Le mal

par Invité Sam 10 Aoû 2019 - 8:23

Rappel du premier message :

Azaël a écrit:

On est un peu hors sujet mais :
La question du mal, voilà un épineux problème...
Qu'est-ce que le mal ? Qu'en faire ?
Qui a décidé que le mal serait représenté de cette façon ? Pourquoi ?
etc.

Tout ce qui tourne autour de cette notion de "mal"

par Invité Dim 25 Aoû 2019 - 21:07

Mimy a écrit:Dis donc JPP, ton ronin est stupéfiant..pour un méchant..

La colère rend sourd et aveugle..or lui, il a entendu les murmures du moines..
Puis oser confronter quelqu'un de sorte, dénote une belle confiance.

Combien des personnes spirituelles sur ce site , l'aurait déjà décapité ton moines ?

J'admire plus le ronin que le moines..

Intéressant.
Moi les 2....

par skambah Mer 28 Aoû 2019 - 20:13

Alors comment on fait du coup?

Et bien je pense qu'il faut patienter et puis malheureusement à chaque changement de paradigme il y a des personnes qui souffrent.

par skambah Mer 28 Aoû 2019 - 20:48

je suis banni là ?

par Le manège enchanté Mer 28 Aoû 2019 - 22:05

Non, tu es mort...et je suis Saint Pierre. Le mal - Page 5 Icon_lol

par Professeur X Mer 28 Aoû 2019 - 22:09

Hum , le mal qu'on se donne à définir le mal , love .

par lafrisée Jeu 29 Aoû 2019 - 10:55

Satan a les même lettres et presque la même sonorité que Santa : le mal serait-il celui qui nous pousse à chercher en nous même les forces du sacré ? Sans le mal, aucune progression possible.

par Fol le Fou Jeu 29 Aoû 2019 - 11:31

La firme connue mondialement MONSANTO est le mal.

Fol

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 7:45

Imaginez deux pôles (pas forcément le bien et le mal mais ça marche aussi) opposés.
Ces pôles sont sans cesse en déséquilibre.
Un coup le premier domine, le coup suivant c'est l'autre.
Il y a une force qui vas de l'un à l'autre.
Ainsi se créé une onde.
L'onde primordiale.
Celle sans qui il n'y aurait rien.
La bonne question n'est peut être pas que sont ces pôles mais qu'est ce qui navigue de l'un à l'autre ?

par Fol le Fou Ven 30 Aoû 2019 - 9:28

Le mal... Un grand mot pour pas grand chose...

Si on regarde les coutumes des peuples: ce qui est bien en occident est une tare en orient et vice-versa.

En exemple, je prendrais le peuple africain le plus connu et estimé des occidentaux : les Masaïs. Ces beaux et grands guerriers au dynamisme presque surhumain.

Dans leurs coutume l'esclavage inter-peuple est normal; ainsi que la pédophilie. Leurs sorciers pratiquent des magies très noires basées sur l'hypnose et la domination des masses.

Sans compter que c'est un peuple très cruel; surtout avec leurs voisins qu'ils dominent.

Malgré cela, on parle d'eux avec respect en occident et ailleurs...

La question que je me pose: Pour eux, le mal c'est quoi ?

Fol

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 11:28

Fol,

Tu sais certainement que la loi de la dualité n'est qu'un aspect de la réalité. Qu'entends-tu par : le mal est le complément du bien ?

par Fol le Fou Ven 30 Aoû 2019 - 11:33

Si la loi de la dualité n'existait pas, les aimants non plus.

Fol

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 11:58

Fol le Fou a écrit:Si la loi de la dualité n'existait pas, les aimants non plus.

Fol

Relis mon commentaire, Fol. Je n'ai pas dit qu'elle n'existait pas. Bon appétit ! jocolor

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 12:55

lan'N'noir a écrit:Que de temps passé à nommer et définir le mal alors qu'il suffit d'accueillir ce qui se présente pour savoir ce qu'il convient d'exprimer.

Et s'il ne se présente que du mal, on accueille et après ?

par Le manège enchanté Ven 30 Aoû 2019 - 13:11

"Personne ne fait rien à personne, encore moins à un guerrier" Don Juan

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 14:26

Miwae a écrit:
lan'N'noir a écrit:Que de temps passé à nommer et définir le mal alors qu'il suffit d'accueillir ce qui se présente pour savoir ce qu'il convient d'exprimer.

Et s'il ne se présente que du mal, on accueille et après ?

Je n'accueille pas le mal; je lui dis non avec fermeté, du moins, quand je le peux. De fait, certains maux ne dépendent pas directement de moi. Dans le cas présent, je lutte avec eux, et cette lutte s'approche du vivre avec.

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 15:44

Melon et bottes de cuir a écrit:
Miwae a écrit:
lan'N'noir a écrit:Que de temps passé à nommer et définir le mal alors qu'il suffit d'accueillir ce qui se présente pour savoir ce qu'il convient d'exprimer.

Et s'il ne se présente que du mal, on accueille et après ?

Je n'accueille pas le mal; je lui dis non avec fermeté, du moins, quand je le peux. De fait, certains maux ne dépendent pas directement de moi. Dans le cas présent, je lutte avec eux, et cette lutte s'approche du vivre avec.

Cela est un peu une fuite en quelques sortes, si le mal est là, on doit l'accueillir sinon il reviendra de mon point de vue.
Et comment vivre avec ?

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 16:36

La question du comment ne se pose pas du tout, ce serait méconnaître ce que signifie l'accueil. Le fait même d'accueillir signifie vivre avec et le comment n'est qu'un épiphénomène déterminé par l'état des éléments en présence dans l'instant. Sinon nous sommes dans le refus avec tout le cinéma des problèmes sans fin.

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 16:37

Alors une fois qu'il y a un véritable accueil, peut-on affirmer que le mal n'est plus ?

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 17:00

Non. L'accueil seul du mal est le mal vu et reconnu. Le mal disparaît alors qu'il y a accueil et laisser partir. Alors seulement il y a unité des polarité opposées, un bien qui n'a pas le mal pour opposé. C'était ma minute spi, lol.

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 17:22

Hum oui, laisser partir, c'est vrai que l'on peut rester un moment avec le mal, même dans l'accueil.
Disons que l'accueil est le premier pas.
J'aime bien tes minutes spi Wink

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 17:31

Miwae a écrit:
Melon et bottes de cuir a écrit:
Miwae a écrit:
lan'N'noir a écrit:Que de temps passé à nommer et définir le mal alors qu'il suffit d'accueillir ce qui se présente pour savoir ce qu'il convient d'exprimer.

Et s'il ne se présente que du mal, on accueille et après ?

Je n'accueille pas le mal; je lui dis non avec fermeté, du moins, quand je le peux. De fait, certains maux ne dépendent pas directement de moi. Dans le cas présent, je lutte avec eux, et cette lutte s'approche du vivre avec.

Cela est un peu une fuite en quelques sortes, si le mal est là, on doit l'accueillir sinon il reviendra de mon point de vue.
Et comment vivre avec ?

La fuite serait de le nier, de faire l'autruche. Le mal, je m'y confronte. Lorsque je lui dis non, c'est un message important que je lui fais parvenir : Le refus de le subir. Quant au vivre avec, je vais prendre un exemple concret : Si l'on est atteint d'un diabète type II, l'on n'a guère le choix que de vivre avec. On ne peut faire autrement. C'est comme ça.

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 17:34

Je crois que dans le langage courant "le mal" un un mot qui recouvre beaucoup trop de notions différentes pour qu'il soit suffisant de dire "il suffit de l'accueillir"

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 17:54

Melon et bottes de cuir a écrit:
Miwae a écrit:
Melon et bottes de cuir a écrit:
Miwae a écrit:
lan'N'noir a écrit:Que de temps passé à nommer et définir le mal alors qu'il suffit d'accueillir ce qui se présente pour savoir ce qu'il convient d'exprimer.

Et s'il ne se présente que du mal, on accueille et après ?

Je n'accueille pas le mal; je lui dis non avec fermeté, du moins, quand je le peux. De fait, certains maux ne dépendent pas directement de moi. Dans le cas présent, je lutte avec eux, et cette lutte s'approche du vivre avec.

Cela est un peu une fuite en quelques sortes, si le mal est là, on doit l'accueillir sinon il reviendra de mon point de vue.
Et comment vivre avec ?

La fuite serait de le nier, de faire l'autruche. Le mal, je m'y confronte. Lorsque je lui dis non, c'est un message important que je lui fais parvenir : Le refus de le subir. Quant au vivre avec, je vais prendre un exemple concret : Si l'on est atteint d'un diabète type II, l'on n'a guère le choix que de vivre avec. On ne peut faire autrement. C'est comme ça.

Oui je comprends, comme le dis Azaël après, tout dépends ce que l'on met derrière le mot "mal".
Mais dans les 2 cas, on doit l'accueillir, puis après agir si c'est possible, ou pas dans le cas contraire.

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 17:55

Le mal, n'est-ce pas tout ce qui fait souffrir ?

par Fol le Fou Ven 30 Aoû 2019 - 18:09

MBC.

Archimède nous enseigne que tout corps plongé dans un liquide ou un fluide subit une poussée de bas en haut égale à la valeur de l'objet en mouvement. Donc, chaque mouvement engendre son inverse.

Cette règle semble s'appliquer sur tout ce qui est vibrations.

Pour répondre à une autre de tes questions. Les vibrations négative se retrouvent à l'état d'émission au niveau naturel; engendrées par la nature elle-même.

Exemple: l'ombre des arbres est importante pour le bien être d'un humain se trouvant dessous. Mais l'ombre d'un maronnier peut se révéler nocive, voire mortelle pour quelqu'un qui s'endormirait dessous.

Fol

Edit : j'avais écris "châtaigier" au lieu de "maronnier"... Embarassed

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 19:29

Est-ce le mal qu'il faut accueillir ou notre réaction au mal ?

par Invité Ven 30 Aoû 2019 - 20:50

C'est les deux. Non parce que ça me plait ou non mais parce que déjà là au moment où ça se présente, donc indiscutable dans l'instant. L'accueil est un geste intérieur de chaque maintenant et de non discutions absolue de ce qui se présente. Cette non discution contient de fait l'espace nécessaire à l'émergence de la réponse sans que s'interpose une morale abstraite, générale et préétablie qui ne tient pas compte de l'aspect original et unique de la situation. Et si ce n'est pas le cas par le fait d'une quelconque inertie de fonctionnement, ne pas réagir à la réaction et la laisser consciemment se déployer reste le meilleur moyen de s'en détacher.

par Sod Sam 31 Aoû 2019 - 9:48

Fol le Fou a écrit: Donc, chaque mouvement engendre son inverse.

C'est pourquoi le proverbe dit "A quelque chose malheur est bon"
Ce qu'il vaut mieux éviter de dire a quelqu'un de souffrant.
Sinon on prend une beigne très justifiée ... "pour notre bien", ça va de soi, c'est a dire en vue de notre éducation.

Sinon pour aujourd'hui je dirais que le mal c'est l'incapacité de voir le mal qui est en nous, c'est a dire de se priver d'un morceau de nous même.

Car c'est bien connu que les prises de consciences sont des retournement.
Si j'ai été injuste, ce qui est juste c'est de le reconnaitre.

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