Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Page 7 sur 10 • Partagez
Page 7 sur 10 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Rappel du premier message :
Lâcher prise, c’est accepter ses limites...
Avant de prétendre "lâcher", encore faut-il savoir ce que nous "tenons" ?
Avant de prétendre "lâcher", encore faut-il savoir ce que nous "tenons" ?
Il faut, paraît-il "lâcher prise". C’est en tout cas ce que tout un chacun peut lire ou entendre répéter dès qu’il est question d’une approche spirituelle de l’existence. Qu’avons-nous, au juste, à "lâcher" ? Quelle est donc cette "prise" qu’il conviendrait de desserrer ? Cette attitude est-elle compatible avec un positionnement responsable ? Si oui, comment passer du concept à la pratique ?
"Une pratique assidue du lâcher-prise soulage d’un grand poids. Elle nous affranchit du complexe d’Atlas portant le monde sur ses épaules. Elle fait coïncider le plus profond détachement avec le plus authentique sentiment de responsabilité envers soi-même et les autres. Elle est aussi le fondement de la vraie confiance en soi. Tant que je me crois séparé et m’attribue un pouvoir sur ce qui est, je ne peux que me surestimer ou me sous-estimer. Dès l’instant où le moi est remis à sa place, il est reconnu pour exactement ce qu’il est, avec ses forces et ses faiblesses, ses limites naturelles totalement acceptées. Représentons-nous un instant notre rôle de parent, de citoyen, de conjoint ou encore l’exercice de notre activité professionnelle envisagés sous cet angle… Mais cette attitude, en elle-même simple, est difficile à pratiquer. Elle va à l’encontre de nos conditionnements les plus ancrés. Toute la sagesse pratique du lâcher-prise se trouve sans doute synthétisée dans la magnifique prière des Alcooliques anonymes : "Donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer celles que je peux changer et la sagesse d’en voir la différence."
Gilles Farcet (écrivain français et promoteur d'une spiritualité inspirée d'Arnaud Desjardins et de l'Enseignement de Swâmi Prajnânpad).
Gilles Farcet (écrivain français et promoteur d'une spiritualité inspirée d'Arnaud Desjardins et de l'Enseignement de Swâmi Prajnânpad).
Techniques pour lâcher prise :
Lâcher prise sur une rancœur, une peur, une émotion négative, revient souvent à détourner son regard de la difficulté… sans pour autant la fuir. Quelques pistes pour y parvenir :
=> Se centrer sur sa respiration quand l’obsession du problème réapparaît : imaginer qu’à chaque expiration on repousse la colère, la tristesse, les sentiments négatifs ; et qu’à chaque inspiration on inhale la confiance, la joie, la gratitude.
=> En relaxation, visualiser des horizons, des paysages ouverts. Se mettre en scène en se voyant libéré du problème.
=> Créer des rites pour se séparer symboliquement de ce qui nous fait mal: écrire une lettre de ressentiment puis la jeter au feu, organiser avec soin une véritable «cérémonie de divorce », déclarer à haute voix, devant un entourage choisi, sa volonté de se libérer de ses émotions négatives…
Lâcher prise sur une rancœur, une peur, une émotion négative, revient souvent à détourner son regard de la difficulté… sans pour autant la fuir. Quelques pistes pour y parvenir :
=> Se centrer sur sa respiration quand l’obsession du problème réapparaît : imaginer qu’à chaque expiration on repousse la colère, la tristesse, les sentiments négatifs ; et qu’à chaque inspiration on inhale la confiance, la joie, la gratitude.
=> En relaxation, visualiser des horizons, des paysages ouverts. Se mettre en scène en se voyant libéré du problème.
=> Créer des rites pour se séparer symboliquement de ce qui nous fait mal: écrire une lettre de ressentiment puis la jeter au feu, organiser avec soin une véritable «cérémonie de divorce », déclarer à haute voix, devant un entourage choisi, sa volonté de se libérer de ses émotions négatives…
Erell- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
L’angoisse de connaître
Ce que tu es vraiment,
Provient de ce que l’égo
Devra lâcher pour cela.
Fraternellement
Ce que tu es vraiment,
Provient de ce que l’égo
Devra lâcher pour cela.
Fraternellement
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
porte a écrit:
Le « truc » serait de lâcher prise sur ce que l’on veut comme réponse au lieu de laisser ce qui doit venir nous inspirer divinement.
Le lâcher prise concerne le « moi » principalement.
Fraternellement
Totem- Antarès
- Messages : 8581
Date d'inscription : 11/05/2018
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
La maîtrise vient de ce que tu vas laisser en toi,
Ce qu’il y a de plus grand s’exprimer en lâchant prise,
Dans la confiance que ce qui arrive est la Vérité
Sur ce que nous sommes en réalité.
Fraternellement
Ce qu’il y a de plus grand s’exprimer en lâchant prise,
Dans la confiance que ce qui arrive est la Vérité
Sur ce que nous sommes en réalité.
Fraternellement
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Le lâcher prise sur les croyances....
Pratique l’écobuage
De toutes croyances
Qui te retiennent,
Tel un prisonnier
Derrière les barreaux
De sa propre prison ;
Et tu verras…
Des murs que tu croyais solides
S’écrouler autour de toi,
Laissant entrer la lumière.
Tu béniras chacun de ces jours
Où tu auras consacré
Ce temps à CE QUI EST.
Fraternellement
Pratique l’écobuage
De toutes croyances
Qui te retiennent,
Tel un prisonnier
Derrière les barreaux
De sa propre prison ;
Et tu verras…
Des murs que tu croyais solides
S’écrouler autour de toi,
Laissant entrer la lumière.
Tu béniras chacun de ces jours
Où tu auras consacré
Ce temps à CE QUI EST.
Fraternellement
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Lâcher prise sur l'ignorance:
Laisse l’ignorant
En toi à son sommeil,
Il est ton ombre.
Fixe ton attention
Sur ce qui en toi sait,
Cela est ta lumière.
Fraternellement
Laisse l’ignorant
En toi à son sommeil,
Il est ton ombre.
Fixe ton attention
Sur ce qui en toi sait,
Cela est ta lumière.
Fraternellement
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Au-delà du lâcher prise, lorsque celui-ci est accepté:
Soit présent à ce qui est,
Ce que tu es réellement,
Immuable et éternel.
Telle est ta Grandeur,
Telle est ta Splendeur.
Fraternellement
Soit présent à ce qui est,
Ce que tu es réellement,
Immuable et éternel.
Telle est ta Grandeur,
Telle est ta Splendeur.
Fraternellement
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Lâcher prise et abandonner ses "prétentions".
L’abandon,
Est le vide
De ce que
Tu n’es pas.
Si tu crois,
L’imaginaire est à toi.
Si tu abandonnes
Ce en quoi tu crois,
Cette mort est
Ton immortalité.
L’abandon,
Est le vide
De ce que
Tu n’es pas.
Si tu crois,
L’imaginaire est à toi.
Si tu abandonnes
Ce en quoi tu crois,
Cette mort est
Ton immortalité.
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Un disciple vint voir un jour son guide spirituel :
- maitre, je ne comprends pas quelque chose, qu'est ce que le lâcher-prise, comment parvenir à l'Eveil ? Qu'est ce que nous faisons qui serait incorrect ?
- D'après toi, tu ne fais rien d'incorrect, qui aille à l'encontre de l'Eveil ? demanda le maitre
- non, justement, je ne fais rien de spécial, alors je ne vois pas du tout où est le problème ?! fit le disciple.
Le maitre, qui était tranquillement assis, se leva doucement, puis se jeta violemment sur le disciple en l'enserrant vivement et très fortement de ses bras, le jetant à terre, et continuant à le serrer au sol, les yeux exorbités, le regard dément et complètement fou, dans une attitude d'aliéné hystérique en sueur, le disciple tentait de se libérer de la folle étreinte en hurlant, mais en vain, le maitre devenu totalement fou, le retenait, les vêtements se déchiraient, tous les 2 étaient blessés et couverts de la poussière du sol.
Puis, soudain, le maitre le relâcha et revint tranquillement s'asseoir sur sa banquette.
Le disciple se releva et fit face au maitre :
"vous êtes complètement cinglé, ma parole !! je vous ai posé une question, pensant que vous étiez un instructeur éveillé, mais vous m'avez agressé violemment et avez failli me tuer ! Vous m'avez regardé avec votre regard de dément, vous êtes un fou, un psychopathe, voilà la réalité !! Un fou !! Je n'avais jamais vu une attitude et un regard de dément pareil de toute ma vie !!! Adieu, je ne reviendrai jamais ici !!"
Puis, il se retourna et quitta la pièce.
Alors qu'il partait, il entendit son maitre dire tranquillement dans son dos :
"C'est ainsi, avec ce regard et cette attitude de dément, que vous vous attachez à toutes choses en ce monde, votre corps, votre ego, et tout le reste....."
Le disciple revint près du maitre et s'inclina.
- maitre, je ne comprends pas quelque chose, qu'est ce que le lâcher-prise, comment parvenir à l'Eveil ? Qu'est ce que nous faisons qui serait incorrect ?
- D'après toi, tu ne fais rien d'incorrect, qui aille à l'encontre de l'Eveil ? demanda le maitre
- non, justement, je ne fais rien de spécial, alors je ne vois pas du tout où est le problème ?! fit le disciple.
Le maitre, qui était tranquillement assis, se leva doucement, puis se jeta violemment sur le disciple en l'enserrant vivement et très fortement de ses bras, le jetant à terre, et continuant à le serrer au sol, les yeux exorbités, le regard dément et complètement fou, dans une attitude d'aliéné hystérique en sueur, le disciple tentait de se libérer de la folle étreinte en hurlant, mais en vain, le maitre devenu totalement fou, le retenait, les vêtements se déchiraient, tous les 2 étaient blessés et couverts de la poussière du sol.
Puis, soudain, le maitre le relâcha et revint tranquillement s'asseoir sur sa banquette.
Le disciple se releva et fit face au maitre :
"vous êtes complètement cinglé, ma parole !! je vous ai posé une question, pensant que vous étiez un instructeur éveillé, mais vous m'avez agressé violemment et avez failli me tuer ! Vous m'avez regardé avec votre regard de dément, vous êtes un fou, un psychopathe, voilà la réalité !! Un fou !! Je n'avais jamais vu une attitude et un regard de dément pareil de toute ma vie !!! Adieu, je ne reviendrai jamais ici !!"
Puis, il se retourna et quitta la pièce.
Alors qu'il partait, il entendit son maitre dire tranquillement dans son dos :
"C'est ainsi, avec ce regard et cette attitude de dément, que vous vous attachez à toutes choses en ce monde, votre corps, votre ego, et tout le reste....."
Le disciple revint près du maitre et s'inclina.
Dernière édition par Ptah le Mar 14 Aoû 2018 - 18:24, édité 1 fois
Ptah- Makemake
-
Messages : 1783
Date d'inscription : 17/06/2018
Localisation : Temple intérieur
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Salut porte
tes propos sont le fruit d’ un ‘’illuminé’’, et ne sont compréhensibles que par des ‘’illuminés’’.
Ah, si tu avais une signature reconnue par les médias, tout le monde se prosternerait.
Dans le zen, si tu n’ as pas reçu le ‘’shiho’’, tous tes propos sont dérisoires, alors que si tu disais la même chose en signant que tu es maître zen, authentifié par un ‘’shiho’’, tes propos deviennent alors un précieux sujet de méditation.
Tout ça pour dire que je soupçonne que tu sois traversé par la ‘’lumière’’, tant tes propos me l’inspire.
Cependant, je remarque que, tout comme moi, tu as des difficultés d’ élocution, pour que tes propos soient limpidement accessibles par tout le monde.
Bref, recevoir la lumière est une chose, mais la resplendir sans la déformer en est une autre.
Je te souhaite donc grand bonheur à cheminer pour que la lumière resplendisse au delà de toi, telle qu’elle est.
Tiens, pour finir en riant un bon coup, le ‘’shiho’’ aurait pu s’ écrire: ‘’chie-haut’’, puisque c’ est la porte ouverte à pouvoir dire n’importe quoi, de manière authentiquement approuvée.
tes propos sont le fruit d’ un ‘’illuminé’’, et ne sont compréhensibles que par des ‘’illuminés’’.
Ah, si tu avais une signature reconnue par les médias, tout le monde se prosternerait.
Dans le zen, si tu n’ as pas reçu le ‘’shiho’’, tous tes propos sont dérisoires, alors que si tu disais la même chose en signant que tu es maître zen, authentifié par un ‘’shiho’’, tes propos deviennent alors un précieux sujet de méditation.
Tout ça pour dire que je soupçonne que tu sois traversé par la ‘’lumière’’, tant tes propos me l’inspire.
Cependant, je remarque que, tout comme moi, tu as des difficultés d’ élocution, pour que tes propos soient limpidement accessibles par tout le monde.
Bref, recevoir la lumière est une chose, mais la resplendir sans la déformer en est une autre.
Je te souhaite donc grand bonheur à cheminer pour que la lumière resplendisse au delà de toi, telle qu’elle est.
Tiens, pour finir en riant un bon coup, le ‘’shiho’’ aurait pu s’ écrire: ‘’chie-haut’’, puisque c’ est la porte ouverte à pouvoir dire n’importe quoi, de manière authentiquement approuvée.
tangolinos- Encelade
-
Messages : 759
Date d'inscription : 13/05/2018
Localisation : landes
Humeur : aléatoire
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
tangolinos a écrit:itation.
Tout ça pour dire que je soupçonne que tu sois traversé par la ‘’lumière’’, tant tes propos me l’inspire.
Cependant, je remarque que, tout comme moi, tu as des difficultés d’ élocution, pour que tes propos soient limpidement accessibles par tout le monde.
Bref, recevoir la lumière est une chose, mais la resplendir sans la déformer en est une autre.
En te lisant je pense à ce passage de la vie d'UG Khrihnamurti
"....Puis je rencontrai quelqu’un à qui je pus confier tous mes sentiments. Pratiquement, il vit en moi un athée (un athée non-pratiquant), sceptique à tous égards, hérétique au dernier degré. Il me dit: « Il y a un homme ici, à Tiruvannamalai près de Madras, un nommé Ramana Maharshi. Allons viens partons voir cet homme. Il est une incarnation vivante de la tradition hindoue ».
Le projet de rencontrer un saint homme ne m’intéressait pas. Si vous en avez vu un seul, vous les connaissez tous. Je n’ai jamais aimé « courir les boutiques », me mettre à la recherche de gens, m’asseoir docilement aux pieds des maîtres, apprendre quoi que ce soit. Ils vous font tous le même sermon: « faites toujours la même chose, encore et encore, et vous y arriverez ». Le fait est que j’accumulais toujours plus d’expériences, jusqu’au moment où l’expérience répétée demandait à se muer en permanence – mais rien n’est permanent. Bref « tous les saints hommes sont des charlatans – ils ne font que ressasser ce que disent les livres. Mais je sais lire et je ne veux plus entendre « faites toujours la même chose, inlassablement ». Assez d’expériences. Ils essaient de me communiquer une expérience. L’expérience ne m’intéresse pas. En fait d’expérience, il n’y a pas de différence selon moi entre l’expérience religieuse, l’expérience sexuelle ou n’importe quelle autre; l’expérience religieuse ne diffère pas des autres expériences. Expérimenter l’état de « Brahman », expérimenter la réalité, expérimenter la vérité, rien de tout cela ne m’intéresse. S’ils sont capables d’aider les autres, ils ne peuvent rien pour moi. Les exercices répétitifs m’épuisent; j’en ai mon compte. A l’école, si vous voulez résoudre un problème mathématique, vous le répétez le temps qu’il faut – vous résolvez le problème mathématique, et vous découvrez que la réponse se trouve dans la question. Mais alors, que diable, à quoi jouez-vous en vous obstinant à résoudre la question? Il vaut mieux trouver la réponse d’abord, au lieu de s’infliger toutes ces foutaises.
Finalement, à contre-cœur, je partis, voir Ramana Maharshi. Ce type m’entraîna de force. Il me répétait: « Vas-y une seule fois. Il se produira quelque chose en toi ». Il me rebattait les oreilles et m’offrit un livre, « Recherches sur l’Inde secrète » de Paul Brunton, ce qui me permit de lire un chapitre se rapportant à notre homme. – « D’accord, cela m’est égal, allons-y. »
Le voilà donc, assis non loin de moi. Je me trouvais à peine en sa présence que déjà je pensais: « Quoi! Cet homme-là, comment peut-il m’aider? Ce type qui passe son temps à lire des bandes dessinées, à nettoyer des légumes, à jouer avec l’une ou l’autre chose – comment cet homme peut-il m’aider? C’est impossible ». Quoi qu’il en soit, je restais là. Rien ne se produisit: je le regardais, et il me regardait. « En sa présence, tu te sens silencieux, tes questions s’évanouissent, son regard te transforme » – pour moi, ces beaux propos restaient une fable, un produit de l’imagination. J’étais là. Une série de questions me venaient à l’esprit, des questions stupides. « Bon! Les questions n’ont pas disparu. Je me trouve assis ici depuis deux heures, et les questions restent. Soit, je vais lui poser quelques questions » – parce qu’en ce temps-là je voulais vraiment obtenir « moksha », la libération (…) « On rapporte que vous êtes un homme libéré » – Non, je n’ai pas dit cela. « Pouvez-vous me donner ce que vous avez? » Je lui posai la question, mais cet homme ne me répondit pas, de sorte qu’après un moment je répétai ma question; je lui demande: « Ce que vous avez, quelle qu’en soit la nature, pouvez-vous me le donner? » Il répondit: « Je sais donner, mais êtes-vous capable de le comprendre et de l’accepter? »
Bon sang! Cet homme me dit – et je me l’entends dire pour la première fois dans ma vie – qu’il détient quelque chose et que moi je suis incapable de l’accepter. Personne auparavant ne m’avait dit « Je sais te donner » (…) On m’avait répété: « Médite, tiens-toi sur la tête, tiens-toi sur les épaules, accroche-toi à un arbre, humilie-toi…! » (…) Puis, je me suis dit: « S’il y a quelqu’un au monde qui est capable de l’accepter, c’est moi, parce que j’ai tellement médité, j’ai pratiqué « sadhana » durant sept années. Il peut penser que j’en suis incapable, mais je suis capable de l’accepter. Si moi je ne peux pas l’assumer, qui le pourrait? » Oui, telle était ma disposition d’esprit à l’époque. (Rires.) J’étais tellement sûr de moi.
Je n’avais pas l’intention de prolonger ma visite, ni de lire ses livres, mais je lui posai encore d’autres questions: « Se peut-il qu’on soit libre à certains moments et pas à d’autres? » Réponse: « Ou bien vous êtes libre, ou alors vous ne l’êtes pas du tout ». A propos d’une question dont je ne me souviens plus, il eut encore ces paroles étranges: « Il n’y a pas d’étapes sur la route qui vous mène à cela ». Mais j’ignorais tout dans ce domaine. Ces questions n’avaient pas d’importance pour moi et les réponses ne m’intéressaient pas le moins du monde.
Mais cette question « Etes-vous à même de l’accepter? »… » Ce qu’il est arrogant! » – c’était cela mon sentiment (…) Ainsi une question prenait forme et s’imposait à moi: « Quel est l’état dans lequel vivent tous ces gens – Bouddha, Jésus et toute la bande? Ramana est dans cet état – du moins on le suppose, je n’en sais rien – mais ce mec est comme moi, un être humain. Où est la différence? Ce que déclarent les autres et ce qu’il raconte est sans importance pour moi; chacun est capable de faire ce qu’il fait. Qu’y a-t-il de spécial? Il ne peut pas profondément différer de moi (…) Il faut que je découvre ce qu’est cet état. Personne ne peut me le donner, je ne peux compter que sur moi. Je vais m’embarquer sur cette mer inexplorée, sans boussole, sans bateau, pas même un radeau de bois pour me porter. Je m’en vais découvrir pour mon propre compte ce qu’est l’état dans lequel vit cet homme ». Je le voulais avec détermination, sinon je n’aurais pas donné ma vie pour cela...."
Totem- Antarès
-
Messages : 8581
Date d'inscription : 11/05/2018
Localisation : Voie Lactée
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Distingue clairement qu'il y a deux conscience en toi. Celle de la dense matière de ta chair et celle de ton être essentiel qui a la faculté d'être attentif à cette chair. Voilà où se situe le centre de ton attention où tu dois installer ton vouloir ardent.
- Hermès Trismégiste
- Hermès Trismégiste
Totem- Antarès
-
Messages : 8581
Date d'inscription : 11/05/2018
Localisation : Voie Lactée
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Lâcher prise c'est aussi accepter de ne pas réussir à accepter.....
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Benji a écrit:Lâcher prise c'est aussi accepter de ne pas réussir à accepter.....
*Comment je le vois:
1)C'est un point important de s'en rendre compte et ainsi prendre des dispositions pour transformer cette faiblesse en force par le discernement, la compréhension et la connaissance de soi dans ses aspects humain, atmique, divin, CAD dans sa multidimensionnalité (un incontournable...).
2)Cette connaissance permet justement de percevoir ce qui jusque là y faisait obstacle et le transcender, purifier, d'en dissoudre les illusions, les croyances, les préjugés, les perceptions limités, les causes karmiques, les formatages divers, par des moyens appropriés suivant le profil de l'être qui y est soumis (cf point1).
Fraternellement
Arriver à lâcher prise sur sa non acceptation permet à l'acceptation de prendre place.
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
porte a écrit:Benji a écrit:Lâcher prise c'est aussi accepter de ne pas réussir à accepter.....
*Comment je le vois:
1)C'est un point important de s'en rendre compte et ainsi prendre des dispositions pour transformer cette faiblesse en force par le discernement, la compréhension et la connaissance de soi dans ses aspects humain, atmique, divin, CAD dans sa multidimensionnalité (un incontournable...).
2)Cette connaissance permet justement de percevoir ce qui jusque là y faisait obstacle et le transcender, purifier, d'en dissoudre les illusions, les croyances, les préjugés, les perceptions limités, les causes karmiques, les formatages divers, par des moyens appropriés suivant le profil de l'être qui y est soumis (cf point1).
Fraternellement
Arriver à lâcher prise sur sa non acceptation permet à l'acceptation de prendre place.
C'est ce que j'ai appris, il a fallu qu'une personne me le fasse remarquer pour que je puisse prendre conscience de ce "processus", c'est très subtile parfois et l'esprit nous emporte vite dans le refus de la non-acceptation pour nous en détourner.
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
tangolinos a écrit:Salut porte
tes propos sont le fruit d’ un ‘’illuminé’’, et ne sont compréhensibles que par des ‘’illuminés’’.
Ah, si tu avais une signature reconnue par les médias, tout le monde se prosternerait.
Dans le zen, si tu n’ as pas reçu le ‘’shiho’’, tous tes propos sont dérisoires, alors que si tu disais la même chose en signant que tu es maître zen, authentifié par un ‘’shiho’’, tes propos deviennent alors un précieux sujet de méditation.
Tout ça pour dire que je soupçonne que tu sois traversé par la ‘’lumière’’, tant tes propos me l’inspire.
Cependant, je remarque que, tout comme moi, tu as des difficultés d’ élocution, pour que tes propos soient limpidement accessibles par tout le monde.
Bref, recevoir la lumière est une chose, mais la resplendir sans la déformer en est une autre.
Je te souhaite donc grand bonheur à cheminer pour que la lumière resplendisse au delà de toi, telle qu’elle est.
Tiens, pour finir en riant un bon coup, le ‘’shiho’’ aurait pu s’ écrire: ‘’chie-haut’’, puisque c’ est la porte ouverte à pouvoir dire n’importe quoi, de manière authentiquement approuvée.
*Je ne perçois pas cela ainsi. Les graines semées auront tout loisirs en temps et en heure d'éclore.
Il n'y a qu'à voir ce qui se passe après le passage des Grands Êtres, le temps écoulé qui se compte en siècles, millénaires et plus, afin que soit saisit réellement ce qu'ils ont enseigné et montré par l'exemple vivant.
Édifiant.
Alors, en ce qui me concerne en concertation avec les Grands Êtres est le cadet de mes soucis. Laissons à chaque être le temps de la maturation et il en sera un accomplissement de belle envergure et un déploiement plus grand.
Ce qui se voit est si peu
Que l'invisible ne le cache.
L'homme commence par le peu
L'homme-dieu par beaucoup,
Entre les deux, le temps.
Fraternellement
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Parce que finalement accepter le refus transforme le refus en acceptation.
Vouloir accepter à tout prix peut conduire à nier ou renier nos espaces de refus.
Vouloir accepter à tout prix peut conduire à nier ou renier nos espaces de refus.
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Le lâcher prise ne vient pas d'une volonté quelconque du "moi", il ne sait pas lâcher pas prise de lui-même, souvent il y a quelque chose qui l'a provoqué, un témoin....
Totem- Antarès
-
Messages : 8581
Date d'inscription : 11/05/2018
Localisation : Voie Lactée
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Benji a écrit:Parce que finalement accepter le refus transforme le refus en acceptation.
Vouloir accepter à tout prix peut conduire à nier ou renier nos espaces de refus.
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Benji a écrit:Parce que finalement accepter le refus transforme le refus en acceptation.
Vouloir accepter à tout prix peut conduire à nier ou renier nos espaces de refus.
Le problème c'est toujours le "qui" accepte et "qui" refuse. C'est le chat qui se mord la queue, il ne sait pas que c'est la sienne. . Sans le témoin, impossible de voir ces choses là.
Totem- Antarès
-
Messages : 8581
Date d'inscription : 11/05/2018
Localisation : Voie Lactée
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Benji a écrit:Parce que finalement accepter le refus transforme le refus en acceptation.
Vouloir accepter à tout prix peut conduire à nier ou renier nos espaces de refus.
*Ça dépend de ce sur quoi tu veux lâcher prise ou t'abandonner au Divin.
Le tout prix ne veut pas dire grand chose, s'il s'agit de quelque chose à laquelle l'on ne tiens que peu.
L'aspect mental-psychique peu vite nous leurrer et tergiverser en nous faisant croire que miraculeusement en triturant le sens des mots, ils vont nous transformer.
S'il s'agit d'une voie spirituelle, le challenge devient beaucoup élevé car les aspects psyché-mental devront être dépassés.
Ce refus peut montrer un manque de:
De discernement
De compréhension
D'aspiration intérieure au Divin
De volonté
D'auto-détermination
D'humilité
De réflexion de sa lumière intérieure venant de l'Âme.
De capacité à faire silence
De confiance
D'ouverture d'esprit à l'Esprit
De dévotion
D'attention, etc...
Fraternellement
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Totem a écrit:Benji a écrit:Parce que finalement accepter le refus transforme le refus en acceptation.
Vouloir accepter à tout prix peut conduire à nier ou renier nos espaces de refus.
Le problème c'est toujours le "qui" accepte et "qui" refuse. C'est le chat qui se mord la queue, il ne sait pas que c'est la sienne. . Sans le témoin, impossible de voir ces choses là.
Salut Totem
tu dis=
Le problème c'est toujours le "qui" accepte et "qui" refuse. C'est le chat qui se mord la queue, il ne sait pas que c'est la sienne. Wink. Sans le témoin, impossible de voir ces choses là.
je dis=
oui le chat est là, et il se mord la queue, tant qu’il ne voit pas que cette queue n’ est pas la sienne.
Vois-tu, le grand problème est d’ arriver à distinguer le petit ‘’qui’’ du grand ‘’QUI’’.
OUI, le chat est un véritable renard, puisqu’il sait que notre cheminement spirituel est sa mise à mort… alors insidieusement tantôt il nous identifie au ‘’qui’’ et tantôt il nous identifie au ‘’QUI’’ pour nous faire dire des choses contradictoires qui nous déstabiliseraient.
Hihi, je ris puisque tant qu’on s’identifie aléatoirement au ‘’qui’’ ou au ‘’QUI’’, nous restons à sa merci.
tangolinos- Encelade
-
Messages : 759
Date d'inscription : 13/05/2018
Localisation : landes
Humeur : aléatoire
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
tangolinos a écrit:Totem a écrit:Benji a écrit:Parce que finalement accepter le refus transforme le refus en acceptation.
Vouloir accepter à tout prix peut conduire à nier ou renier nos espaces de refus.
Le problème c'est toujours le "qui" accepte et "qui" refuse. C'est le chat qui se mord la queue, il ne sait pas que c'est la sienne. . Sans le témoin, impossible de voir ces choses là.
Salut Totem
tu dis=
Le problème c'est toujours le "qui" accepte et "qui" refuse. C'est le chat qui se mord la queue, il ne sait pas que c'est la sienne. Wink. Sans le témoin, impossible de voir ces choses là.
je dis=
oui le chat est là, et il se mord la queue, tant qu’il ne voit pas que cette queue n’ est pas la sienne.
Vois-tu, le grand problème est d’ arriver à distinguer le petit ‘’qui’’ du grand ‘’QUI’’.
OUI, le chat est un véritable renard, puisqu’il sait que notre cheminement spirituel est sa mise à mort… alors insidieusement, tantôt il nous identifie au ‘’qui’’ et tantôt il nous identifie au ‘’QUI’’ pour nous faire dire des choses contradictoires qui nous déstabiliseraient.
Hihi, je ris puisque tant qu’on s’identifie aléatoirement au ‘’qui’’ ou au ‘’QUI’’, nous restons à la merci du chat.
tangolinos- Encelade
-
Messages : 759
Date d'inscription : 13/05/2018
Localisation : landes
Humeur : aléatoire
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
tangolinos a écrit:déstabiliseraient.
Hihi, je ris puisque tant qu’on s’identifie aléatoirement au ‘’qui’’ ou au ‘’QUI’’, nous restons à sa merci.
Sauf lorsque l'on a découvert sa vraie nature, son essence....
Totem- Antarès
-
Messages : 8581
Date d'inscription : 11/05/2018
Localisation : Voie Lactée
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Bonsoir tous !
Aussi, je trouve suspects les propos de certains qui affirment avoir vu leur vraie nature… pour moi, notre vraie nature est une non-forme…
Et vois-tu ça correspond bien aux dires des maîtres zen qui disent que notre vraie nature est vide… Cela ne veut pas dire qu’il n’ y a rien, cela veut dire que sa substance échappe à nos sens physiques.
En fait, ce qui importe est de se rendre compte que ce qui apparait dans notre conscience est un effet manifesté de notre vraie nature… un simple effet, comme l’ est la partie émergée de l’ iceberg… Notre vraie nature est l’ iceberg tout entier, mais la partie immergée n’ apparait pas dans notre conscience… ( en fait n’ apparaissent que les effets que notre véritable nature absolue veut manifester dans l’ espace-temps relatif , et les diverses identifications qu’ on adopte sont choisies par notre véritable nature à notre insu ).
Alors disons,
qu’ ordinairement on s’ identifie à la partie émergée,
et qu‘ extraordinairement lorsque la présence de notre véritable nature s’ est imposée dans notre conscience, il ne nous est plus possible de s’identifier qu’à la partie émergée…
Ahlala, je pourrais encore longuement discourir, mais bon, il me semble en avoir déjà trop dit pour un seul message de fofo.
@+
pour ma part je n’ ai pas découvert ma vraie nature… c’est plutôt elle qui s’est découverte… et curieusement son strip-tease n’ a pas révélé sa forme, alors que sa présence s’ est imposée dans ma conscience…Totem a écrit: Sauf lorsque l'on a découvert sa vraie nature, son essence.... Wink
Aussi, je trouve suspects les propos de certains qui affirment avoir vu leur vraie nature… pour moi, notre vraie nature est une non-forme…
Et vois-tu ça correspond bien aux dires des maîtres zen qui disent que notre vraie nature est vide… Cela ne veut pas dire qu’il n’ y a rien, cela veut dire que sa substance échappe à nos sens physiques.
En fait, ce qui importe est de se rendre compte que ce qui apparait dans notre conscience est un effet manifesté de notre vraie nature… un simple effet, comme l’ est la partie émergée de l’ iceberg… Notre vraie nature est l’ iceberg tout entier, mais la partie immergée n’ apparait pas dans notre conscience… ( en fait n’ apparaissent que les effets que notre véritable nature absolue veut manifester dans l’ espace-temps relatif , et les diverses identifications qu’ on adopte sont choisies par notre véritable nature à notre insu ).
Alors disons,
qu’ ordinairement on s’ identifie à la partie émergée,
et qu‘ extraordinairement lorsque la présence de notre véritable nature s’ est imposée dans notre conscience, il ne nous est plus possible de s’identifier qu’à la partie émergée…
Ahlala, je pourrais encore longuement discourir, mais bon, il me semble en avoir déjà trop dit pour un seul message de fofo.
@+
tangolinos- Encelade
-
Messages : 759
Date d'inscription : 13/05/2018
Localisation : landes
Humeur : aléatoire
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
Je crois que notre vrai nature à une certaine marge de manœuvre pour choisir sa forme.
Avant je pensais que plus notre état était "élevé" et plus on évoluait vers une non-forme.
Oui et non.
Maintenant je pense que c'est une partie du processus mais qu'on a aussi la possibilité de nourrir et de former un autre corps pour cette vrai nature.
Plus cet autre corps est développé et construit plus il dispose de capacités.
Avant je pensais que plus notre état était "élevé" et plus on évoluait vers une non-forme.
Oui et non.
Maintenant je pense que c'est une partie du processus mais qu'on a aussi la possibilité de nourrir et de former un autre corps pour cette vrai nature.
Plus cet autre corps est développé et construit plus il dispose de capacités.
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
L'on pourrait dire que lâcher prise sur la croyance que notre vraie nature ne nous aurait pas choisi comme moyen et mode d'expression permettrait déjà d'infuser plus de clarté dans ses effusions.
Pour ceci, il est admis qu'un minimum d'expériences dans les trois mondes soient requises (de nombreuses vies en fait...) afin que suffisamment de maturité et de sagesse puissent le permettre.
Fraternellement
Pour ceci, il est admis qu'un minimum d'expériences dans les trois mondes soient requises (de nombreuses vies en fait...) afin que suffisamment de maturité et de sagesse puissent le permettre.
Fraternellement
Invité- Invité
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
@Azaêl
Hihi, je rigole, puisque ce que tu proposes est de conquérir notre véritable nature, alors que pour moi, il s’agit plutôt de se laisser conquérir par notre véritable nature.
Cependant, c’ est bien sur que si on se met en adéquation avec notre véritable nature il ne peut en résulter que bonheur.
Oui, ça correspond à mes propos quand je dis que ce qui apparait dans notre conscience est ce qu’ a choisi notre vraie nature…Azaêl a écrit:‘’’Je crois que notre vrai nature à une certaine marge de manœuvre pour choisir sa forme.’’’
Tu peux encore penser comme ça… puisque ce qui apparait dans notre conscience est une forme, et nous ne sommes pas cette forme…Azaêl a écrit: ‘’Avant je pensais que plus notre état était "élevé" et plus on évoluait vers une non-forme.’’
Azaël a écrit:‘’’Maintenant je pense que c'est une partie du processus mais qu'on a aussi la possibilité de nourrir et de former un autre corps pour cette vrai nature.
Plus cet autre corps est développé et construit plus il dispose de capacités.’’
Hihi, je rigole, puisque ce que tu proposes est de conquérir notre véritable nature, alors que pour moi, il s’agit plutôt de se laisser conquérir par notre véritable nature.
Cependant, c’ est bien sur que si on se met en adéquation avec notre véritable nature il ne peut en résulter que bonheur.
tangolinos- Encelade
-
Messages : 759
Date d'inscription : 13/05/2018
Localisation : landes
Humeur : aléatoire
Re: Lâcher prise, c'est accepter ses limites...
salut porte
tantôt je regarde tes propos comme l' évocation d' une ouverture, et, tantôt je les regarde comme l' évocation d' une fermeture.
Hihi... pour le maçon une porte est ouverture à préserver dans le mur, et pour le menuisier une porte est une fermeture à fabriquer...
tantôt je regarde tes propos comme l' évocation d' une ouverture, et, tantôt je les regarde comme l' évocation d' une fermeture.
Hihi... pour le maçon une porte est ouverture à préserver dans le mur, et pour le menuisier une porte est une fermeture à fabriquer...
tangolinos- Encelade
-
Messages : 759
Date d'inscription : 13/05/2018
Localisation : landes
Humeur : aléatoire
Page 7 sur 10 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Sujets similaires
» Comment accepter d'avoir peur ???
» "Celui qui aime trouver et repousser les limites."
» Médecine traditionnelle chinoise, la prise de pouls
» "La conscience de soi"
» "Celui qui aime trouver et repousser les limites."
» Médecine traditionnelle chinoise, la prise de pouls
» "La conscience de soi"
Page 7 sur 10
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|