviennent pas, mais il y en assez en asie pour les contenter...

Et qu'aurait-ils trouvés en remontant sans cesse vers le nord ? des conditions plus dures qu'au depart, pourquoi aurait-ils continués en rencontrant des conditions climatiques de plus en plus difficile ?

Une race, ce n'est pas une machine qui obeit aveuglement a leurs chefs, elle a de l'espoir, des sentiments, des émotions, des attachements, une memoire, des traditions.

Donc, la theorie de colonisateurs passant de l'Asie pour peupler l'Amerique ne tient pas, puisqu'on ne retrouve aucunes preuves de cette race qui aurait inévitablement éssaimé.

Sinon, On auraient, les asiatiques et les indiens en Asie de l'est.


Ou alors que on m'explique en quoi ce serait faux.

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Message par Hakaan Jeu 15 Fév 2024 - 13:50


Et l'on aurait inevitablement retrouvé, éssaimé sur leurs parcours, des traces de ces populations qui ce seraient installé, decouragé par les rigueurs du climat de plus en plus difficile en remontant vers le nord...
Qu'est ce qui te dit qu'il n'y en a pas ? l'archéologie ça demande des moyens, des fouilles, des machines, la plupart du temps les découvertes sont faite par hasard, dans mon ancienne ville ils avaient retrouvé tout un tas de colonnes romaines d'un ancien temple détruit par l'église durant des travaux, c'était énorme, à seulement 1m de profondeur, vieux d'à peine moins de 2000 ans, en plein milieu d'une ville, et personne ne le savait, alors tu crois vraiment qu'on va retrouvé des outils et trucs vieux de 12000 ans paumés sur tout un continent sans faire de fouilles spécialisées et extrêmement fastidieuses ?

Et cette population aurait grossit avec le temps et aurait formée avec les mongols une autre race sur le continent asiatique, et tout le long du parcours que les courageux pionniers du nouveau monde auraient laissé derriere eux, marquant leurs passage jusqu'en Amerique.
Mais il n'y a rien.
Ben ça tombe bien des asiatiques y'en a absolument partout dans la zone, sibérie, Mongolie, Chine, Japon, Philippines, arctiques, Canada, etc à elle toute seule la race asiatique (oui ça se dit pas mais bref) ça doit être pas loin d'1/3 de la population mondiale

Quand un peuple quitte volontairement son territoire, a moins d'etre chassés par la guerre, il leurs faut de bonnes raisons pour quitter les avantages qu'ils ont acquis, seul l'espoir de meilleures conditions peut pousser les plus courageux d'entre eux a partir tres loin, meme a des milliers de kilometres.
Nan juste la curiosité d'aller plus loin, c'est un élan naturel chez l'être humain, c'est ce qui a marqué toute son histoire, il explore

Mais que tous partent ? non, sauf si les terrains ne leurs conviennent pas, mais il y en assez en asie pour les contenter...
mais qu'est ce qui te dis que tout le monde est parti ?

Et qu'aurait-ils trouvés en remontant sans cesse vers le nord ? des conditions plus dures qu'au depart, pourquoi aurait-ils continués en rencontrant des conditions climatiques de plus en plus difficile ?
Pourquoi des esquimauts vivent encore sur la glace ? parce que l'être humain est ainsi, il colonise crée une culture et s'y attache même si les conditions de vie sont horriblement difficiles
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Message par Nathan 38 Jeu 15 Fév 2024 - 14:48

Hakaan"]

Et l'on aurait inevitablement retrouvé, éssaimé sur leurs parcours, des traces de ces populations qui ce seraient installé, decouragé par les rigueurs du climat de plus en plus difficile en remontant vers le nord...
Qu'est ce qui te dit qu'il n'y en a pas ? l'archéologie ça demande des moyens, des fouilles, des machines, la plupart du temps les découvertes sont faite par hasard, dans mon ancienne ville ils avaient retrouvé tout un tas de colonnes romaines d'un ancien temple détruit par l'église durant des travaux, c'était énorme, à seulement 1m de profondeur, vieux d'à peine moins de 2000 ans, en plein milieu d'une ville, et personne ne le savait, alors tu crois vraiment qu'on va retrouvé des outils et trucs vieux de 12000 ans paumés sur tout un continent sans faire de fouilles spécialisées et extrêmement fastidieuses ?

Ceux qui seraient rester en arriere ( je parle des ancetres des indiens d'après wikipedia ) seraient assez nombreux pour fonder des nations avec le temps, il ne s'agirait pas que de quelques individus qui a la longue auraient disparu.
Et il ne faut pas sous estimer le nombre de ceux qui seraient rester sur place et ceux qui prefererait revenir sur leurs pas.
Il y en a aucun.



Et cette population aurait grossit avec le temps et aurait formée avec les mongols une autre race sur le continent asiatique, et tout le long du parcours que les courageux pionniers du nouveau monde auraient laissé derriere eux, marquant leurs passage jusqu'en Amerique.
Mais il n'y a rien.
Ben ça tombe bien des asiatiques y'en a absolument partout dans la zone, sibérie, Mongolie, Chine, Japon, Philippines, arctiques, Canada, etc à elle toute seule la race asiatique (oui ça se dit pas mais bref) ça doit être pas loin d'1/3 de la population mondiale

Il y aurait deux races d'après wikipedia, les ancetres des indiens qui ce serait melangées aux mongols, donnant d'après eux les futurs Amerindiens.
Ou ce trouve cette population en asie pour le confirmer, demontrant ce melange ?

Quand un peuple quitte volontairement son territoire, a moins d'etre chassés par la guerre, il leurs faut de bonnes raisons pour quitter les avantages qu'ils ont acquis, seul l'espoir de meilleures conditions peut pousser les plus courageux d'entre eux a partir tres loin, meme a des milliers de kilometres.
Nan juste la curiosité d'aller plus loin, c'est un élan naturel chez l'être humain, c'est ce qui a marqué toute son histoire, il explore

Je suis d'accord, mais combien aurait abandonnés et serait rester sur place ou revenu pour vivre des conditions meilleures ?
Ils n'ont pas tous cette mentalité d'aller de l'avant.
Et ils representeraient un bon % de ce peuple colonisateur que l'on aurait vu ce developper aussi en Asie.

Mais que tous partent ? non, sauf si les terrains ne leurs conviennent pas, mais il y en assez en asie pour les contenter...
mais qu'est ce qui te dis que tout le monde est parti ?

Bien sur, c'est pourquoi, ils auraient crées leurs propres nations avec le temps, et on les verraient encore de nos jours,meme si par la force des évenements ils auraient du ce deplacer.

Et qu'aurait-ils trouvés en remontant sans cesse vers le nord ? des conditions plus dures qu'au depart, pourquoi aurait-ils continués en rencontrant des conditions climatiques de plus en plus difficile ?
Pourquoi des esquimauts vivent encore sur la glace ? parce que l'être humain est ainsi, il colonise crée une culture et s'y attache même si les conditions de vie sont horriblement difficiles

Bien sur, mais que des jaunes.

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Message par Hakaan Jeu 15 Fév 2024 - 15:30

Ceux qui seraient rester en arriere ( je parle des ancetres des indiens d'après wikipedia ) seraient assez nombreux pour fonder des nations avec le temps, il ne s'agirait pas que de quelques individus qui a la longue auraient disparu.
Et il ne faut pas sous estimer le nombre de ceux qui seraient rester sur place et ceux qui prefererait revenir sur leurs pas.
Il y en a aucun.

1,4 Mrds de chinois ça te suffit pas ?

Il y aurait deux races d'après wikipedia, les ancetres des indiens qui ce serait melangées aux mongols, donnant d'après eux les futurs Amerindiens.
Ou ce trouve cette population en asie pour le confirmer, demontrant ce melange ?

C'était y'a entre 12000 et 30000 ans on les a pas mis sous cloche durant ce temps

Je suis d'accord, mais combien aurait abandonnés et serait rester sur place ou revenu pour vivre des conditions meilleures ?
Ils n'ont pas tous cette mentalité d'aller de l'avant.
Et ils representeraient un bon % de ce peuple colonisateur que l'on aurait vu ce developper aussi en Asie.

Ben c'est les mongoles, les chinois, etc même la sibérie est toujours occupée par des restes de peuplades asiatiques que les russes font **** pour les assimiler, et si tu trouves pas que leur mode de vie et habitations ressemblent pas comme deux gouttes d'eaux à celles des indiens d'Amérique

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Message par Nathan 38 Jeu 15 Fév 2024 - 15:45

Hakaan"]
Ceux qui seraient rester en arriere ( je parle des ancetres des indiens d'après wikipedia ) seraient assez nombreux pour fonder des nations avec le temps, il ne s'agirait pas que de quelques individus qui a la longue auraient disparu.
Et il ne faut pas sous estimer le nombre de ceux qui seraient rester sur place et ceux qui prefererait revenir sur leurs pas.
Il y en a aucun.

1,4 Mrds de chinois ça te suffit pas ?

Il y a malentendu, Wikipedia, dans une autre explication parce qu'on ne trouve pas d'asiates colonisant l'amerique, part sur une theorie, ou une race ce serait melangé aux mongols, donnant plus tard les amerindiens.
Traces et melanges que l'on ne trouve nulle part.

Il y aurait deux races d'après wikipedia, les ancetres des indiens qui ce serait melangées aux mongols, donnant d'après eux les futurs Amerindiens.
Ou ce trouve cette population en asie pour le confirmer, demontrant ce melange ?

C'était y'a entre 12000 et 30000 ans on les a pas mis sous cloche durant ce temps

Certe, mais il en serait rester assez pour proliferer, et meme encore.

Je suis d'accord, mais combien aurait abandonnés et serait rester sur place ou revenu pour vivre des conditions meilleures ?
Ils n'ont pas tous cette mentalité d'aller de l'avant.
Et ils representeraient un bon % de ce peuple colonisateur que l'on aurait vu ce developper aussi en Asie.

Ben c'est les mongoles, les chinois, etc même la sibérie est toujours occupée par des restes de peuplades asiatiques que les russes font **** pour les assimiler culturellement, et si tu trouves pas que leur mode de vie et habitations ressemblent pas comme deux gouttes d'eaux à celles des indiens d'Amérique



Je ne parle pas des mongols, mais bien d'un melange de peuples assez different dans cette theorie de wikipedia, qui par melange donnerait les futur Amerindiens.
Et il y en a aucun en Asie qui confirme cette theorie.

Peuplement originel
https://fr.wikipedia.org/wiki/Autochtones_d%27Am%C3%A9rique

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Message par Hakaan Jeu 15 Fév 2024 - 19:17

Vraiment faudrait que tu fasses des dessins avec tes raisonnements de Shadocks parce que c'est vraiment pas facile à suivre, le métissage s'est fait sur le continent américain c'est évident puisque les migrations sont datées en 2 vagues de 30000 et 12000 ans
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Message par Nathan 38 Jeu 15 Fév 2024 - 19:31

Pour comprendre ce raisonnement, il aurait fallu suivre mon dernier message avec ce lien, juste avant celui de la demande d'explication pour ce en quoi cela pourrait etre  faux.
Mais comme je comprend que tu n'a pas trop le temps de tout surveiller, c'est comprehensible que tu n'a pas fais le lien.
Tu as assez de travail comme cela.
Et j'aurais quand meme du mettre le lien pour simplifier...

Edit :
Et bien non, le metissage ce serait deja fait entre mongols et pretendu ancetre des indiens, dans l'Asie. On les auraient inévitablement retrouver sur les deux continents.


Dernière édition par Nathan 38 le Ven 16 Fév 2024 - 7:57, édité 2 fois

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Message par Nathan 38 Ven 16 Fév 2024 - 7:54

Toute theorie de metissage passant par l'Asie pour expliquer les indiens en amerique, la race rouge, globalement, ne tient pas.


Cela veut dire que l'on n'a pas trouvé la source reelle du peuplement de l'Amerique.

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Message par Nathan 38 Ven 16 Fév 2024 - 13:46

Et pour le scientifique Pierre Termier et les "carottes" remonté du fond de la mer demontrant l'atlantide engloutit de Platon et du vaste effondrement sous marin en atlantique, c'est accepter, ou refusé ?...

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Message par Hakaan Ven 16 Fév 2024 - 17:13

Dire quelque chose de quelque chose dont on ne sait rien c'est assez compliqué
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Message par Nathan 38 Ven 16 Fév 2024 - 17:33

Oui, plutot.

Sinon, tu aurais des preuves physique et les conclusions scientifique qui confirme l'Atlantide debut de la page 9, si tu veux bien...et sur d'autres pages avant celle ci.

Edit :

Et est ce que tu pourrais me mettre la photo de ce lien, des impacts de l'asteroide, mais agrandit suffisamment pour que ce soit indiscutable, svp...?

http://racines.traditions.free.fr/delugesa/index.htm

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Message par Hakaan Ven 16 Fév 2024 - 18:54

Tu parles de cette **** ? j'imagine que le paterne de briques vient du fait que c'est une image reconstituée à partir de plusieurs clichés pris d'un avion, maintenant faudrait des sources de son existence au delà de cette espèce d'image qui ressemble à rien
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Message par Nathan 38 Ven 16 Fév 2024 - 19:09

C'est cela, merci.
Oui, c'est a partir de plusieurs clichés....

Cela à été pris près de Charleston, en Caroline.
Il est confirmé par ce lien, correspondant a cette periode là, en Caroline :

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.0706977104

( A traduire avec google translate.)






On pourrait l'agrandir en enregistrant la photo.

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Message par Yolo Ven 16 Fév 2024 - 20:01

Avec un titre comme "preuve de l'impact extraterrestre" forcément sur la photo je vois un extraterrestre...

Désolé,j'essaie de vous suivre.
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Message par Nathan 38 Ven 16 Fév 2024 - 20:12

Il faudrait aggrandir la photo de maniere a que ce soit evident...

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