La nuit noire de l'âme
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La nuit noire de l'âme
.
Je partage avec vous cette réflexion, tirée d'un ouvrage de Greg Braden, si mes souvenirs sont bons:
La nuit noire de l’âme
Je crois que vous et moi fonctionnons ainsi. Je crois que nous nous aimons tellement individuellement et les uns les autres, que nous consentons à des expressions extrêmes de la vie et même à sa perte pour nous en rappeler la douceur.
D’ailleurs chacun de nous a une « pire peur » différente de celle des autres.
Pour certains, la pire peur imaginable de la vie peut paraître insignifiante à quelqu’un d’assis à côté de lui.
Par exemple un homme admettait que sa plus grande peur était de se retrouver seul au monde.
Plus tôt dans la soirée, je venais de parler à une femme qui affirmait que le fait d’être seule était sa plus grande joie.
A travers votre nuit noire de l’âme, vous serez requis de tirer parti de chaque particule de sagesse que vous avez à votre disposition, des profondeurs de votre expérience intérieure, pour nier le pouvoir que vous avez donné à la peur.
La nuit noire de l’âme arrive au moment où nous nous y attendons le moins, habituellement sans avertissement.
A quelques exceptions près, chacun aura l’occasion d’être dépossédé de ce qu’il ne voudrait absolument pas perdre. Que ce soit une relation, la santé, la sécurité financière, ou un ensemble de choses, la charge (émotionnelle) vous assure une occasion de vous connaître en l’absence de ces choses, afin de pouvoir l’équilibrer.
C’est là que réside la puissance de la nuit noire de l’âme.
Si nous savions quand elle vient, nous nous détournerions. Qui ne le ferait pas ? Quel être sensé pourrait se lever le matin, prendre son café, nourrir le chien, préparer le départ des enfants, et se dire : « je suis prêt maintenant, pour ma nuit noire de l’âme » ?
Nous connaître nous-mêmes dans notre obscurité la plus profonde, est une occasion de guérir cette part de nous-mêmes que nous choisissons le moins d’expérimenter.
Pour trouver notre équilibre, nous devons connaître nos extrêmes.
Pour être plus précis, nous devons nous connaître nous-mêmes pendant que nous réagissons à nos extrêmes. Nous devons savoir comment nous réagissons dans l’obscurité la plus noire autant que dans la lumière la plus claire et embrasser les deux, afin de guérir le jugement de notre expérience et de trouver le pouvoir de notre nature essentielle.
Notre nuit noire de l’âme est un exemple de notre quête en vue de nous connaître nous-mêmes de toutes les façons, dans notre quête de l’obscurité autant que dans notre quête de lumière.
Vous êtes contraint d’arriver à un accord avec toute expérience et toute expression de votre vie.
Pour faire le don de vous-mêmes, dans l’entièreté et la complétude, vous devez vous connaître dans le contexte de toutes les possibilités, de tous les extrêmes.
Chacun de ces précieux sentiments sont vos dons d’obscurité et de lumière pour vous aider à vous connaître.
Votre expérience unique vous permet de repousser les limites de qui vous croyez être, alors que vous approchez la réalité de ce dont vous êtes véritablement fait.
Cette connaissance vous donnera l’occasion de vous voir dans des situations que vous ne revivrez peut-être jamais.
Ce sont les extrêmes qui vous aideront à connaître et à redéfinir votre point d’équilibre.
Je partage avec vous cette réflexion, tirée d'un ouvrage de Greg Braden, si mes souvenirs sont bons:
La nuit noire de l’âme
Je crois que vous et moi fonctionnons ainsi. Je crois que nous nous aimons tellement individuellement et les uns les autres, que nous consentons à des expressions extrêmes de la vie et même à sa perte pour nous en rappeler la douceur.
D’ailleurs chacun de nous a une « pire peur » différente de celle des autres.
Pour certains, la pire peur imaginable de la vie peut paraître insignifiante à quelqu’un d’assis à côté de lui.
Par exemple un homme admettait que sa plus grande peur était de se retrouver seul au monde.
Plus tôt dans la soirée, je venais de parler à une femme qui affirmait que le fait d’être seule était sa plus grande joie.
A travers votre nuit noire de l’âme, vous serez requis de tirer parti de chaque particule de sagesse que vous avez à votre disposition, des profondeurs de votre expérience intérieure, pour nier le pouvoir que vous avez donné à la peur.
La nuit noire de l’âme arrive au moment où nous nous y attendons le moins, habituellement sans avertissement.
A quelques exceptions près, chacun aura l’occasion d’être dépossédé de ce qu’il ne voudrait absolument pas perdre. Que ce soit une relation, la santé, la sécurité financière, ou un ensemble de choses, la charge (émotionnelle) vous assure une occasion de vous connaître en l’absence de ces choses, afin de pouvoir l’équilibrer.
C’est là que réside la puissance de la nuit noire de l’âme.
Si nous savions quand elle vient, nous nous détournerions. Qui ne le ferait pas ? Quel être sensé pourrait se lever le matin, prendre son café, nourrir le chien, préparer le départ des enfants, et se dire : « je suis prêt maintenant, pour ma nuit noire de l’âme » ?
Nous connaître nous-mêmes dans notre obscurité la plus profonde, est une occasion de guérir cette part de nous-mêmes que nous choisissons le moins d’expérimenter.
Pour trouver notre équilibre, nous devons connaître nos extrêmes.
Pour être plus précis, nous devons nous connaître nous-mêmes pendant que nous réagissons à nos extrêmes. Nous devons savoir comment nous réagissons dans l’obscurité la plus noire autant que dans la lumière la plus claire et embrasser les deux, afin de guérir le jugement de notre expérience et de trouver le pouvoir de notre nature essentielle.
Notre nuit noire de l’âme est un exemple de notre quête en vue de nous connaître nous-mêmes de toutes les façons, dans notre quête de l’obscurité autant que dans notre quête de lumière.
Vous êtes contraint d’arriver à un accord avec toute expérience et toute expression de votre vie.
Pour faire le don de vous-mêmes, dans l’entièreté et la complétude, vous devez vous connaître dans le contexte de toutes les possibilités, de tous les extrêmes.
Chacun de ces précieux sentiments sont vos dons d’obscurité et de lumière pour vous aider à vous connaître.
Votre expérience unique vous permet de repousser les limites de qui vous croyez être, alors que vous approchez la réalité de ce dont vous êtes véritablement fait.
Cette connaissance vous donnera l’occasion de vous voir dans des situations que vous ne revivrez peut-être jamais.
Ce sont les extrêmes qui vous aideront à connaître et à redéfinir votre point d’équilibre.
eole- Phoebe
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Re: La nuit noire de l'âme
Moment ô combien difficile mai ô combien enrichissant et nécessaire...
Invité- Invité
Re: La nuit noire de l'âme
j'en ai traversé plusieurs et effectivement c'est difficile , nécessaire je ne sais pas mais chaque fois que la lumière revient on s'aperçoit , peut être pas de suite , quelques fois des mois après , qu'elle a été utile pour faire un pas de plus dans la confiance voire dans la conscience
emmama- Hypérion
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Re: La nuit noire de l'âme
La nuit noire de l’oubli
La nuit des sens du « mystique »
On a l’impression d’avoir tout oublié
D’etre Dans le noir absolu
Au fond du fond, emporté par le bas astral et les ombres noires du mal absolues.
Et la lumière revient, à l’autre bout en haut du tunnel
Et l’on remonte alors encore plus haut dans sa connaissance,
dans son évidence...
Et on y est...
Et si cela recommence, cela finira encore mieux, sans finir:
C’est comme le prix à payer de l’illumination.
Lorsque la lumière s’éteint, on voit le bonheur de la lumière,
de savoir la rallumer, pour soi et chez les autres.
La nuit des sens du « mystique »
On a l’impression d’avoir tout oublié
D’etre Dans le noir absolu
Au fond du fond, emporté par le bas astral et les ombres noires du mal absolues.
Et la lumière revient, à l’autre bout en haut du tunnel
Et l’on remonte alors encore plus haut dans sa connaissance,
dans son évidence...
Et on y est...
Et si cela recommence, cela finira encore mieux, sans finir:
C’est comme le prix à payer de l’illumination.
Lorsque la lumière s’éteint, on voit le bonheur de la lumière,
de savoir la rallumer, pour soi et chez les autres.
Dernière édition par Cogitop le Jeu 7 Fév 2019 - 13:59, édité 1 fois
Cogitop- Vénus
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Re: La nuit noire de l'âme
emmama a écrit:j'en ai traversé plusieurs et effectivement c'est difficile , nécessaire je ne sais pas mais chaque fois que la lumière revient on s'aperçoit , peut être pas de suite , quelques fois des mois après , qu'elle a été utile pour faire un pas de plus dans la confiance voire dans la conscience
Merci Emmama pour ton témoignage. Le "peut-être pas tout de suite... quelquefois des mois après..." laisse cette marge à l'impatience ou au questionnement qu'on pourrait ressentir de se dire que des moments difficiles peuvent éclore les fleurs à la saison d'après.
Invité- Invité
emmama- Hypérion
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Humeur : humaine
Re: La nuit noire de l'âme
.
Pour ceux qui les vivent, les nuits noires de l'âme peuvent être considérées comme de puissantes initiations vers des aspects profonds de nous-mêmes, destinés principalement à faire remonter les fragments d'obscurités intérieurs qui voilent l'accès à notre propre lumière.
C'est un peu comme si nous devions avancer à tâtons dans une salle plongée dans une totale obscurité, pour trouver la bougie et les allumettes dispersées à l'intérieur, et qui permettrons d'éclairer la pièce une fois trouvées.
Vous allez vous cogner à des objets ou des meubles, parfois douloureusement, vous chuterez peut-être car vos pieds heurterons des obstacles et vous en éprouverez de la peur et de la douleur , parfois de la colère, et ainsi de suite....
Puis, avec prudence, méthode, et une acuité qui se sera développé au fur et à mesure, vous finirez par découvrir les éléments qui vous permettront d'établir la lumière, et de dissiper l'obscurité.
Considérez que cette salle obscure est votre espace intérieur, et que la nuit noire de l'âme consiste à affronter ce qui s'y trouve, les souffrances, les fausses croyances, les colères, les blessures diverses vécues à différents moment de la vie.
Les nuits noires ne sont pas des punitions mais plutôt des épreuves, et il dépend de chacun de décider comment les affronter, bien que la plupart du temps nous les subissions, jusqu'à ce qu'une compréhension profonde émerge progressivement, et interprète ce processus comme une opportunité de purifier ce qui doit l'être, et nous fasse grandir en conscience.
Mais nous pouvons aussi décider de ne rien faire et de rester aveugle, avec toute les conséquences que cela comporte.
Il en est ainsi de notre libre-arbitre.
Pour ceux qui les vivent, les nuits noires de l'âme peuvent être considérées comme de puissantes initiations vers des aspects profonds de nous-mêmes, destinés principalement à faire remonter les fragments d'obscurités intérieurs qui voilent l'accès à notre propre lumière.
C'est un peu comme si nous devions avancer à tâtons dans une salle plongée dans une totale obscurité, pour trouver la bougie et les allumettes dispersées à l'intérieur, et qui permettrons d'éclairer la pièce une fois trouvées.
Vous allez vous cogner à des objets ou des meubles, parfois douloureusement, vous chuterez peut-être car vos pieds heurterons des obstacles et vous en éprouverez de la peur et de la douleur , parfois de la colère, et ainsi de suite....
Puis, avec prudence, méthode, et une acuité qui se sera développé au fur et à mesure, vous finirez par découvrir les éléments qui vous permettront d'établir la lumière, et de dissiper l'obscurité.
Considérez que cette salle obscure est votre espace intérieur, et que la nuit noire de l'âme consiste à affronter ce qui s'y trouve, les souffrances, les fausses croyances, les colères, les blessures diverses vécues à différents moment de la vie.
Les nuits noires ne sont pas des punitions mais plutôt des épreuves, et il dépend de chacun de décider comment les affronter, bien que la plupart du temps nous les subissions, jusqu'à ce qu'une compréhension profonde émerge progressivement, et interprète ce processus comme une opportunité de purifier ce qui doit l'être, et nous fasse grandir en conscience.
Mais nous pouvons aussi décider de ne rien faire et de rester aveugle, avec toute les conséquences que cela comporte.
Il en est ainsi de notre libre-arbitre.
eole- Phoebe
-
Messages : 317
Date d'inscription : 26/05/2018
Localisation : Dordogne
Emploi/loisirs : explorateur de la vi
Re: La nuit noire de l'âme
Hum , on peut tout conceptualiser , même notre souffrance , cette souffrance est évidente dans cette existence et tout concours à celle ci par moment , qu'on appel ce douloureux passage la " nuit noir de l'âme " rend presque les choses plus poétiques , et puis ça rationalise pour une peu une souffrance dont on se demande le pourquoi et dont on se dit qu'on en sortira grandi , de toute façon on en chie par moment c'est un fait , love .
Professeur X- Soleil
-
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Date d'inscription : 12/05/2018
Localisation : ici
Re: La nuit noire de l'âme
Beau partage et merci.
Vous dites que la nuit noire de l'âme peut durée des mois...
Je dirais même des années.
Une thérapeute ma rassuré en me disant qu'elle avait été malade 20 ans.
Imaginez... 20 ans pour ensuite enseigner l'accueil de la présence.
En y repensant ça donne du courage.
Personnellement je bascule encore trop souvent entre l'aveuglement et le désir d'être réellement lumineux.
Le courage et la possibilité d'intégrer les expériences qui se font volatiles, brèves et passagères.
Après avoir connus les cliniques Psy, des croyances complètement erronés mystiques, les étiquettes...
Le sentiment d’échec d'avoir eu à cœur de partager une expérience magnifique au départ, pour finalement ne partager que des mots, et un être souffrant. Que si même faisant référence à un vécu réel.
La présence absente et les étiquettes restantes, les rejets se font lourds.
Se faire confiance entre des avis qui s'opposent, des thérapeutes ouverts qui encouragent à l'accueil et la persévérance d'un cheminement spirituel.
Et des médecins traditionnels et un entourage qui persiste à dire qu'il faut s'accepter inapte psychologiquement/mentalement.
L'accueil de sa réelle nature n'est pas toujours chose simple.
Bonne soirée à vous
Vous dites que la nuit noire de l'âme peut durée des mois...
Je dirais même des années.
Une thérapeute ma rassuré en me disant qu'elle avait été malade 20 ans.
Imaginez... 20 ans pour ensuite enseigner l'accueil de la présence.
En y repensant ça donne du courage.
Personnellement je bascule encore trop souvent entre l'aveuglement et le désir d'être réellement lumineux.
Le courage et la possibilité d'intégrer les expériences qui se font volatiles, brèves et passagères.
Après avoir connus les cliniques Psy, des croyances complètement erronés mystiques, les étiquettes...
Le sentiment d’échec d'avoir eu à cœur de partager une expérience magnifique au départ, pour finalement ne partager que des mots, et un être souffrant. Que si même faisant référence à un vécu réel.
La présence absente et les étiquettes restantes, les rejets se font lourds.
Se faire confiance entre des avis qui s'opposent, des thérapeutes ouverts qui encouragent à l'accueil et la persévérance d'un cheminement spirituel.
Et des médecins traditionnels et un entourage qui persiste à dire qu'il faut s'accepter inapte psychologiquement/mentalement.
L'accueil de sa réelle nature n'est pas toujours chose simple.
Bonne soirée à vous
neij15- Prométhée
-
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Re: La nuit noire de l'âme
Le texte dit que nous devons nous connaitre dans toutes les possibilités, dans toutes les extrêmes.
Ce qui signifie que la nuit noire seule est insuffisante pour nous connaître entièrement. Elle n'a de sens qu'en comparaison avec le jour lumineux duquel nous serions ébranlés.
Celui qui a toujours été malade par exemple doit-il connaitre la santé parfaite, le pauvre doit-il devenir riche et ainsi de suite, pour se connaitre dans les extrêmes opposées? Une vie entière me parait insuffisante pour nous connaitre à travers toutes les possibilités.
Ce qui signifie que la nuit noire seule est insuffisante pour nous connaître entièrement. Elle n'a de sens qu'en comparaison avec le jour lumineux duquel nous serions ébranlés.
Celui qui a toujours été malade par exemple doit-il connaitre la santé parfaite, le pauvre doit-il devenir riche et ainsi de suite, pour se connaitre dans les extrêmes opposées? Une vie entière me parait insuffisante pour nous connaitre à travers toutes les possibilités.
Dernière édition par Elea le Ven 8 Fév 2019 - 23:40, édité 1 fois
Elea- Mimas
-
Messages : 483
Date d'inscription : 19/05/2018
Localisation : Ici et là
Re: La nuit noire de l'âme
neij15 a écrit:
Après avoir connus les cliniques Psy, des croyances complètement erronés mystiques, les étiquettes...
Le sentiment d’échec d'avoir eu à cœur de partager une expérience magnifique au départ, pour finalement ne partager que des mots, et un être souffrant. Que si même faisant référence à un vécu réel.
La présence absente et les étiquettes restantes, les rejets se font lourds.
Se faire confiance entre des avis qui s'opposent, des thérapeutes ouverts qui encouragent à l'accueil et la persévérance d'un cheminement spirituel.
Et des médecins traditionnels et un entourage qui persiste à dire qu'il faut s'accepter inapte psychologiquement/mentalement.
L'accueil de sa réelle nature n'est pas toujours chose simple.
Bonne soirée à vous
C'est un passage que j'ai vécu également et qui est encore source de souffrance aujourd'hui.
Tu vois nous ne sommes jamais seuls dans nos difficultés et bien que chaque vécu soit propre à chacun, nous savons que d'autres passent par des épreuves similaires. Cela peut nous donner du courage pour avancer.
Elea- Mimas
-
Messages : 483
Date d'inscription : 19/05/2018
Localisation : Ici et là
Re: La nuit noire de l'âme
C'est un beau partage Neij et Elea aussi. Merci à tous les deux.
C'est une traversée difficile ponctuée de nombreux moments de doute, comme si le même mur, les mêmes peurs se dressaient sans cesse devant nous.
Des mois, des années dis-tu ? Combien de fois croit-on avoir touché le fond pour s'apercevoir pouvoir descendre encore un peu plus bas... combien de fois avoir vu la lumière l'espace d'une réponse ou deux qui, sous l'effet de l'impermanence, se volatilisent sous l'effet du temps.
Une nuit dont on peine à trouver la sortie même si on voit poindre par intermittence un trait de lumière au travers de la pénombre, mais un espoir sans cesse renouvelé de pouvoir dépasser les mots et les concepts, de trouver un espace plus durable de sérénité en soi et l'assurance comme le dit Elea qu'on n'est pas seul dans cette traversée et que le chemin parcouru nous permettra de voir les jeunes pousses du printemps soulever les feuilles déposées par l'automne.
C'est une traversée difficile ponctuée de nombreux moments de doute, comme si le même mur, les mêmes peurs se dressaient sans cesse devant nous.
Des mois, des années dis-tu ? Combien de fois croit-on avoir touché le fond pour s'apercevoir pouvoir descendre encore un peu plus bas... combien de fois avoir vu la lumière l'espace d'une réponse ou deux qui, sous l'effet de l'impermanence, se volatilisent sous l'effet du temps.
Une nuit dont on peine à trouver la sortie même si on voit poindre par intermittence un trait de lumière au travers de la pénombre, mais un espoir sans cesse renouvelé de pouvoir dépasser les mots et les concepts, de trouver un espace plus durable de sérénité en soi et l'assurance comme le dit Elea qu'on n'est pas seul dans cette traversée et que le chemin parcouru nous permettra de voir les jeunes pousses du printemps soulever les feuilles déposées par l'automne.
Invité- Invité
Re: La nuit noire de l'âme
Merci Elea et Arpège pour vos réponses et partages.
@Elea : Merci pour ta réponse, j'ai tendance à oublier que d'autres passent par des épreuves similaires. Je te souhaite de trouver la stabilité et la paix tant désirer après de tels vagues et chamboulements.
Ainsi qu'une lumière toujours plus présente qui malheureusement dans les rouages de notre mental/ego a trop souvent tendance à s'éclipser.
@Arpège : Tes écris sont quasi semblables à de la poésie , il est vrai que parfois on peut avoir tendance à se plaindre alors qu'on a pu connaître pire moments et qu'il existe peut-être encore plus difficile.
Occasion pour relativiser et lâcher prise comme il est si souvent dit.
"trouver un espace plus durable de sérénité en soi", les mots touches justes.
Je vous souhaite une belle nuit .
@Elea : Merci pour ta réponse, j'ai tendance à oublier que d'autres passent par des épreuves similaires. Je te souhaite de trouver la stabilité et la paix tant désirer après de tels vagues et chamboulements.
Ainsi qu'une lumière toujours plus présente qui malheureusement dans les rouages de notre mental/ego a trop souvent tendance à s'éclipser.
@Arpège : Tes écris sont quasi semblables à de la poésie , il est vrai que parfois on peut avoir tendance à se plaindre alors qu'on a pu connaître pire moments et qu'il existe peut-être encore plus difficile.
Occasion pour relativiser et lâcher prise comme il est si souvent dit.
"trouver un espace plus durable de sérénité en soi", les mots touches justes.
Je vous souhaite une belle nuit .
neij15- Prométhée
-
Messages : 149
Date d'inscription : 27/07/2018
Localisation : Samsara
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