Marie, mère du Christ
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Re: Marie, mère du Christ
salut..en fait c'est a chacun,dans son "jardin" perso,que l'on se fait nos certitudes ..avec le temps , il peux arriver de changer ..a plus
mikael- Vesta
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Re: Marie, mère du Christ
La Vierge Marie est aussi analogue à ce qui se passe là-haut : l'énergie de Sirius que l'on peut appeler Aset (prononcer Astt) se déverse à travers la planète saturne (la sphère Binah sur l'Arbre Kabbalistique) et baigne et/ou "porte" notre système solaire... représentée par une femme portant un bébé et écrasant un serpent (représentant la sexualité au sens "bas" du terme hein, pas le méchant diable).
Et donc, pour moi, la Vie à trouver moyen de faire une analogie chez nous (ce qui est en haut est comme ce qui est en bas) et Jesus est né, représentant bien sûr notre Soleil, le Christ, d'une femme au nom de Marie. Je trouve cette analogie et cette façon de la Vie de nous faire un clin d'oeil en mode "hey les gars !! Ça se passe comme ça en haut aussi !" Super poétique et très belle
Et donc, pour moi, la Vie à trouver moyen de faire une analogie chez nous (ce qui est en haut est comme ce qui est en bas) et Jesus est né, représentant bien sûr notre Soleil, le Christ, d'une femme au nom de Marie. Je trouve cette analogie et cette façon de la Vie de nous faire un clin d'oeil en mode "hey les gars !! Ça se passe comme ça en haut aussi !" Super poétique et très belle
Invité- Invité
Re: Marie, mère du Christ
j'avais lu, je ne sais plus où, un problème mathématique, sur le récit d'une "vierge noble et vertueuse" qui épouse un roi, où un invité ose demander le nom de la future reine. Le problème était insoluble, sans une clef, alors un des invités demande la révélation d'une des lettres, je ne me souviens plus des détails de l'histoire, mais je me souviens de son nom:Sod a écrit:son ombre
" ALCHIMIA".
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Re: Marie, mère du Christ
Et Jésus dit : "Lève-toi, ma mère, ma colombe, tabernacle de gloire, vase de vie, temple céleste, afin que, de même que tu n'as point senti la souillure du contact charnel, tu n'aies pas non plus à souffrir la décomposition de ton corps ! Et l'âme de Marie rentra dans son corps, et la troupe des anges l'emporta au ciel."
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Re: Marie, mère du Christ
"Puis, étendant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et mes frères. Car, quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma soeur, et ma mère."
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Re: Marie, mère du Christ
"En ce moment même, ma mère, le Saint-Esprit, m'a prise par l'un de mes cheveux et m'a emmenée sur la grande montagne du Tabor."
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Re: Marie, mère du Christ
Cela me fait penser à une question que je me posais étant jeune : Jésus est-il né d'une parthénogenèse ?
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Re: Marie, mère du Christ
Merci pour la découverte de ce terme, Aspirant, et hop dans ma besace ! Selon les écritures, le doute n'est pas permis.
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Re: Marie, mère du Christ
Perso je me risquerais pas à dire que Dieu n'a pas de gonades, enfin après chacun fait ce qu'il veut mais bon j'aurais prévenu quand il faudra s'expliquerAspirant a écrit:Cela me fait penser à une question que je me posais étant jeune : Jésus est-il né d'une parthénogenèse ?
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Re: Marie, mère du Christ
Aspirant a écrit:Cela me fait penser à une question que je me posais étant jeune : Jésus est-il né d'une parthénogenèse ?
https://www.universalis.fr/encyclopedie/parthenogenese/
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Re: Marie, mère du Christ
Sofiane a écrit:Merci pour la découverte de ce terme, Aspirant, et hop dans ma besace ! Selon les écritures, le doute n'est pas permis.
J'avais justement lu un article au sujet de la parthénogénèse il y a plusieurs années de cela et une possibilité en ce qui concerne la naissance du Christ et j'avais trouvé ça un peu tiré par les cheveux mais bon, c'est pas pire que l'idée du Christ crucifié à l'envers et d'un frère jumeau.
La vérité est ailleurs comme dirait Scully et Mulder..
P-S : il reste encore la fécondation par abduction par un dieu E.T....
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Re: Marie, mère du Christ
A l'époque, je crois que j'essayais de faire coller les récits de la Bible à une réalité scientifique et historique.
Depuis, mon point de vue à quelque peu évoluer...
Pour moi le but étant plus de chercher que de trouver, je pose plus de questions que je ne propose de réponses.
Je laisse les réponses à d'autres...
(@Totem : il est bon le "nonoss" ? )
Depuis, mon point de vue à quelque peu évoluer...
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Re: Marie, mère du Christ
Le sacerdoce masculin malgré le temps n'a jamais réussi à supprimer de toutes les pensées l'importance primordiale de l'esprit de la Déesse (esprit féminin).
skambah- Encelade
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Re: Marie, mère du Christ
Ptah a écrit:Le culte à la Mère suprême a toujours été présent, partout, et bien avant le catholicisme et les rites actuels. C'est ancestral.
Il y avait des mères sculptées et peintes, et aussi des vierges, de tous temps, dans les cultes, et il a été naturel chez les peuples de retranscrire aussi cet hommage dans le catholicisme, ce que je trouve correct pour ma part, c'est pragmatique, ça prouve que les gens concernés étaient dans l'action spirituelle et non dans le blabla théorique.
Ce culte vient du fait des sociétés matriarcales qui ont été remplacées par les sociétés patriarcales.
Voici un passage de ce lien assez intéressant sur le sujet :
https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/histoire-des-israelites.html
- Spoiler:
- LES SUPERCHERIES DE L'HISTOIRE
La lutte qui a dû précéder le renversement du régime gynécocratique ne nous est pas racontée par ceux qui ont écrit l'histoire, mais elle a été relatée par les femmes elles-mêmes dans des livres qui, quoique altérés, nous rendent la vérité, et c'est ainsi que nous pouvons reconstituer l'évolution qui s'accomplissait alors. Le régime masculin ne s'est pas substitué brusquement au régime féminin, mais il s'est institué parallèlement, faisant un nouvel Etat dans l'Etat premier ; si bien que, pendant longtemps, les deux régimes ont existé en même temps, mais les historiens n'ont tenu compte que du régime masculin, qu'ils ont appelé « légitime ».
Mariette dit : « Il y eut incontestablement, en Egypte, des dynasties simultanées ; mais Manéthon les a écartées pour n'admettre que celles qui furent réputées légitimes, et elles ne sont plus dans ses listes ; autrement, ce n'est pas 31 dynasties que nous aurions à compter dans la série des familles royales antérieures à Alexandre, c'est jusqu'à 60 peut-être qu'il faudrait monter pour en exprimer le nombre. D'ailleurs, en supposant même que Manéthon n'ait pas voulu faire cette élimination, comment admettre que les abréviateurs de Manéthon, tous plus ou moins intéressés à raccourcir ces listes, ne l'aient point fait eux-mêmes, alors que, par le texte de l'ouvrage qu'ils avaient sous les yeux, ils en avaient les moyens ? »
Cet historien, Manéthon de Sebennytus, était un prêtre égyptien, archiviste des temples, qui dressa la liste des dynasties primitives avec l'intention bien marquée d'en exclure les femmes afin de faire croire à la postérité que le régime masculin avait toujours existé. Mais cette supercherie est aujourd'hui démasquée : la découverte des pierres qui portent des inscriptions, des dessins, des sculptures, nous a rendu la Femme ; les Reines sont sorties de l'ombre. Et pendant que l'épigraphie nous rendait leurs noms, la plupart des rois, nommés par Manéthon, ne se retrouvaient pas. Et du reste, comment y aurait-il eu des dynasties alors que le fils ne connaissait pas son père et portait le nom de sa mère ?
M. Victor Loret a trouvé le tombeau de la Reine Apou-it qui semble être un des « Pharaons » qui régnèrent sur les Hyksos. Mais il nous fait remarquer que ce monument, ruiné dans l'antiquité, a été utilisé comme tombe par divers personnages depuis le temps des Hyksos jusqu'au temps des Ramsès.
Mariette a découvert à Deir-el-Bahari le grand temple de la reine Hatshepsou (XIIIème dynastie) qui gouverna l'Egypte (1).
Dans les fouilles d'Aboukir, entreprises sous la direction de Daninos-Pacha, on a découvert dans l'antique Zéphyrion, sur l'emplacement d'un temple dédié à Vénus-Astarté, une statue en granit rose de la Reine Hentmara, « Fille de Ramsès II », dit on, alors que la fille ne connaissait pas encore son père.
Ce Ramsès faisait effacer les noms qui se trouvaient sur les anciens monuments pour y substituer le sien.
On croit que la statue de cette reine a été transportée à l'époque Ptolémaïque de Sâm, l'ancienne Tanis, à Aboukir.
On a relevé à Thèbes, sur un monument, un dessin représentant deux Reines dont l'histoire a omis le nom, quoiqu'il soit inscrit au-dessus de leur tête dans un cartouche. Ces noms sont Nofei-t-Ari et Meri-t-en-Mout.
Un autre dessin nous montre une autre Reine dont on s'est plu à décrire le costume.
On a aussi trouvé, correspondant à l'ancienne Egypte, un mastaba de Reine et une pyramide de Reine avec édifice.
Enfin, on a bien voulu sauver de l'oubli la Reine Nitocris, la « Belle aux joues roses », ou « Nil, la Victorieuse » (2).
« Aucune princesse égyptienne ne la surpassa jamais, disent les légendes, en sagesse et en beauté. » On la représente comme la tutrice de son frère. Cette reine terminait la VIème dynastie. Rendons justice à Manéthon, il la cite. Les listes royales de ce prêtre comprenaient 30 dynasties ; elles commençaient à Menés ou Mena (3) et allaient jusqu'à Nectanébo. Elles remontaient à plus de 5.000 ans avant Alexandre, alors que la royauté, dans la forme qu'il lui donne, n'a été établie qu'après le Xème siècle (avant notre ère), 4.000 ans plus tard que la date qu'il lui assigne.
On croit que c'est sous Ptolémée II (vers 270 avant notre ère) que Manéthon rédigea ses « Mémoires égyptiens », qui doivent être considérés comme une source sans aucune valeur.
La préoccupation des rois, quand il y en eut, fut de cacher les momies des reines, pour que l'on ne sût pas que la femme avait régné, et que ce sont ces reines qu'on appelait des « Pharaons ».
On les enlevait de leurs fastueux souterrains pour les murer, toutes ensemble, dans d'humbles caveaux.
Mais elles sont venues échouer au musée des momies du Caire et c'est là qu'on les retrouve. Loti, qui le mentionne dans La mort de Philæ, dit : « Aujourd'hui dépouillées de leurs bandelettes, elles ne dureront plus, et il faudrait se hâter de graver ces physionomies de trois ou quatre mille ans, qui vont s'évanouir. »
(1) Eugène Révillout, La Femme dans l'ancienne Egypte, 1ère partie, p. 107.
(2) La terminaison Cris vient du Çri sanscrit qui signifie « suprématie » et qu'on ajoute aux noms des Déesses, des Reines. Ceci a de l'importance parce que c'est le mot Çri qui a servi de racine au Christos des Grecs (voir l'article du blog sur l'origine et l'histoire du Christianisme).
(3) Nous avons vu que le nom des « Pasteurs » est écrit par des hiéroglyphes qui signifient « Menaou » (du parti de Mena), et nous savons que ce sont des tribus matriarcales, gouvernées par des Reines. Mena est donc un nom qui indique le gouvernement gynécocratique que ce personnage aurait fondé. Comment Mena pourrait-il être un roi masculin à une époque où rien encore n'annonce le règne de l'homme ?
LA LÉGENDE DE MOÏSE
C'est Philon d'Alexandrie qui, quelques années avant notre ère écrivit la légende de Moïse, telle que nous la connaissons.
Son livre intitulé « De vita Mosis » était un roman sans aucune base historique et dans lequel il avait introduit les mœurs nées du Droit romain.
Ce récit mensonger donna à l'homme glorifié sous le nom de Moïse une consécration et le fit entrer dans l'histoire.
L'histoire de la sortie d'Egypte telle qu'on nous la raconte est remplie de contradictions, d'inexactitudes, et de miracles. On n'en connaît pas la date, on donne des noms différents au prétendu Pharaon qui aurait asservi, puis poursuivi les Hébreux.
Ce roi serait Ramesses-Meïmun, le 4ème du nom de Ramsès. Mais on oublie que la royauté n'existait pas à cette époque et que ces prétendus rois n'étaient que des chefs de parti, des Ak.
A la sortie d'Egypte, la version grecque nous dit que « Moise chanta un cantique à l'Eternel pour lui rendre grâce ».
La version hébraïque dit : « Marie et ses jeunes compagnes les Almah, chantèrent des cantiques au passage de la Mer Rouge en s'accompagnant du tambourin. »
Et Renan, à propos de ce fait, dit : « Une prétendue sœur de Moïse prenait dès lors, dans la légende de la sortie d'Egypte, un rôle dont l'état actuel des textes ne laisse peut-être pas apercevoir toute la portée ».
Cette femme que la Bible appelle « la Prophétesse Marie » était appelée Myriam en hébreu ; c'est elle que les Catholiques ont désignée sous le nom de « Marie l'Egyptienne ».
Il est bien évident que c'est cette femme qui dirigeait l'expédition et que cette fuite avait pour objet de se soustraire à la servitude que les Egyptiens voulaient imposer aux femmes.
Une politique cruelle envahissait l'État, s'appesantissait sur les faibles, leur enlevait toute sécurité et leur refusait la liberté de retourner dans leur pays d'origine. On les arrachait à leurs foyers, on les condamnait aux travaux les plus durs.
Voici ce que dit l'Exode : « Et le service qu'on exigeait des Hébreux était plein de rigueur... Et les exacteurs les pressaient et on leur criaient : « Pourquoi n'avez-vous pas achevé votre tâche en faisant des briques aujourd'hui comme auparavant ? Et les commissaires des enfants d'Israël crièrent au Pharaon de ce qu'ils étaient battus. »
Seraient-ce des hommes qui se seraient laissé ainsi battre par d'autres hommes ?
Mais, du passage de l'Exode que nous venons de citer, il ressort un fait probable : les Israélites étaient maltraités.
Qu'entend-on par Israélites ? Le nom d'Israël signifie « soldat d'une Divinité féminine », soldat qui combat dans « les guerres de Hévah ».
Avant d'en venir à la fuite, il y a eu des tentatives de conciliation. Et suppliant « le Pharaon » de faire cesser une servitude trop pesante pour elles, ce roi (?) donna, au contraire, l'ordre d'aggraver leurs travaux afin qu'elles ne s'amusassent plus à écouter des paroles de révolte.
C'est alors qu'en masse les Israélites quittèrent l'Egypte. Et c'est Myriam (Marie) qui conduit le mouvement.
Ils étaient 600.000 d'après le Pentateuque ; 240.000 d'après Manéthon ; enfin 6.000 d'après Volney. C'est plus probable et c'est peut-être même encore exagéré. Si nous supprimons encore un zéro et mettons 600, nous serons peut-être plus près de la vérité.
Le passage de la Mer Rouge que Myriam fit effectuer à ses compagnes à marée basse loin des côtes aurait fait périr les Égyptiens qui les poursuivaient, parce que, arrivant 5 ou 6 heures après et ne connaissant pas le passage, ils furent surpris et entraînés par la marée haute.
A peine sur l'autre rive, en sûreté, un cri d'allégresse, de soulagement, s'échappe de la poitrine de ces femmes libérées et s'exhale en un chant poétique qui nous a été conservé. Ce chant commence par ces mots : « Je chanterai un cantique à l’Éternel, car il s'est hautement élevé, il a jeté dans la mer le cheval et celui qui le montait. »
Il ne s'agit donc pas d'une armée, mais d'un seul homme. Du reste, les Égyptiens n'avaient pas de cavalerie.
La Mer Rouge s'appelait alors la mer de Suf ; on l'appelait aussi Madian. Elle prit le nom de Mer Rouge depuis cet événement parce que la couleur rouge était celle de l'étendard féministe.
Le Dr Ebers, qui a écrit un ouvrage sur le Mont Sinaï, nous apprend que, dans une inscription antique, on désigne cette mer en ces termes : « les eaux du pays rouge ».
Toute l'antiquité a dû connaître cet événement, car nous en trouvons le récit, sous forme de légende, dans l'Encyclopédie japonaise.
Et parlant des Japonais, M. Cailleux dit : « Ces peuples reconnaissent un ancien législateur qui, venu de loin, leur donna les éléments de leur culte. Il se nommait Mousa, il avait pour emblème le soleil rayonnant qui est resté jusqu'aujourd'hui dans les armes du Japon. ».
Les Celtes firent de Myriam le nom de la Marjolaine, et des légendes existent aussi, chez eux, perpétuant le souvenir de cette grande femme.
MYRIAM
Myriam, c'est la grande femme dont le nom brille dans l'histoire du peuple d'Israël, comme une resplendissante lumière qui éclaire plus de dix siècles ; c'est elle qui est l'auteur d'un livre de science, le Sépher, qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature.
C'est la grande prophétesse dont on fera une sœur de Moïse, quand on inventera Moïse pour la cacher, ne pouvant pas la supprimer tout à fait.
Mais que de contradictions dans cette histoire, conséquence naturelle du mensonge !
Ainsi, d'abord, pour les uns elle est la sœur d'Aaron, pour d'autres elle est sa femme. Et, en effet, il est formellement dit qu'Aaron est le « sacrificateur » de Mocé. Ce mot, si nous voulions lui donner une signification moderne, ne pourrait être rendu que par le mot « amant ». Du reste, quel homme aurait joué un si grand rôle auprès d'une femme s'il n'avait été plus que son frère ?
Il faut se rappeler, du reste, que dans les temps gynécocratiques, la femme appelait « frère » celui que dans les temps modernes elle appelle son « mari ».
Le nom de Myriam servit, dans l'antiquité, à former différents mots se rapportant à son œuvre et à sa grande action dans le monde de son époque. C'est ainsi que de Myriam on fait mystique, qui veut dire « initié à la doctrine cachée ». Ce mot, qui est d'abord un titre glorieux, deviendra, pour les adversaires de la Vérité, une épithète avilissante. Cependant, les doctrines successives s'en emparèrent, et nous verrons ce mot servir alors à désigner toutes sortes d'erreurs.
Mais, primitivement, la mystagogie égyptienne, c'est le « mystère de la Femme » divulgué dans le Sépher, et cela crée une époque si brillante que ce mot sert à donner un nom nouveau au pays : Misraïm (1).
Mais il fallut cacher la doctrine pour éviter la colère des hommes ; alors de mystique on fit mystère (en grec, mustêrion viendra de mustes, muein, serrer, fermer).
Il fallut se taire sur les lois de la Nature dont on ne pouvait plus parler sans danger. C'est pourquoi on fit, de cette même racine, le mot mutisme, d'où muet (mutus latin).
Mais cette lutte créait une solidarité entre les persécutés, ce qui fit dériver le mot mutualité du mot mutisme.
La lutte s'étendant et devenant universelle, on créa des armées, et les défenseurs de Myriam furent appelés Myria (dix mille). Ce sont « les armées d'Israël ».
Mais les adversaires aussi créaient des mots, ou, du moins, donnaient une signification tout autre aux vocables déjà existants. C'est ainsi que, cherchant à couvrir de ridicule tout ce qui venait de la femme et dévoilait des vérités gênantes, on fit de mystique le mot mystification. Et, en face des « initiés » qui gardaient la connaissance des lois de la Nature, apparurent les « mystificateurs » qui leur donnaient une signification renversée.
Les femmes étaient considérées comme ayant échappé au déluge allégorique (l'eau, symbole de l'ignorance et de l'erreur, éteint l'Esprit représenté par le feu). On montrait les Déesses planant au-dessus des eaux ; Myriam, comme Aphrodite, sortait de l'onde amère, était figurée comme « sauvée des eaux ».
La légende représente Marie l’Égyptienne traversant le Nil en marchant sur les eaux. Catulle Mendès, rappelant cette légende, appelle Myriam, dans une indiscrétion de poète, « Madame Dieu ».
L'évolution des idées nous montre, plus tard, Moïse marchant sur les eaux, et nous voyons cette même idée introduite dans la vie de Jésus.
Quand l'homme prend ainsi la place de la Déesse, que devient la Femme ?
Elle est mystifiée, et alors, pendant qu'on donne à l'homme le rôle de la Femme, on donne à la Femme le rôle de l'homme pour la narguer, c'est ainsi qu'on donne à Myriam, le jour de sa fête, le 1er avril, un poisson (le poisson d'avril), symbole de l'homme dans l'eau (les eaux de l'ignorance et de l'erreur).
Si, dans la légende écrite par Philon, on fait de Moïse un enfant « sauvé des eaux », c'est pour rappeler ce symbolisme.
Du reste, tous les grands hommes étaient présentés comme « sauvés des eaux » : tels sont Romulus, Cyrus, Œdipe. Le panier d'osier de Moïse, c'est la corbeille de roseaux dans laquelle le jeune Horus flotte au milieu des fleurs de lotus.
La lettre M, première du nom de Myriam, est une lettre mystique, sacrée dans toutes les langues orientales et occidentales de l'antiquité.
Quand on fit surgir Myriam de l'onde, cette lettre servit de glyphe pour représenter les ondes.
C'est la lettre initiale du mot grec Métis ou sagesse divine, de Mimra, le Verbe ou Logos (d'où le Memrah de Haveh), de Mâyâ, la Mère ; en Egypte Mout, en Grèce Minerve, de Myrrha, la mère du Logos chrétien.
(1) Misraïm est le nom sémitique de l'Egypte
LA DÉESSE HATHOR
L'Egypte a gardé le souvenir de Myriam et l'a glorifiée sous le nom de Hathor (Ha-thorah, la Loi, en hébreu). Les égyptologues nous disent que Hathor est la forme sensible d'Isis.
On l'appelle la Déesse au clair visage, de qui émanent les joies pures de la vie. On la prend aussi pour la Muse divine, qui embellit et charme l'existence par l'amour, le chant et l'allégresse. Elle protège, comme une fée bienveillante, les petits enfants et choisit leur destinée.
Dans le Salon égyptien du British Muséum de Londres se trouve une Hathor adorée par le Pharaon Thotmès. Ce monolithe a été pris à Karnak. La légende suivante est inscrite sur le trône de cette Déesse : « La divine Mère et Dame ou Reine du Ciel », puis « Etoile du Matin » et « Lumière des mers » (Stella matutina et Lux maris).
C'est avec les louanges adressées à Hathor qu'on a fait les litanies de la Vierge Marie.
Le nom de Hathor signifie aussi le Beau et le Bien.
ORIGINE DU MOT MOSE (MOÏSE)
C'est parce que la Déesse Hathor avait été surnommée la Muse que ce surnom se répandit partout et devint l'appellation des femmes divines.
Les Hébreux exprimaient cette idée par le mot Mosa ou Mocé. Ce nom, porté en Grèce, y devint d'abord Mœses (fée résidant sur l'Olympe), puis Mousa.
Platon parle du « souffle harmonieux des Muses siciliennes ».
Myriam est appelée chez les Arabes « la Prophétesse Moseilama ou Moçailama ».
Pour les Latins, c'est Musa.
Les Grecs, masculinisant le nom de la Muse, en firent Musée, et lui attribuèrent l'histoire, devenue légendaire, de Hathor.
On disait aussi que Musée avait été le premier Prêtre des Mystères d'Eleusis. Mais les Mystères n'avaient pas de Prêtres, ils n'étaient célébrés que par des Prêtresses. Enfin, les hommes voulurent prendre tous les titres honorifiques des Femmes, et, dans les hymnes d'Orphée, on donne le nom de Mises (Muse) à Bacchus (le mâle).
Le mot Muse devait être très répandu partout, car certains savants nous disent que c'est la « Muse » qui donna son nom au fleuve appelé « Meuse » et que c'est sur ses bords que vivaient celles qu'on appelait « les Nymphes de la Meuse », qui furent les antiques fondatrices de la religion du genre humain.
Tout ceci nous fait comprendre par quelle évolution le surnom de Myriam Hathor, « la Muse divine », devint le Mosès des Hébreux, le Mouça des Arabes, et finalement le Moïse des modernes.......
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Re: Marie, mère du Christ
https://www.independent.ie/irish-news/girl-power-vatican-hid-art-that-showed-female-priests-38277210.html?fbclid=IwAR0mBlNDnUdnLw_TuI-S-iM9nFGCmJquVwLPAsjTmGQBrji2ThvTsvlisRo
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Re: Marie, mère du Christ
- le Saint Coran , Sourate " Marie "verset 16 à 36:
- Mentionne, dans le Livre (le Coran), Marie, quand elle se retira de sa famille en un lieu vers l’Orient.
17. Elle mit entre elle et eux un voile. Nous lui envoyâmes Notre Esprit (Gabriel), qui se présenta à elle sous la forme d’un homme parfait.
18. Elle dit: «Je me réfugie contre toi auprès du Tout Miséricordieux. Si tu es pieux, [ne m’approche point].»
19. Il dit: «Je suis en fait un Messager de ton Seigneur pour te faire don d’un fils pur».
20. Elle dit: «Comment aurais-je un fils, quand aucun homme ne m’a touchée, et que je ne suis pas prostituée?»
21. Il dit: «Ainsi sera-t-il! Cela M’est facile, a dit ton Seigneur! Et Nous ferons de lui un signe pour les gens, et une miséricorde de Notre part. C’est une affaire déjà décidée».
22. Elle devint donc enceinte [de l’enfant], et elle se retira avec lui en un lieu éloigné.
23. Puis les douleurs de l’enfantement l’amenèrent au tronc du palmier, et elle dit: «Malheur à moi! Que je fusse morte avant cet instant! Et que je fusse totalement oubliée!»
24. Alors, il l’appela d’au-dessous d’elle(5), [lui disant:] «Ne t’afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source.
25. Secoue vers toi le tronc du palmier: il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres.
26. Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse! Si tu vois quelqu’un d’entre les humains, dis [lui:] «Assurément, j’ai voué un jeûne au Tout Miséricordieux: je ne parlerai donc aujourd’hui à aucun être humain».
27. Puis elle vint auprès des siens en le portant [le bébé]. Ils dirent: «Ô Marie, tu as fait une chose monstrueuse!
28. «Sœur de Hārūn(6), ton père n’était pas un homme de mal et ta mère n’était pas une prostituée».
29. Elle fit alors un signe vers lui [le bébé]. Ils dirent: «Comment parlerions-nous à un bébé au berceau?»
30. Mais (le bébé) dit: «Je suis vraiment le serviteur d’Allah. Il m’a donné le Livre et m’a désigné Prophète.
31. Où que je sois, Il m’a rendu béni; et Il m’a recommandé, tant que je vivrai, la prière et la Zakāt(7);
32. et la bonté envers ma mère. Il ne m’a fait ni violent ni malheureux.
33. Et que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai, et le jour où je serai ressuscité vivant.»
34. Tel est Issa (Jésus), fils de Marie: parole de vérité, dont ils doutent.
35. Il ne convient pas à Allah de S’attribuer un fils. Gloire et Pureté à Lui! Quand Il décide d’une chose, Il dit seulement: «Sois!» et elle est.
36. Certes, Allah est mon Seigneur tout comme votre Seigneur. Adorez-le donc. Voilà un droit chemin».
Professeur X- Soleil
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