Sondage: combien de temps consacrez vous chaque jour à votre pratique?

Rappel du premier message :

Une question qui m'intéresse. La spiritualité si elle n'est pas nourrie au feu de la pratique n'est que de la philosophie conceptuelle. Mais c'est un choix individuel qui n'appelle aucun jugement.
Je parle ici de pratique formelle : un temps de retrait du monde pour une pratique particulière. Une réponse inclut également une pratique "dans le monde"
Aussi ce serait mieux connaître chacun des membres de savoir le temps que chacun s'octroie à lui-même.....
Un autre topic pour explorer plus en details votre pratique individuelle : https://chemin-spiritualite.forumactif.com/t57-quelle-est-votre-pratique?highlight=Votre+pratique
Merci d'avance pour vos réponses. Choix multiples possibles.

..si rêvasser ça compte comme une pratique alors je pratique quasi 24h/24 ..la vie en elle même est une pratique ..mais il y a les pratiques de délassement, de bien être, et les pratiques transcendantales à mon sens
..et puis je ne suis pas sur que le temps de pratique d'une discipline est un rapport avec ce que cette discipline peut nous faire découvrir, par exemple il m'est arrivé de méditer plusieurs fois d'une telle façon et bof ça ne m'emmener pas grand chose, et puis une fois j'ai fais varier un truc dans ma façon de pratiquer et là bingo,
..en fait je pense que soit y doit y avoir des pratiques avec lesquelles on a plus d'affinité que d'autre, soit il faut trouver le petit truc dans la pratique qu'on adapte à soit même,
..Après bien sûr on peut dire que bouddha avant l'éveil à mediter.. je ne sais plus le chiffre mais beaucoup, mais bon aussi bien la durée de sa méditation n'a rien à voir avec le fait  qu'il est arriver à l'éveil, c'est dans les derniers instants qu'il a pris conscience de quelque chose,
..puis bon, ça m'arrange bien de penser ça car il m'arrive de m'en vouloir de pas méditer assez souvent, mais je me dit que c'est chacun à son ryrhme, que c'est comme on le sens et qu'il faut pas trop forcer la chose,
..donc j'ai du mal à répondre au sondage vu que je peut arrêter de pratiquer des mois voir des années, et puis m'y remettre quelque temps,
..pour moi la méditation c'est comme un bouquin spirituel qu'on a arrêter de lire parce qu'on n'arrivait pas à capter ce qu'on lisais, on arriver pas à le conscientiser, ..et puis quelque temps après on le reprend et là on peut continuer d'avancer, parce qu'entre temps notre conscience à intégré des choses, la digestion c'est faite on peut poursuivre

Oui mais il y a un effet cumulatif. La pratique semble ne rien donner et un moment tac ça donne! Mais ce sont les fruits du travail préalable. Comme une graine qui germe hors de notre vue et la terre qu'on a labouree puis on a arrosé bine etc. Puis un jour on fait autre chose comme de la planche à voile et tac la plante sort et on se dit que tout ce qu'on a fait avant ne sert à rien il fallait juste aller faire de la planche à voile.
En réalité ce n'est pas le cas.
Les effets des pratiques internes ou intérieures sont souvent cumulatives et leurs fruits germent d'abord sans qu'on en soit conscient.

..oui c'est fort possible, mais bon prenons un exemple, si une médiation me conduit à mes guides et qui me transmettent de travailler le détachement, si je ressent dans mon vécu de part mes réactions et mes attaches que je n'ai pas progresser à ce niveau, alors ça sert à quoi que je médite ?

ratDchamp a écrit:..oui c'est fort possible, mais bon prenons un exemple, si une médiation me conduit à mes guides et qui me transmettent de travailler le détachement, si je ressent dans mon vécu de part mes réactions et mes attaches que je n'ai pas progresser à ce niveau, alors ça sert à quoi que je médite ?

Ben elle t'aura "conduite à tes guides"! Déjà!
Et je dirai encor emieux, sans plaisanterie, que cela t'aura permis de prendre conscience, comme tu dis, que tu n'as "pas progressé à ce niveau", ce qui est déjà énorme! La prise de conscience est ce qu'il y a de plus important.....
Qui dit pratique dit attente de progression dit prise de conscience de l'absence de progression.